mercredi, février 27, 2008

une belle pensée

La critique, tout come la pluie,
devrait être assez douce
pour assurer la croissance d'une personne
sans détruire ses racines.
Frank Clark

mardi, février 26, 2008

cute !



Je trouvais ça juste cute !!! et c'est vrai en plus !

où regardes-tu ?


Quelqu'un a dit : "il y a trois façons de regarder.

Si vous voulez être malheureux, regardez en vous-même ;

si vous désirez être distrait, regardez autour de vous ;

mais si vous voulez connaître la paix, regardez en haut.

dimanche, février 24, 2008

La bible

Posséder la Bible ne suffit pas, Il faut la LIRE.

Lire la Bible ne suffit pas, il faut la CROIRE

Croire la Bible ne suffit pas, Il faut la VIVRE !

Le livre qui éclaire
Le livre qui sauve
Le livre qui transforme
Le livre qui guérit...

C'est plus qu'un livre... tant d'amour et de promesses...

Jésus a payé ta dette

Dans un village d'Ecosse vivait un médecin chrétien de grande renommée. Peu après sa mort, ses livres de comptabilité furent soigneusement examinés. On remarqua que plusieurs sommes étaient biffées à l'encre rouge avec la mention "acquitté, trop pauvre pour payer".

La femme du brave docteur qui, malheureusement, ne lui ressemblait pas, fit immédiatement en sorte que des procédures soient engagées en justice contre les débiteurs. Quand le cas fut présenté devant le juge, celui-ci demanda à la veuve :- "Est-ce bien là l'écriture de votre mari ?- Oui, absolument", répondit-elle. - Dans ce cas, lui déclara le juge, je suis désolé de vous décevoir, madame, mais il n'y a aucun tribunal dans tous le pays qui puisse vous faire obtenir des sommes sur lesquelles le créancier a écrit de sa propre main "Acquitté".

Le juge ferma le dossier avec un grand sourire et s'écria: "Affaire classée!".

*******Il en est de même pour notre dette envers Dieu. Alors que nous étions tous pécheurs, Jésus-Christ a payé de son sang le prix de notre salut éternel.
Pourquoi demander à rouvrir une affaire que Dieu a jugée et classée?

samedi, février 23, 2008

belle leçon de nos "échecs"

Echouer ne signifie pas que je suis un raté sans avenir !
Cela signifie que je n'ai pas encore réussi.
Cela ne veut pas dire que je n'ai rien accompli,
mais plutôt que j'ai appris quelque chose.
Cela ne veut pas dire que j'ai été insensé,
mais que j'ai eu le courage de prendre un risque.
Cela ne veut pas dire que je suis inférieur,
mais que je ne suis pas parfait.
Cela ne veut pas dire que j'ai gaspillé mon temps,
mais que j'ai une raison de recommencer.
Cela ne veut pas dire que je dois abandonner,
mais que je dois persister dans mes efforts.
Cela ne veut pas dire que je n'y arriverai jamais,
mais que j'ai besoin d'avantage de patience.
Cela ne veut pas dire que Dieu m'a abandonné,
mais qu'il a une meilleure idée.
selon John Maxwell

belle citation de James Irwin



James fut un astronaute lors de la mission Apollo 15.


"Le plus important, ce n'est pas que l'homme ait marché sur la lune,

mais que Dieu ait marché sur la terre en la personne de Jésus Christ."

mercredi, février 20, 2008

histoire de toutous


On demandait à des enfants pourquoi Jésus s'était comparé à un berger et nous à des moutons.
Un petit bonhomme de cinq ans répondit sans hésiter:
"C'est parce que un mouton,
c'est comme un toutou avec un gilet de laine..."


J'aurais bien voulu pouvoir enregistrer sur bande sonore l'explication qu'il nous donna par la suite avec son vocabulaire naïf mais combien touchant. Pour lui, un mouton c'était comme une sorte de chien frileux à qui le Seigneur avait donné un chandail de laine pour mieux le protéger du froid. Et comme Jésus voulait tous nous réchauffer, il nous appelait tous "ses moutons!"


Il n'y a pas grand chose à rajouter à cette nouvelle sorte d'homélie dominicale.

Ma vocation chrétienne serait peut-être de commencer à entrelacer des mailles pour fabriquer des chandails de laine dont notre monde a tellement besoin.
Le froid envahit inexorablement des nations, des peuples, des villes, des familles, des coeurs humains, peut-être même le mien...
On a tous froid!

Seigneur, fais de moi un mouton, transforme-moi en "toutou habillé d'affection et d'amour".


anonyme

dimanche, février 17, 2008

coup de coeur

Voilà une belle photo que j'ai trouvé bien mignonne.

Regardez bien la forme qu'on aperçoit !?



devinez ?? eh oui ! un coeur.... c'est beau hein !

L'histoire des trois sourds

Conte africain :

C’est l’histoire d’une femme. Elle était sourde, tellement sourde qu’elle n’entendait rien. Tous les matins elle portait son enfant sur son dos et elle se rendait à son champ. Elle avait un immense champ d’arachides. Et un matin qu’elle était là, tranquillement à travailler dans son champ, arriva un monsieur. Un monsieur tellement sourd qu’il n’entendait rien.
Et ce monsieur cherchait ses moutons. Ecoutez-bien ! Il s’adressa à la dame : - « Madame, je cherche mes moutons, leurs traces m’ont conduit jusqu’à votre champ. Est-ce que vous ne pourriez pas m’aider à les retrouver ? D’ailleurs, on les reconnaît bien mes moutons, parmi eux, il y a un mouton blessé. Madame si vous m’aidez à retrouver mes moutons, je vous donnerez ce mouton blessé vous pourrez toujours vous en servir. »

Mais elle, n’ayant rien entendu, rien compris, elle pensa que ce monsieur lui demandait juste jusqu’où son champ s’arrêtait. Elle se retourna pour lui dire : - « Mon champ s’arrête là-bas. »

Le monsieur a suivi la direction indiquée par la dame et par un curieux hasard il trouva ses moutons en train de brouter tranquillement derrière un buisson. Tout content il les rassembla et il vint remettre à la dame le mouton blessé.
Mais celle-ci, n’ayant rien entendu, rien compris, elle pensa que ce monsieur l’accusait d’avoir blessé son mouton. Alors elle se fâcha : - « Monsieur, je n’ai pas blessé votre mouton.
Allez accuser qui vous voulez mais pas moi. D’ailleurs des moutons, je n’en ai jamais vus. »

Le monsieur quand il a vu que la femme se fâchait, il pensa que cette femme ne voulait pas de ce mouton mais qu’elle voulait d’un mouton plus gros. Et à son tour, il se fâcha : - « Madame, c’est ce mouton que je vous ai promis. Il n’est pas du tout question que je vous donne le plus gros de mes moutons. »

Tous les deux se fâchèrent, ils se fâchèrent à un tel point qu’ils finirent par arriver au tribunal. Et le tribunal dans cette Afrique d’il y a longtemps, cela se passait sur la place du village, à l’ombre d’un grand arbre, l’arbre à palabres le plus souvent un baobab.

Et le juge, lui qui était en même temps le chef du village, était là entouré de tout ces gens qu’on appelle les notables. La dame et le monsieur arrivèrent tout en continuant leur querelle. Et après les salutations c’est elle qui parla la première : - « Ce monsieur m’a trouvé dans mon champ, il m’a demandé jusqu’où mon champ s’arrêtait. Je lui ai montré et j’ai repris mon travail. Ce monsieur est parti et quelques instants après il est revenu avec un mouton blessé m’accusant de l’avoir blessé. Or moi je jure que des moutons j’en ai jamais vus.
Voilà pourquoi on est ici monsieur le juge. »

C’était au tour du monsieur : - « Je cherchais mes moutons, dit-il, et leurs traces m’ont conduit jusqu’au champ de cette dame. A cette dame j’ai dit que si elle m’aidait à retrouver mes moutons je lui donnerais un d’entre eux mais j’ai bien précisé le mouton blessé. Elle m’a montré mes moutons, c’est ce mouton blessé que je lui ai donné. Elle veut un mouton plus gros. Pensez-vous que je vais lui donner le plus gros de mes moutons à deux pas de la fête des moutons ? »


Le juge se leva. Il était aussi sourd qu’un pot. Et quand il vu l’enfant sur le dos de sa mère il pensa qu’il ne s’agissait là que d’une petite querelle de ménage. Alors il s’adressa au monsieur : - « Monsieur. Cet enfant est votre enfant. Regardez d’ailleurs comment il vous ressemble. A ce qu’il me semble vous êtes un mauvais mari. Et vous madame, des petits problèmes comme cela. Ce n’est pas la peine de venir jusqu’ici étaler ça devant tout le monde. Rentrez chez vous ! Je souhaite que vous vous réconciliiez. »

Ayant entendu ce jugement, tout le monde éclata de rire. Et le rire contamina le juge, la dame et le monsieur. Que firent-ils ? Ils éclatèrent de rire bien que n’ayant rien compris...
une question: lequel de ces trois est le plus sourd ?!

La Leçon: Il vaut mieux ne pas se dépêcher de donner une réponse. On conseille quelque part en Afrique, d’avoir le cou aussi long que celui du chameau, afin que la parole avant de jaillir puisse prendre tout son temps.
Tiens! d’où viendrait donc ce qui sort de notre bouche ?
La bible nous dit que toute parole qui sort de notre bouche vient de notre cœur !! Voilà donc pourquoi nous devons veiller à notre cœur, et avant de parler, prendre le temps écouter !
Ne sommes-nous pas si souvent aussi sourd que ces trois là ! Trop souvent nous n’écoutons que nous même tout en tendant une oreille distraite vers celui qui nous parle…pourtant on devrait se rappeler que non seulement nous avons deux oreilles et une seule bouche, ce qui signifie que nous devrions écouter deux fois plus que nous ne devrions parler ! Et ensuite, centré sur nous même, nous risquons de passer à côté de belles amitiés…

Ecouter les autres est tout un art… et cela aussi trouve sa source dans nos cœurs !
Veillons vraiment à notre cœur, si nous ne voulons pas passer notre temps
à palabrer sous notre baobab!
Mieux vaut construire de belles amitiés en ouvrant notre coeur et nos oreilles , avant d'ouvrir notre bouche!!
Myosotis

samedi, février 16, 2008

les saisons de l'amour

Le printemps de l'amour est tout simplement magique
parce que chaque journée est faite de découvertes et de nouveautés.
L'été de l'amour est chaud et éclatant comme le soleil.
C'est une période dorée, marquée par la complicité
et les rêves partagés...
L'automne de l'amour est tendre;
c'est un moment paisible où les amoureux
récoltent le fruit du bonheur qu'ils ont semé...
L'hiver de l'amour est beau et touchant
comme peuvent l'être tous les souvenirs
d'un amour dont c'est le perpétuel printemps.

jeudi, février 14, 2008

Dieu est spécial...

Depuis toujours que j'ai à coeur de devenir famille d'accueil (probablement parce que moi-même j'ai vécu là-dedans) mais mon mari et moi n'étions pas tout à fait sur le même pied d'égalité à l'époque.

Mais imaginez-vous que depuis hier , nous sommes famille d'accueil, pas d'un enfant mais du cousin de François.

Celui-ci a vécu de gros problème à cause de la drogue et il a besoin d'aide pour s'en sortir. Pour la première fois, il veut être libéré de cette vie déréglée. Nous lui avons offert de venir vivre dans notre famille, là où il y aura un toit, de l'amour, une sécurité... Nous espérons que Dieu changera son coeur au point de se convertir.

Étant donné que c'est la St-Valentin ce soir, et bien je fais une belle fondue et j'ai toute décoré ma table avec des p'tits confettis en coeur, j'ai aussi ajouter un mot d'amour à chacun sur un coeur et à l'endos, j'ai écrit je t'aime parce que...
Je crois que la joie et l'amour qu'il recevra viendra faire fondre son coeur de rebelle.

Lorsque j'ai fait son lit hier soir, je lui ai mis un petit mot sous son oreiller, ça disait:
bienvenue à la maison, je souhaite que tu puisses enfin trouver la vraie paix et le vrai sens à ta vie, on t'aime. Je sais que Dieu se servira de notre hospitalité et qu'il pourvoieras à nos besoins.

en cette fête de l'amour...


Je vous donne un gros câlin
à chacun de vous ....
Que Dieu vous comble de son merveilleux amour.

une bonne soupe d'amour !

Préparer une grande casserole,
Couper les mots de colère, garder ceux qui sont adoucissants, équilibrants et apaisants,
Brosser, peler et laver l'égoisme,
Hacher les conflits et la froideur,
Enlever la peau de la contrariété et celle des ressentiments avant cuisson,
Rejeter le mauvais, annuler le négatif,
Combiner le respect et la courtoisie,
Ajouter une très grosse canne d'affections,
Une bouteille pleine de délicatesses,
Mesurer un gros contenant plein de bon sens,
Mettre le bouillon de la politesse bien dégraissé de l'inattention,
Un cube d'accessibilité,
Mêler la bonne attitude, la vitalité, l'enthousiasme,
Mettre un bouquet garni de paroles aimables,
Parsemer de poudre de disponibilité,
Saupoudrer de beaucoup, beaucoup d'amour, accompagné d'une voix douce,
Ne pas mettre trop de reproches, attention, ça gâterait le tout,

L' ajout de la cordialité donne un très bon petit goût,
On peut varier avec la convivialité,
Certains préfèrent avec un soupçon d'étreintes,
Remuer délicatement,
Épaissir pour lui donner la texture veloutée de la tendresse,
Incorporer petit à petit l'humour,
Encore meilleure si on a préalablement prévu la bienveillance.

À feu doux, et porter à ébullition l'émerveillement,
Réduire le feu des arrières-pensées,
Laisser mijoter le don de soi et les p’tits bonheurs,
Poursuivre la cuisson dans une ambiance sereine et chaleureuse.

Un parfum agréable de compréhension se propagera dans toute la maisonnée.
Varier les saveurs.
Et sortez votre plus belle soupière !
Une soupe exquise, saine, équilibrée, bonne à se délecter, chaude et très réconfortante.
Une recette appétissante, nourrissante et adaptable à toute la famille.

On peut l'accompagner de biscuits de gestes sympathiques
ou de croûtons de finesses, et d'un filet de bon accueil.
Déguster le plaisir de vous sentir rassasié.
Très bon choix lorsqu'on reçoit la visite à souper.
Un régal !
À la soupe !!!

Francine

mardi, février 12, 2008

hier, aujourd'hui, demain


Aujourd'hui est la plus importante journée de ta vie,
puisque hier ne t'appartient déjà plus
et que demain n'est encore qu'une illusion.
Alors, rappelle-toi bien ceci :
Si aujourd'hui est vécu,
chaque hier se transformera en heureux souvenir,
et chaque demain se transformera
en une vision remplie d'espoir.




J'aime bien cette photo, je trouve qu'on peut lui faire dire beaucoup de choses. J'étais sur une plage en Floride. Sur une pancarte, ça disait qu'il y avait des crocodiles et des serpents... je n'en ai pas vu et c'est tant mieux.


Pendant ce peu de temps que je suis partie, Dieu m'a bénie dès le début de mon voyage, nous sommes arrivé très juste à l'aéroport car il y avait eu une grosse tempête de neige et nous avons pu avoir une place dans le stationnement juste à la porte, ensuite dans l'avion j'étais toute seule sur mon banc, j'ai donc pu m'étendre les jambes.


Rendu en Floride, il faisait super chaud, ce fut la plus belle semaine de chaleur. J'ai pu me promener sur le bord de la mer et même faire du jogging les pieds dans l'eau wow ! incroyable mais vrai !! j'en reviens pas encore moi-même. L'eau était de couleur aqua, le sable blanc comme la neige, les pélicans étaient au rendez-vous pour nous offrir un beau spectacle et même les goélands voraces et voleurs !!! Nous étions en train de dîner et à notre grand étonnement, un goéland a volé sur la main de ma tante pour lui prendre son sandwich dans les mains et un peu plus tard, il y avait un couple qui était partis se baigner et avait laisser leur lunch sur la beach, croyez-le, croyez-le pas, un goéland a fouilli dans le lunch et a pris un sac complet de chips et ensuite toute la gang de goélands sont arrivés et ont piqués dans le sac pour le percer...ils ont bouffés les chips !!! Tout un show !!


Sur notre terrain de camping et bien c'était le nid des vautours. J'en ai jamais vu autant de ma vie et surtout de si proche. Il devait en avoir des centaines. C'est très impressionnant. C'est très gros avec d'immense ailes. Dans la journée, on les voyaient planer au-dessus de nos têtes et le matin, leurs ailes étaient toutes ouvertes.


Aussi, un matin nous avons aperçu une super grosse toile d'araignée accroché à un palmier, elle avait la forme d'un auréole, c'était de toute beauté, je me demande quelle genre d'araignée qui l'a tissée. Oui Dieu est grand et se manifeste dans sa création.


Je loue donc le Seigneur pour ce privilège que j'ai eu...

samedi, février 09, 2008

de retour...










Des pieds dans le sable à des pieds dans la neige... mais quelle différence...
la couleur était la même mais pas la chaleur !!
Le sable ressemblait à la fécule de maïs, j'ai jamais vu cela.
Le Seigneur est bon, il a fait beau toute la semaine et très chaud aussi.
Ils ont dit que c'était la plus belle semaine.

vendredi, février 01, 2008

l'amour

Le sens du devoir SANS AMOUR rend irritable, mécontent

La responsabilité SANS AMOUR rend inflexible, sans égard envers autrui.

La justice SANS AMOUR rend sévère, impitoyable, moraliste

La vérité SANS AMOUR rend critique, légaliste

L'éducation SANS AMOUR rend insensible, contradictoire et présomptueux

L'intelligence SANS AMOUR rend rusé

L'amabilité SANS AMOUR rend hypocrite

L'expérience SANS AMOUR rend orgueilleux, insociable

Le savoir SANS AMOUR rend prétentieux, stupide

La richesse SANS AMOUR rend avare, spéculateur

La sagesse SANS AMOUR rend irritable, pénible

L'activité SANS AMOUR rend stérile, vide

Le dévouement SANS AMOUR rend propre injuste

Le devoir SANS AMOUR rend insatisfait

La foi SANS AMOUR rend fanatique

L'ordre SANS AMOUR rend tatillon

La compétence SANS AMOUR suscite la volonté d'avoir toujours raison

La force SANS AMOUR rend violent, querelleur

L'honneur SANS AMOUR rend hautain, suffisant

La vie SANS AMOUR est vide, absente

Les paroles SANS AMOUR sont comme un vent violent et détruisent

Les bonnes oeuvres SANS AMOUR ne servent qu'à nous glorifier


L'AMOUR NE PÉRIT JAMAIS

Quand j'ai lu ce texte, ça m'a fait beaucoup réfléchir car souvent on rencontre des gens dans toutes sortes de situation et l'amour n'est pas au rendez-vous et c'est donc vrai que ça crée des effets tellement déplaisant et détestable... Mais c'est si facile de voir ce qui ne va pas chez les autres.
J'ai voulu aller un pas plus loin et me demander MOI qu'est-ce que je fais sans amour et comment ça peut être destructeur pour mes proches . Wow ! Que Dieu me donne la sagesse de bien m'évaluer, de bien me sonder et surtout qu'il me remplisse de son amour, il est l'auteur même de cet amour. Que Dieu change mon coeur, il est le plus grand chirurgien du coeur.

la petite cruche fissurée

Combien de chrétiens se sentent inférieurs, inutiles, regardent toujours les "champions de la foi" avec envie en se disant que, vu leur petitesse face à ces champions, Dieu ne peut pas se servir d'eux !...

Une telle pensée n'est certes pas de Dieu, Lui qui "a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; ...et les choses faibles du monde pour confondre les fortes "
(1Corinthiens 1:27)

Un vendeur d’eau se rend chaque matin à la rivière, remplit ses deux cruches et part vers la ville distribuer l’eau à ses clients.

Fissurée, une des cruches perd son eau.

Toute neuve, l’autre rapporte plus d’argent.

La pauvre fissurée se sent inférieure.

Un matin, elle décide de se confier à son patron :

Tu sais, je suis consciente de mes limites. Tu perds de l’argent à cause de moi, car je suis à moitié vide quand nous arrivons en ville. Pardonne mes faiblesses.

Le lendemain, en route vers la rivière, le patron interpelle sa cruche fissurée :

- Regarde sur le bord de la route !

- C’est joli, et plein de fleurs !

- C’est grâce à toi, réplique le patron. C’est toi qui, chaque matin, arroses le bas-côté de la route.

J’ai acheté un paquet de graines de fleurs et je les ai semées le long du chemin. Et toi, sans le savoir et sans le vouloir, tu les arroses chaque jour. Ne l’oublie jamais : nous sommes tous un peu fissurés mais, si nous le lui demandons, Dieu sait faire des merveilles avec nos faiblesses.