Voilà un autre livre que je vous suggère...
de Timothy S. Lane et Paul David Tripp.
Celui-ci nous le faisons en église le dimanche soir. Je sais que cela a touché beaucoup de frères et soeurs car ça touchent les racines de fond, ça pousse à devenir un vrai disiple qui obéit à son maître. Cela démontre aussi, les idoles de notre coeur et comment on peut s'en détourner.
Je souhaite que plusieurs églises s'engagent à donner ce cours à leurs troupeaux car ça bouleverse les coeurs, ça affermit la foi. Parlez-en à votre pasteur qui sait ?
Je vous donne un couplet que j'ai aimé : Les épreuves ne nous poussent pas à être ce que nous ne sommes pas vraiment. Elles révèlent plutôt notre nature profonde ! La moisson produite par l'adversité provient des racines qui se trouvaient déjà dans notre coeur au préalable.
INTÉRESSANT !?!
jeudi, octobre 25, 2007
photo
mardi, octobre 23, 2007
excellent livre
Sembeq a fait traduire un livre qui s'intitule ; Diriger avec amour de Alexander Strauch... Wow ! c'est super bon. Je conseille à n'importe qui qui dirige des groupes, que ce soit moniteurs d'école du dimanche, groupe de femmes, réunion de prière, groupe de jeunes, etc..
C'est la première fois que je vois un cours qui aborde en détail le chapitre de l'amour : 1 co. 13
Moi ça m'a beaucoup édifié car l'amour n'est pas toujours quelquechose de naturel... je le veux de tout mon coeur mais je trouve que je n'aime pas comme le modèle de notre Seigneur Jésus.
Si nous aimons vraiment notre Dieu de tout notre coeur, cela aura un impact direct avec notre amour pour les autres.
Comment avoir un ministère efficace envers les autres si nous les aimons pas avec un amour sincère et qui transparait ? On pourra dire de belles paroles, de beaux concept bibliques mais le poids ne sera pas le même sans la charité... tout cela sera comme une cymbale retentissante, un airain qui résonne !
Alors, procurez-vous ce merveilleux livre qui se lit très facilement !
C'est la première fois que je vois un cours qui aborde en détail le chapitre de l'amour : 1 co. 13
Moi ça m'a beaucoup édifié car l'amour n'est pas toujours quelquechose de naturel... je le veux de tout mon coeur mais je trouve que je n'aime pas comme le modèle de notre Seigneur Jésus.
Si nous aimons vraiment notre Dieu de tout notre coeur, cela aura un impact direct avec notre amour pour les autres.
Comment avoir un ministère efficace envers les autres si nous les aimons pas avec un amour sincère et qui transparait ? On pourra dire de belles paroles, de beaux concept bibliques mais le poids ne sera pas le même sans la charité... tout cela sera comme une cymbale retentissante, un airain qui résonne !
Alors, procurez-vous ce merveilleux livre qui se lit très facilement !
vendredi, octobre 19, 2007
illustration avec un écureuil
Aujourd'hui il fait si beau que je suis allé m'asseoir dehors dans la cour pour lire. pendant que je lisais, j'ai vécu quelquechose de cute et qui m'a fait penser à la vie chrétienne...je vous le partage.
Juste à côté de moi, il y a la remise de mon voisin et tout d'un coup j'aperçois un petit écureuil qui s'aventure pour sauter dans l'arbre de l'autre voisin.
L'écureuil regarde la scène mais change d'idée. Il retourne sur ses pas et essaie de grimper sur une branche mais encore une fois, il n'est pas sûr de lui et change d'idée.
Il décide de passer par un autre chemin de branches et arrive encore plus haut et plus près de la branche de l'autre voisin mais malheureusement pour lui, le vent se lève et la branche se met à bouger pas mal, il a le goût de rebrousser chemin mais il est patient et attend que ça passe et vlan il saute, il réussit son exploit et son but...
J'ai trouvé cela super, la persévérence malgré les embûches. Il avait un but en tête et il l'a atteint. Bravo petit écureuil !!
Espérons que lorsque des obstacles seront sur notre chemin et bien nous allons nous retrousser les manches, relever la tête et avancer..
jeudi, octobre 18, 2007
belle illustration
Un plant de vigne s'accroche généralement à un gros arbre et trouve ainsi la protection nécessaire contre les gros vents.
S'il est placé du côté contraire au vent, il est protégé par l'arbre et ne risque pas d'être déchiqueté.
S'il est placé du côté du vent, le vent le pousse tout contre l'arbre qui lui assure une protection encore plus grande.
Lorsque nous traversons des moments orageux, Dieu, en qui nous avons mis notre confiance, se place entre nous et l'orage de telle sorte que celui-ci ne nous atteint pas. À d’autres moments, il permet que l'orage nous atteigne, mais il sait que ces grands vents nous presseront tout contre Lui et que nous aurons ainsi un maximum de protection.
S'il est placé du côté contraire au vent, il est protégé par l'arbre et ne risque pas d'être déchiqueté.
S'il est placé du côté du vent, le vent le pousse tout contre l'arbre qui lui assure une protection encore plus grande.
Lorsque nous traversons des moments orageux, Dieu, en qui nous avons mis notre confiance, se place entre nous et l'orage de telle sorte que celui-ci ne nous atteint pas. À d’autres moments, il permet que l'orage nous atteigne, mais il sait que ces grands vents nous presseront tout contre Lui et que nous aurons ainsi un maximum de protection.
15 ans !!
Eh oui ! ma file a 15 ans aujourd'hui, c'est pas possible... il me semble que c'était hier que j'entendais, c'est une fille ! Le temps passe si vite, on ne peut le rattraper...
Je remercie le Seigneur pour cette enfant qui apporte beaucoup à notre famille. Son calme, son sérieux, sa discipline, son sens du devoir, son sens de la justice, sa détermination ne sont que quelques-uns de ses atouts. Le Seigneur l'a équipé de beaucoup, je prie qu'elle s'en serve pour sa gloire.
Elle est toute petite mais elle ne se laisse pas déstabiliser par cela, elle fonce et ne se laisse pas influencer. Elle est capable de prendre sa place.
Que Dieu puisse continuer non seulement de former son comportement car c'est si facile d'être comme les pharisiens et se penser au-dessus de tout mais surtout qu'il travaille son coeur pour qu'elle l'aime lui et ceux qui l'entourent.
Je remercie le Seigneur pour cette enfant qui apporte beaucoup à notre famille. Son calme, son sérieux, sa discipline, son sens du devoir, son sens de la justice, sa détermination ne sont que quelques-uns de ses atouts. Le Seigneur l'a équipé de beaucoup, je prie qu'elle s'en serve pour sa gloire.
Elle est toute petite mais elle ne se laisse pas déstabiliser par cela, elle fonce et ne se laisse pas influencer. Elle est capable de prendre sa place.
Que Dieu puisse continuer non seulement de former son comportement car c'est si facile d'être comme les pharisiens et se penser au-dessus de tout mais surtout qu'il travaille son coeur pour qu'elle l'aime lui et ceux qui l'entourent.
réflexion
Suite à une demande d'une soeur sur le sujet de l'automne voilà ce qui est venu sur mon coeur...
À quoi sert cette saison : l’automne ?
Après avoir passé de bons moments à se laisser dorer par les rayons d’un soleil lumineux de l’été et d’avoir profité de la clarté jusqu’à tard dans la soirée, nous voilà à la porte de l’automne.
Temps maussade et si majestueux. Temps gris et arbres colorés. Quelle saison de changement et de transformation où les arbres se débarrassent de leurs feuilles tandis que d’autres donne de leurs fruits.
Moments, où, les chères outardes retournent vers les chaleurs.
Ce temps frais nous pousse à s’habiller plus chaudement, sortir nos foulards et nos mitaines mais surtout à s’enfermer entre nos quatre murs.
Pourquoi ne pas utiliser cette magnifique saison pour se dépouiller de ce qui nous empêche d’aimer notre Dieu de tout notre cœur ?
Tout comme les feuilles qui tombent, y a t il des mauvaises habitudes, mauvaises attitudes, mauvais comportement ; paroles blessantes, manque d’amour, de pardon, de renoncement, de mort à soi-même bref tout ce qui est idolâtre dans notre vie qui devraient aussi tomber ?
Quel merveilleux temps pour s’arrêter, réfléchir, se remettre en question tout en sirotant une bonne tisane toute chaude.
Laissons-nous ébahir tout comme le festival de couleur qui est sous nos yeux par les transformations que Dieu opéra dans chacune de nos vies.
À quoi sert cette saison : l’automne ?
Après avoir passé de bons moments à se laisser dorer par les rayons d’un soleil lumineux de l’été et d’avoir profité de la clarté jusqu’à tard dans la soirée, nous voilà à la porte de l’automne.
Temps maussade et si majestueux. Temps gris et arbres colorés. Quelle saison de changement et de transformation où les arbres se débarrassent de leurs feuilles tandis que d’autres donne de leurs fruits.
Moments, où, les chères outardes retournent vers les chaleurs.
Ce temps frais nous pousse à s’habiller plus chaudement, sortir nos foulards et nos mitaines mais surtout à s’enfermer entre nos quatre murs.
Pourquoi ne pas utiliser cette magnifique saison pour se dépouiller de ce qui nous empêche d’aimer notre Dieu de tout notre cœur ?
Tout comme les feuilles qui tombent, y a t il des mauvaises habitudes, mauvaises attitudes, mauvais comportement ; paroles blessantes, manque d’amour, de pardon, de renoncement, de mort à soi-même bref tout ce qui est idolâtre dans notre vie qui devraient aussi tomber ?
Quel merveilleux temps pour s’arrêter, réfléchir, se remettre en question tout en sirotant une bonne tisane toute chaude.
Laissons-nous ébahir tout comme le festival de couleur qui est sous nos yeux par les transformations que Dieu opéra dans chacune de nos vies.
mercredi, octobre 17, 2007
petite comparaison
Aujourd'hui ma fille Andréa s'est fait enlevé ses broches dans la bouche. Et oui après un peu plus de 3 ans, elle a enfin une belle bouche toute droite. C'est incroyable comment ça peut faire changement d'avoir des dents sans broche. Elle doit par contre garder pour la nuit un appareil qui l'empêchera que ses dents se déplacent. Elle était vraiment très contente de les enlever et en plus c'est comme un cadeau d'anniversaire car demain c'est sa fête, youppi !
Quand je pense aux dents de ma fille et bien je pense un peu à notre vie. Souvent Dieu permet des situations qui sont pas toujours plaisantes à nos yeux mais qui sont essentielles pour nous redresser.
Pour Andréa , il a fallu qu'elle endure des douleurs(maux de tête, blessure aux joues..) pour maintenant avoir une belle bouche.
Aussi, l'appareil qu'elle doit porter la nuit me fait penser à l'église, nos frères et soeurs qui sont là pour nous protéger, nous exhorter, nous encourager ainsi ça nous empêche de sombrer dans la misère, ça nous relève, ça nous affermit.
Alors lorsque vous verrez quelqu'un avec des broches et bien rappelez-vous les bienfaits de notre relation avec Dieu et nos frères et soeurs...
Voilà c'était ma petite capsule dentaire hihi !
Quand je pense aux dents de ma fille et bien je pense un peu à notre vie. Souvent Dieu permet des situations qui sont pas toujours plaisantes à nos yeux mais qui sont essentielles pour nous redresser.
Pour Andréa , il a fallu qu'elle endure des douleurs(maux de tête, blessure aux joues..) pour maintenant avoir une belle bouche.
Aussi, l'appareil qu'elle doit porter la nuit me fait penser à l'église, nos frères et soeurs qui sont là pour nous protéger, nous exhorter, nous encourager ainsi ça nous empêche de sombrer dans la misère, ça nous relève, ça nous affermit.
Alors lorsque vous verrez quelqu'un avec des broches et bien rappelez-vous les bienfaits de notre relation avec Dieu et nos frères et soeurs...
Voilà c'était ma petite capsule dentaire hihi !
dimanche, octobre 14, 2007
Nous sommes tous des tordus
Il avait été beau. II avait été important, le clou: le clou du charpentier.
Mais, drame de son histoire, notre clou était courbé, il était même plié en deux et restait sans emploi. Il broyait du noir sur l'établi et se creusait la cervelle. A quoi bon vivre ! Il avait manqué son but. Mieux vaut être dans le coin le plus reculé du toit que parmi la ferraille.
- Toi le marteau ne peux-tu rien faire pour moi?- Mille excuses, c'est mon jour de repos, adresse-toi à la pince.
La pince ne se fit pas prier. Elle était très satisfaite de montrer sa force et ses talents. Un tour, deux tours, le clou serrait les dents, c'était pour son bien ! Quelle chance il allait servir à nouveau. A la fin de l'opération il se regarda dans la glace. Horreur! Il était encore plus tordu qu'avant!
Sur l'établi l'atmosphère devint intenable et la pince dut s'exiler à l'autre bout, hors de portée du clou: bien que celui-ci fut tordu, il avait encore une pointe.
Le clou alla prendre un bain de couleur au moins pour couvrir ses écorchures, mais rien ne changea dans sa vie. II avait manqué son but et il sombra dans la dépression.
Il devint même jaloux des autres clous.
Le clou de l'aventure arriva par une matinée pluvieuse qui ne présageait rien de bon. Une main forte le saisit. Le clou trembla de peur et crut sa fin proche. Le charpentier l'avait saisi d'une main sûre. Déjà le clou reprenait confiance. Même l'espérance lui revint lorsque le marteau entra en action. L'opération fut très rapide.
L'artisan le chauffa à blanc et, de quelques coups bien appliqués. le redressa. Le jour même, le clou prenait place dans la charpente.
Envoi : le divin Charpentier a besoin de clous pour construire son Eglise.
Signature: parmi d'autres, un clou redressé.
Henri B.
Mais, drame de son histoire, notre clou était courbé, il était même plié en deux et restait sans emploi. Il broyait du noir sur l'établi et se creusait la cervelle. A quoi bon vivre ! Il avait manqué son but. Mieux vaut être dans le coin le plus reculé du toit que parmi la ferraille.
- Toi le marteau ne peux-tu rien faire pour moi?- Mille excuses, c'est mon jour de repos, adresse-toi à la pince.
La pince ne se fit pas prier. Elle était très satisfaite de montrer sa force et ses talents. Un tour, deux tours, le clou serrait les dents, c'était pour son bien ! Quelle chance il allait servir à nouveau. A la fin de l'opération il se regarda dans la glace. Horreur! Il était encore plus tordu qu'avant!
Sur l'établi l'atmosphère devint intenable et la pince dut s'exiler à l'autre bout, hors de portée du clou: bien que celui-ci fut tordu, il avait encore une pointe.
Le clou alla prendre un bain de couleur au moins pour couvrir ses écorchures, mais rien ne changea dans sa vie. II avait manqué son but et il sombra dans la dépression.
Il devint même jaloux des autres clous.
Le clou de l'aventure arriva par une matinée pluvieuse qui ne présageait rien de bon. Une main forte le saisit. Le clou trembla de peur et crut sa fin proche. Le charpentier l'avait saisi d'une main sûre. Déjà le clou reprenait confiance. Même l'espérance lui revint lorsque le marteau entra en action. L'opération fut très rapide.
L'artisan le chauffa à blanc et, de quelques coups bien appliqués. le redressa. Le jour même, le clou prenait place dans la charpente.
Envoi : le divin Charpentier a besoin de clous pour construire son Eglise.
Signature: parmi d'autres, un clou redressé.
Henri B.
vendredi, octobre 12, 2007
Le fruit que Dieu cherche
"Il vont pour y trouver du fruit, et il n'en trouva point." (Luc 13:6)
Le figuier était planté au milieu d'une vigne. Quand le propriétaire vint, il montra un intérêt spécial pour le figuier; il s'empressa d'y chercher du fruit. Quiconque a accepté Jésus-Christ pour son Sauveur et Seigneur est un arbre de choix auqule le Maître porte un intérêt spécial, car son Esprit habite en lui. Il observe pour savoir s'il prospère et grandit et s'il utilise les possibilités qui lui sont données par le Saint-Esprit. Le Seigneur place aussi le croyant à un endroit particulier. Il nous veut, précisément là, au milieu de Sa vigne.
On plante un arbre pour avoir des fruits. Certes, sa floraison peut être un spectacle magnifique mais on ne s'en contente pas, car ce n'est pas ce qu'on s'attend de lui. Par sa floraison verte et tendre, un arbre donne une impression de vie abondante, mais personne n'oublie, à sa vue, que ses feuilles ne font qu'annoncer les fruits.
Ce que le Seigneur veut de nos vies, c'est qu'elles produisent beaucoup de fruits, par quoi il faut entendre une vie sainte, semblable à celle de Jésus-Christ. Le fruit c'est la sainteté dans les sentiments et les pensées, dans les paroles et les actes, dans l'attitude, à l'égard des autres, dans les loisirs, dans les relations avec les autorités, c'est la sainteté de l'esprit, de l'âme et du corps.
Le propriétaire de la vigne vint cherecher du fruit du figuier. C'est son droit , après tout ce qu'il a fait pour cet arbre. Cependant, il n'en trouva pas.
Le Seigneur pourrait-il attendre plus de fruit de ta part ?
Es-tu la fierté de ton Maître ?
Il faut dépister et détruite les "insectes" qui nous rendent stériles. Un péché secret, une jalousie ou une rancune cachée, une volonté non-brisée, un égoïsme grossier, préoccupé de manger, boire et joir de ses aises, la coquetterie, le désir de plaire, sont tout autant d'insectes ennemis de la vie sainte.Quiconque marche dans la lumière de Jésus-Christ, voit les insectes de sa propre vie. Jésus-Christ délivre et purifie de tout ce que nous lui confessons et livrons.
Les arbres portent, en automne déjà , les bourgeons qui donneront naissance aux fruits, l'année suivante.
Que le Seigneur puisse recevoir de chacune de nos vies, la joie d'une abondante récolte.
jeudi, octobre 11, 2007
les foulards blancs
C'est une histoire vraie : Jean, 20 ans, avait fait une saloperie immonde à ses parents. Vous savez... la saloperie dont une famille ne se remet pas, en général.
Alors son père lui dit : “Jean, fous le camp ! Ne remets plus jamais les pieds à la maison !
“Jean est parti, la mort dans l’âme.
Et puis, quelques semaines plus tard, il se dit : “J’ai été la pire des ordures ! Je vais demander pardon à mon vieux... Oh oui ! Je vais lui dire : pardon.”Alors, il écrit à son père : “Papa, je te demande pardon. J’ai été le pire des pourris et des salauds. Mais je t’en prie, papa, peux-tu me pardonner ?
Je ne te mets pas mon adresse sur l’enveloppe, non... Mais simplement, si tu me pardonnes, je t’en prie, mets un foulard blanc sur le pommier qui est devant la maison. Tu sais, la longue allée de pommiers qui conduit à la maison. Sur le dernier pommier, papa, mets un foulard blanc si tu me pardonnes. Alors je saurai, oui je saurai que je peux revenir à la maison.”
Comme il était mort de peur, il se dit : “Je pense que jamais papa ne mettra ce foulard blanc.
Alors, il appelle son ami, Marc et dit : “Je t’en supplie, Marc, viens avec moi. Voilà ce qu’on va faire : je vais conduire jusqu’à 500 mètres de la maison et je te passerai le volant. Je fermerai les yeux. Lentement, tu descendras l’allée bordée de pommiers. Tu t’arrêteras. Si tu vois le foulard blanc sur le dernier pommier devant la maison, alors je bondirai. Sinon, je garderai les yeux fermés et tu repartiras.
Je ne reviendrai plus jamais à la maison.”Ainsi dit, ainsi fait.
À 500 mètres de la maison, Jean passe le volant à Marc et ferme les yeux.Lentement, Marc descend l’allée des pommiers. Puis il s’arrête.
Et Jean, toujours les yeux fermés, dit : “Marc, mon ami, je t’en supplie, est-ce que mon père a mis un foulard blanc dans le pommier devant la maison ?
“Marc lui répond : “Non, il n’y a pas un foulard blanc sur le pommier devant la maison... mais il y en a des centaines sur tous les pommiers qui conduisent à la maison.
Ça fait vous fait penser à une histoire biblique... soyons comme le père aimant et offrons notre pardon à ceux qui nous ont blessés.
Alors son père lui dit : “Jean, fous le camp ! Ne remets plus jamais les pieds à la maison !
“Jean est parti, la mort dans l’âme.
Et puis, quelques semaines plus tard, il se dit : “J’ai été la pire des ordures ! Je vais demander pardon à mon vieux... Oh oui ! Je vais lui dire : pardon.”Alors, il écrit à son père : “Papa, je te demande pardon. J’ai été le pire des pourris et des salauds. Mais je t’en prie, papa, peux-tu me pardonner ?
Je ne te mets pas mon adresse sur l’enveloppe, non... Mais simplement, si tu me pardonnes, je t’en prie, mets un foulard blanc sur le pommier qui est devant la maison. Tu sais, la longue allée de pommiers qui conduit à la maison. Sur le dernier pommier, papa, mets un foulard blanc si tu me pardonnes. Alors je saurai, oui je saurai que je peux revenir à la maison.”
Comme il était mort de peur, il se dit : “Je pense que jamais papa ne mettra ce foulard blanc.
Alors, il appelle son ami, Marc et dit : “Je t’en supplie, Marc, viens avec moi. Voilà ce qu’on va faire : je vais conduire jusqu’à 500 mètres de la maison et je te passerai le volant. Je fermerai les yeux. Lentement, tu descendras l’allée bordée de pommiers. Tu t’arrêteras. Si tu vois le foulard blanc sur le dernier pommier devant la maison, alors je bondirai. Sinon, je garderai les yeux fermés et tu repartiras.
Je ne reviendrai plus jamais à la maison.”Ainsi dit, ainsi fait.
À 500 mètres de la maison, Jean passe le volant à Marc et ferme les yeux.Lentement, Marc descend l’allée des pommiers. Puis il s’arrête.
Et Jean, toujours les yeux fermés, dit : “Marc, mon ami, je t’en supplie, est-ce que mon père a mis un foulard blanc dans le pommier devant la maison ?
“Marc lui répond : “Non, il n’y a pas un foulard blanc sur le pommier devant la maison... mais il y en a des centaines sur tous les pommiers qui conduisent à la maison.
Ça fait vous fait penser à une histoire biblique... soyons comme le père aimant et offrons notre pardon à ceux qui nous ont blessés.
texte que j'ai aimé
N'abandonne surtout pas !
Lorsque dans la vie rien ne va plus,
que les problèmes tourmentent ton esprit
et que l'argent te cause tant de soucis...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Lorsque trop d'erreurs ont été commises,
que tout ton univers menace de s'écrouler
et que, fatigué, tu sens la confiance t'abandonner...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas.
Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus,
et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes
nous devrons franchir, ni combien d'obstacles nous devront surmonter
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
avant d'atteindre le bonheur et la réussite.
Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter
alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus
pour transformer un échec en réussite ?
Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile.
Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire
pour faire ce petit pas de plus,
en affirmant que la vie est une grande et puissante amie
qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours.
Tu verras alors que cette attitude appelleras,
du plus profond de toi-même,
des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas
et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras.
Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien:
Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront...
Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas
Et j'ajouterai que tout cela ne se fera jamais sans l'intervention de notre grand Dieu qui veut nous faire devenir à sa ressemblance.
Malgré tout ce qui peut nous arriver
il ne faiu jamais oublié que notre Dieu es souverrain sur toutes choses.
Sans lui nous ne pouvons rien faire !
Quand lui, quand moi
Quand lui n'achève pas son travail,
je me dis, il est paresseux.
Quand moi, je n'achève pas mon travail,
c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.
Quand lui parle de quelqu'un,
c'est de la médisance.
Quand je le fais,
c'est de la critique constructive.
Quand lui tient à son point de vue,
c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,
c'est de la fermeté.
Quand lui prend du temps pour faire quelque chose,
il est lent.
Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose,
je suis soigneux.
Quand lui est aimable,
il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand moi je suis aimable,
je suis vertueux.
Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
il bâcle.
Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
je suis habile.
Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
il s'occupe de ce qui ne le regarde pas.
Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
je prends des initiatives.
Quand lui défend ses droits,
c'est un mauvais esprit.
Quand moi je défends mes droits,
je montre du caractère.
Pierre Descouvemont
je me dis, il est paresseux.
Quand moi, je n'achève pas mon travail,
c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.
Quand lui parle de quelqu'un,
c'est de la médisance.
Quand je le fais,
c'est de la critique constructive.
Quand lui tient à son point de vue,
c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,
c'est de la fermeté.
Quand lui prend du temps pour faire quelque chose,
il est lent.
Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose,
je suis soigneux.
Quand lui est aimable,
il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand moi je suis aimable,
je suis vertueux.
Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
il bâcle.
Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
je suis habile.
Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
il s'occupe de ce qui ne le regarde pas.
Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
je prends des initiatives.
Quand lui défend ses droits,
c'est un mauvais esprit.
Quand moi je défends mes droits,
je montre du caractère.
Pierre Descouvemont
texte sur les préjugés...
Un menuisier avait un bel atelier où il exerçait son métier avec amour. Un jour, en l'absence du patron, les ouvriers se réunirent en grand conseil. La séance fut longue et animée et parfois même véhémente. Il s'agissait d'exclure de l'honorable assemblée un certain nombre de membres.
L'un d'eux prit la parole : "Nous devons expulser notre soeur la scie, parce qu'elle déchiquette tout et fait grincer les dents. Elle a le caractère le plus mordant de toute la terre !".
Un autre intervint : "Nous ne pouvons pas garder parmi nous notre frère le rabot. Il a un caractère coupant et tatillon au point d'éplucher tout ce qu'il touche".
"Frère marteau, protesta un autre outil, a un sale caractère, lourdeau et violent. C'est un vrai cogneur. Sa façon de battre sans cesse jusqu'à taper sur les nerfs de tout le monde, est plus que choquante. Chassons-le !".
"Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens piquants ? Qu'ils s'en aillent tous ! Sans parler de la lime et de la râpe. Leur compagnie est cause de continuelles frictions. Chassons aussi le papier de verre : il ne semble exister que pour égratigner son prochain !".
Ainsi débattaient avec de plus en plus d'animosité les outils du menuisier. Ils parlaient tous en même temps. Le marteau voulait expulser la lime et le rabot qui, à leur tour, voulaient se débarrasser des clous et du marteau. Et ainsi de suite. A la fin de la séance, tout le monde avait exclu tout le monde.
La réunion fut brusquement interrompue par l'arrivée du menuisier. Tous les outils se turent quand ils le virent s'approcher de son établi.
L'homme prit une planche et la scia avec la scie mordante. Il la rabota avec le rabot qui pèle tout ce qu'il touche. Soeur la hache, qui blesse cruellement, soeur la râpe à la langue rugueuse, frère papier de verre qui gratte et égratigne : tous entrèrent en action, l'un après l'autre, l'un avec l'autre.
Le menuisier prit ensuite les frères clous au caractère piquant ainsi que le marteau qui frappe et percute. Il se servit de tous ses outils avec leurs défauts, leur caractère insupportable et, grâce à eux tous, il fabriqua un berceau. Un magnifique berceau pour accueillir un bébé qui allait naître.
Puis il attaqua son dernier projet : un bateau qui allait permettre de mener à bon port des gens éloignés les uns des autres par un océan de préjugés.
Beau texte à réfléchir n'est-ce pas ? Est-ce qu'il nous arrive parfois de vivre cela dans nos relations fraternelles ?? Comment nous traitons-nous en église, à l'école, au travail et aussi en famille ? De très bonnes à se poser... Parfois on ne voit pas toujours claire de la façon dont nous agissons, nous pourrions demander à notre conjoint, notre amie comment il nous perçoit et qu'est-ce que nous pourrions faire pour améliorer nos relations.
Prions que Dieu ouvre notre intelligence et qu'il change nos coeurs !
L'un d'eux prit la parole : "Nous devons expulser notre soeur la scie, parce qu'elle déchiquette tout et fait grincer les dents. Elle a le caractère le plus mordant de toute la terre !".
Un autre intervint : "Nous ne pouvons pas garder parmi nous notre frère le rabot. Il a un caractère coupant et tatillon au point d'éplucher tout ce qu'il touche".
"Frère marteau, protesta un autre outil, a un sale caractère, lourdeau et violent. C'est un vrai cogneur. Sa façon de battre sans cesse jusqu'à taper sur les nerfs de tout le monde, est plus que choquante. Chassons-le !".
"Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens piquants ? Qu'ils s'en aillent tous ! Sans parler de la lime et de la râpe. Leur compagnie est cause de continuelles frictions. Chassons aussi le papier de verre : il ne semble exister que pour égratigner son prochain !".
Ainsi débattaient avec de plus en plus d'animosité les outils du menuisier. Ils parlaient tous en même temps. Le marteau voulait expulser la lime et le rabot qui, à leur tour, voulaient se débarrasser des clous et du marteau. Et ainsi de suite. A la fin de la séance, tout le monde avait exclu tout le monde.
La réunion fut brusquement interrompue par l'arrivée du menuisier. Tous les outils se turent quand ils le virent s'approcher de son établi.
L'homme prit une planche et la scia avec la scie mordante. Il la rabota avec le rabot qui pèle tout ce qu'il touche. Soeur la hache, qui blesse cruellement, soeur la râpe à la langue rugueuse, frère papier de verre qui gratte et égratigne : tous entrèrent en action, l'un après l'autre, l'un avec l'autre.
Le menuisier prit ensuite les frères clous au caractère piquant ainsi que le marteau qui frappe et percute. Il se servit de tous ses outils avec leurs défauts, leur caractère insupportable et, grâce à eux tous, il fabriqua un berceau. Un magnifique berceau pour accueillir un bébé qui allait naître.
Puis il attaqua son dernier projet : un bateau qui allait permettre de mener à bon port des gens éloignés les uns des autres par un océan de préjugés.
Beau texte à réfléchir n'est-ce pas ? Est-ce qu'il nous arrive parfois de vivre cela dans nos relations fraternelles ?? Comment nous traitons-nous en église, à l'école, au travail et aussi en famille ? De très bonnes à se poser... Parfois on ne voit pas toujours claire de la façon dont nous agissons, nous pourrions demander à notre conjoint, notre amie comment il nous perçoit et qu'est-ce que nous pourrions faire pour améliorer nos relations.
Prions que Dieu ouvre notre intelligence et qu'il change nos coeurs !
mercredi, octobre 10, 2007
2 poèmes tirés du livre des pleurs à la victoire
J'ai trouvé cela bien touchant !
Nous sommes perdants, ils ont gagné,
Ils nous manquent jour après jour;
Mais cette brèche, tu peux la colmater,
Et faire disparaître ces larmes pour toujours.
Nous prions, comme l'a déjà fait Élisée,
Que tu puisses donner une double portion de ta grâce,
À ceux qui, comme nous, sont restés.
Isaac Newton
Combattre la solitude
Dieu n'a pas promis que je ne connaîtrai
La tentation ni le labeur,
Les problèmes ni les malheurs.
Non plus il n'a dit que je ne supporterai
Bien des fardeaux, bien des soucis.
Cependant Dieu a promis
Force pour le jour,
Repos pour la nuit,
Lumière pour éclairer mon sentier;
Grâce pour surmonter les ennuis
Et secours d'en haut je recevrai.
Sa compassion est intarissable,
Et son amour inépuisable.
Annie Johnson Flint
Nous sommes perdants, ils ont gagné,
Ils nous manquent jour après jour;
Mais cette brèche, tu peux la colmater,
Et faire disparaître ces larmes pour toujours.
Nous prions, comme l'a déjà fait Élisée,
Que tu puisses donner une double portion de ta grâce,
À ceux qui, comme nous, sont restés.
Isaac Newton
Combattre la solitude
Dieu n'a pas promis que je ne connaîtrai
La tentation ni le labeur,
Les problèmes ni les malheurs.
Non plus il n'a dit que je ne supporterai
Bien des fardeaux, bien des soucis.
Cependant Dieu a promis
Force pour le jour,
Repos pour la nuit,
Lumière pour éclairer mon sentier;
Grâce pour surmonter les ennuis
Et secours d'en haut je recevrai.
Sa compassion est intarissable,
Et son amour inépuisable.
Annie Johnson Flint
lundi, octobre 08, 2007
leçon du papillon
Un jour apparut un petit trou dans un cocon. Un homme, qui passait à tout hasard, s'arrêta de longues heures à observer le papillon qui s'efforçait de sortir par ce petit trou.
Après un long moment, c'était comme si le papillon avait abandonné et le trou demeurait toujours aussi petit.On dirait que le papillon avait fait tout ce qu'il pouvait, et qu'il ne pouvait plus rien faire d'autre.
Alors l'homme décida d'aider le papillon: Il prit un canif et ouvritle cocon. Le papillon sortit aussitôt; mais son corps était maigre et engourdi, ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine.
L'homme continua à observer, pensant que, d'un moment à l'autre, les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu'il prenne son envol. Il n'en fut rien !
Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son corps maigre et ses ailes rabougries. Jamais il ne pu voler...
Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider,ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit du cocon était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes, de manière à pouvoir voler.
C'était le moule à travers lequel Dieu le faisait passer pour grandir et se développer. Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie. Si Dieu nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités sans percevoir ses grâces qui nous soutiennent.
Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes.
Nous ne pourrions jamais voler...
réflexion pour l'action de grâce, par rapport aux offrandes.
Il y a bien des années, un jeune garçon rencontrait, un jour, un vieux capitaine au bord du lac Erié, aux Etats-Unis. Reconnaissant l'enfant, le vieillard le salua - Eh bien, William, où vas-tu ? - Je ne le sais pas moi-même, fut la réponse. Mon père est trop pauvre pour me garder à la maison, et je dois maintenant pourvoir à mes besoins. - Il n'y a rien de malheureux en cela, mon garçon.
Voici l'important : Marche droit et tu t'en tireras facilement. - Le jeune garçon expliqua qu'il n'avait aucune connaissance spéciale, sinon qu'il avait aidé son père à fabriquer du savon et des chandelles. - Bien, mon garçon, nous allons prier ensemble. Après cela, je te donnera un conseil et une clef certaine qui t'ouvrira la porte du bonheur.
Tous les deux s'agenouillèrent au bord du lac, et le vieillard pria avec ferveur pour le jeune garçon. Puis il lui dit : - Quelqu'un doit nécessairement devenir le premier fabricant de savon à New York. Pourquoi ne serait-ce pas toi aussi bien qu'un autre ? Sois un homme honnête. Donnes-toi tout entier à Christ. Sur chaque dollar que tu gagneras, donne au Seigneur ce qui lui appartient de droit. Fabrique un savon de bonne qualité, et sois fidèle en donnant toujours le poids requis. Si tu agis ainsi, je suis sûr que tu réussiras et que tu seras bientôt un homme riche.
En arrivant dans la capitale, William eut beaucoup de peine à trouver du travail. Les débuts furent difficiles. Mais il se souvint des dernières paroles du vieux capitaine. Il s'appliqua, dès le commencement, à rechercher le Royaume de Dieu et sa justice (Mt 6.33), et il se joignit à l'Eglise.
Lorsqu'il reçut son premier dollar, la question se posa : - Quelle est la part qui revient au Seigneur ?
Il savait que les Juifs devaient donner la dîme (la dixième partie) de tout ce qu'ils possédaient, et il en conclut qu'il pouvait, lui aussi, donner la même part. - Si mon Maître veut bien accepter la dixième partie de mon gain, je lui donnerai ceci.
Alors, il préleva la dîme de chaque dollar qu'il gagnait. Ayant trouvé un emploi régulier, il devint vite l'associé du patron. Ce dernier mourut quelques années après, et William devint le propriétaire de cette importante maison de commerce. Il fabriquait un savon de bonne qualité, il était juste dans toutes ses mesures et il ordonna à son comptable de consacrer la dîme de tous ses revenus à Dieu. Ses affaires prospérèrent, sa famille était bénie. Il était riche comme jamais il n'avait osé l'espérer.
Alors il décida de donner à Dieu sa double dîme; sa prospérité s'accrut plus considérablement encore, si bien qu'il donna les trois, puis les quatre dixièmes, et enfin la moitié de ses revenus.
Chacun de ses enfants reçut une bonne éducation; il s'arrangea pour vivre simplement avec une certaine somme et tout le reste de ses gains fut entièrement employé au service de son Maître. Ses affaires ont continué dès lors à prospérer toujours davantage.
Telle est l'histoire de William Colgate. (1)
1. Nous ne pouvons garantir que la marque Colgate (dentifrice, savons..) continue sur les mêmes principes !
A-P Pierson( de lueur)
Voici l'important : Marche droit et tu t'en tireras facilement. - Le jeune garçon expliqua qu'il n'avait aucune connaissance spéciale, sinon qu'il avait aidé son père à fabriquer du savon et des chandelles. - Bien, mon garçon, nous allons prier ensemble. Après cela, je te donnera un conseil et une clef certaine qui t'ouvrira la porte du bonheur.
Tous les deux s'agenouillèrent au bord du lac, et le vieillard pria avec ferveur pour le jeune garçon. Puis il lui dit : - Quelqu'un doit nécessairement devenir le premier fabricant de savon à New York. Pourquoi ne serait-ce pas toi aussi bien qu'un autre ? Sois un homme honnête. Donnes-toi tout entier à Christ. Sur chaque dollar que tu gagneras, donne au Seigneur ce qui lui appartient de droit. Fabrique un savon de bonne qualité, et sois fidèle en donnant toujours le poids requis. Si tu agis ainsi, je suis sûr que tu réussiras et que tu seras bientôt un homme riche.
En arrivant dans la capitale, William eut beaucoup de peine à trouver du travail. Les débuts furent difficiles. Mais il se souvint des dernières paroles du vieux capitaine. Il s'appliqua, dès le commencement, à rechercher le Royaume de Dieu et sa justice (Mt 6.33), et il se joignit à l'Eglise.
Lorsqu'il reçut son premier dollar, la question se posa : - Quelle est la part qui revient au Seigneur ?
Il savait que les Juifs devaient donner la dîme (la dixième partie) de tout ce qu'ils possédaient, et il en conclut qu'il pouvait, lui aussi, donner la même part. - Si mon Maître veut bien accepter la dixième partie de mon gain, je lui donnerai ceci.
Alors, il préleva la dîme de chaque dollar qu'il gagnait. Ayant trouvé un emploi régulier, il devint vite l'associé du patron. Ce dernier mourut quelques années après, et William devint le propriétaire de cette importante maison de commerce. Il fabriquait un savon de bonne qualité, il était juste dans toutes ses mesures et il ordonna à son comptable de consacrer la dîme de tous ses revenus à Dieu. Ses affaires prospérèrent, sa famille était bénie. Il était riche comme jamais il n'avait osé l'espérer.
Alors il décida de donner à Dieu sa double dîme; sa prospérité s'accrut plus considérablement encore, si bien qu'il donna les trois, puis les quatre dixièmes, et enfin la moitié de ses revenus.
Chacun de ses enfants reçut une bonne éducation; il s'arrangea pour vivre simplement avec une certaine somme et tout le reste de ses gains fut entièrement employé au service de son Maître. Ses affaires ont continué dès lors à prospérer toujours davantage.
Telle est l'histoire de William Colgate. (1)
1. Nous ne pouvons garantir que la marque Colgate (dentifrice, savons..) continue sur les mêmes principes !
A-P Pierson( de lueur)
En fin de semaine, mon mari enseignait au camps des bouleaux pour le festival des couleurs. Étant donné mon état je n'ai pu y aller snif snif ! Alors je me suis fait "gardé" par la tante de François.
Le premier soir que je suis arrivé et bien je suis descendu en bas dans le sous-sol et c'est là que ma belle-maman demeurait. Je devais couché dans sa chambre, j'étais toute seule. Ouf ! c'était assez émouvant, je pensais que j'avais déjà pleuré toutes les larmes de mon corps mais non ! c'est pas possible comment on a de liquide dans notre corps...
Toute les choses étaient encore à sa place, les photos de mon mari, mes enfants, d'elle. J'avais l'impression qu'elle était encore là. Je savais qu'elle nous aimait beaucoup mais là je voyais combien nous avions du prix à ses yeux, nous étions sa raison de vivre. Le lendemain, nous avons triées ses choses, son linge etc... Là aussi, c'est difficile car on la revoyait dans ses vêtements, que de souvenirs et de larmes. Elle avait gardé tous les p'tits mots, les cartes, les bricolages des enfants et de nous. Pleins d'articles qui parlaient de son fils, son unique...
Enfin, j'espère que c'est une autre étape de passer pour le deuil...
Le premier soir que je suis arrivé et bien je suis descendu en bas dans le sous-sol et c'est là que ma belle-maman demeurait. Je devais couché dans sa chambre, j'étais toute seule. Ouf ! c'était assez émouvant, je pensais que j'avais déjà pleuré toutes les larmes de mon corps mais non ! c'est pas possible comment on a de liquide dans notre corps...
Toute les choses étaient encore à sa place, les photos de mon mari, mes enfants, d'elle. J'avais l'impression qu'elle était encore là. Je savais qu'elle nous aimait beaucoup mais là je voyais combien nous avions du prix à ses yeux, nous étions sa raison de vivre. Le lendemain, nous avons triées ses choses, son linge etc... Là aussi, c'est difficile car on la revoyait dans ses vêtements, que de souvenirs et de larmes. Elle avait gardé tous les p'tits mots, les cartes, les bricolages des enfants et de nous. Pleins d'articles qui parlaient de son fils, son unique...
Enfin, j'espère que c'est une autre étape de passer pour le deuil...
mercredi, octobre 03, 2007
rendre grâce
Enfin, j'ai pu sortir dehors... Ouf que ça fait du bien, la bonne air . Ça fait déjà 2 semaines que j'ai été opéré... je remonte doucement, merci Seigneur.
J'ai pu modéré les médicaments, j'en suis ravie. C'est la première nuit que je n'ai pas eu à me lever pour aller au toilette, enfin ! J'haïs ça me lever la nuit !! Je suis certaine que les prières de mes frères et soeurs sont pour quelquechose.
J'apprécie toutes les petites choses bien simple de la vie. Le fait d'avoir été dehors, respirer l'air, le vent qui te flatte le visage, les odeurs des fleurs que ma tante est venu couper dans ma plate-bande, les feuilles qui changent de couleur. Prendre une douche avec l'eau chaude qui te coule dans le dos, oh que c'est bon. Aller au toilette sans avoir mal... c'est fou mais ...
Vraiment je loue le Seigneur pour toutes choses...
J'ai pu modéré les médicaments, j'en suis ravie. C'est la première nuit que je n'ai pas eu à me lever pour aller au toilette, enfin ! J'haïs ça me lever la nuit !! Je suis certaine que les prières de mes frères et soeurs sont pour quelquechose.
J'apprécie toutes les petites choses bien simple de la vie. Le fait d'avoir été dehors, respirer l'air, le vent qui te flatte le visage, les odeurs des fleurs que ma tante est venu couper dans ma plate-bande, les feuilles qui changent de couleur. Prendre une douche avec l'eau chaude qui te coule dans le dos, oh que c'est bon. Aller au toilette sans avoir mal... c'est fou mais ...
Vraiment je loue le Seigneur pour toutes choses...
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