samedi, avril 28, 2007

Mercy me I Can Only Imagine

Je ne peux qu'imaginer ce que ce sera
Quand je marcherai juste à Tes côtés.
Je ne peux qu'imaginer ce que mes yeux verront
Lorsque Ton visage sera devant moi !
Je ne peux qu'imaginer...

Ref. :
Entouré par Ta grandeur, mon coeur va t-il frémir ?
Danserai-je pour toi mon Jésus ?
Serai-je saisi par la peur ?
Devant toi resterai-je debout ?
Vais-je tomber sur mes genoux ?
Chanterai je "alleluia" ?
Est-ce que je pourrai Te parler ?
Je ne peux qu'imaginer...

Je ne peux qu'imaginer le jour où Tu viendras
Pour me retrouver debout devant toi.
Je ne peux qu'imaginer
Que tout ce que je ferai
Sera de T'adorer pour l'éternité.
Je ne peux qu'imaginer...

Ref. : (ter)
Entouré par Ta grandeur,
Mon coeur va t-il frémir ?
Danserai-je pour toi, mon Jésus ?
Serai-je saisi par la peur ?
Devant Toi, resterai-je debout ?
Vais-je tomber sur mes genoux ?
Chanterai je "alleluia" ?
Est-ce que je pourrai Te parler ?
Je ne peux qu'imaginer...

Je ne peux qu'imaginer ce que ce sera
Quand je marcherai juste à Tes côtés...
Je ne peux qu'imaginer...

Madison gospel

à écouter attentivement car ça peut arriver à tous dans la vie...moi ça m'a bien touché et j'avais le goût de vous le partager.

histoire d'esclave



Cette histoire se passe lors d'une vente aux enchères d'esclaves dans l'ancienne Nouvelle-Orléans. Elle est une illustration dramatique de la doctrine de la loi et de la grâce.




Deux planteurs faisaient une offre pour un vieil esclave noir qui ne cessait de hurler sa rebellion.Finalement, l'un des planteurs l'emporta, installa l'esclave à l'arrière de son chariot et partit pour la ferme.


Tout au long du voyage l'homme noir continua d'affirmer qu'il ne travaillerait pas pour son nouveau propriétaire.


Quand ils arrivèrent à la plantation, le planteur détacha les entraves de son nouvel esclave et lui dit: "Vous êtes libre de partir. Vous n'êtes plus un esclave.




Je vous ai acheté dans le but de vous donner votre liberté.


"Selon l'histoire, le vieil homme tomba au pieds du planteur et lui dit, "Maître je vous servirai toujours !"




Avez-vous déjà lu le livre la case de l'oncle Tom ? Wow !! il faut absolument que vous lisiez ce classique une fois dans votre vie... Tom, lui, c'était un esclave qui avait vraiment l'amour du Seigneur en lui et ses gestes le démontraient malgré toutes les souffrances qu'il a dû endurées...


C'est un livre que vous voulez lire jusqu'à la fin, il te fait passer par pleins d'émotions, de questionnements, de frustration, de tristesse, de pleurs, de compassion...


Dans ce roman c'est la grâce de Dieu qui est à l'honneur et le pardon...
allez je vous le suggère fortement !

L'affineur d'argent

Un groupe de dames se réunissait pour leur réunion de lecture biblique hebdomadaire. Alors qu'elles en étaient au livre de Malachie, chapitre troisième, elles sont maintenant arrivées au verset trois qui dit: "Et il s'assiéra comme celui qui affine et purifie l'argent;" Mal 3:3.

Ce qui laissa les femmes quelque peu perplexes, sur la manière dont cela s'appliquait dans la nature et le caractère de Dieu.
Une des dames se proposât d'aller en découvrir plus au sujet des procédés de l'affinage de l'argent et allait leur en parler lors de leur prochaine réunion.La semaine suivante, la dame prit sur elle d'appeler un orfèvre qui travaille l'argent et prit rendez-vous pour passer un temps à l'observer lorsqu'il allait travailler son métal. Bien entendu elle ne mentionna pas toutes les raisons de son intérêt, à part sa curiosité à propos du processus d'affinage de l'argent.

Comme elle regardait l'orfèvre travailler, il tenait un morceau d'argent dans le feu et le laissait chauffer. L'orfèvre expliqua que dans la technique du raffinement de l'argent, on devait tenir le morceau au centre du feu, ou la flamme est à son plus chaud et ou elle peut ainsi brûler toutes les impuretés qui se trouvent dans le métal.

La dame se mit à penser à Dieu qui nous tenait à des endroits si chauds dans notre vie, puis elle pensa encore au verset: "Et il s'assiéra comme celui qui affine…" Alors elle demanda à l'orfèvre s'il était vrai qu'il devait s'asseoir devant le feu, tout le temps que ça prenait pour affiner le métal. Et il lui répondit oui, que non seulement il devait s'asseoir tout le temps qu'il devait tenir l'argent, mais qu'il devait garder ses yeux constamment sur le morceau, tout le temps qu'il était au feu. Si l'argent devait rester ne serait-ce qu'un seul instant de trop, tout le morceau serait détruit.

La dame resta silencieuse un moment.Puis elle demanda à l'orfèvre: "Mais alors, comment faites-vous pour savoir lorsque l'argent est complètement affiné?". L'orfèvre lui sourit et répondit: "Ah, ça c'est facile, quand je peux voir mon image dans l'argent, alors le processus d'affinage est terminé!"

Quel image n'est-ce pas? Lorsque Jésus verra Sa propre image en nous, alors le processus d'affinage et de purification est complet !!! Et Dieu dans son amour, nous purifie chaque jour afin que nous puissions entrer dans Son royaume, car rien de souillé n'entrera dans le royaume des cieux! Le feu, est l'épreuve et la persévérance… dans l'épreuve. Et ce, sans que jamais Dieu ne nous quitte des yeux…

www.geocities.com/elainemarieslittlelantern

mardi, avril 24, 2007

1 corinthiens 13 : 4-7

Voici une belle version du chapitre sur l'amour que j'aime beaucoup. Il me semble que c'est plus facile à comprendre pour le mettre en pratique à tous les jours...

Celui qui aime est patient, il sait attendre; son coeur est largement ouvert aux autres.
II est serviable, plein de bonté et de bienveillance;
II cherche à être constructif et se plaît à faire du bien aux autres.
L'amour vrai n'est pas possessif, il ne cherche pas à accaparer,

il est libre de toute envie, il ne connaît pas la jalousie.
Lorsqu'on aime, on ne cherche pas à se faire valoir,

on n'agit pas de manière présomptueuse.
Celui qui se rengorge, s'étale et s'enfle d'orgueil n'est pas inspiré par l'amour.
Aimer, c'est aussi se conduire avec droiture et tact.
L'amour prend des égards et évite de blesser ou de scandaliser, il n'est pas dédaigneux.
Celui qui aime ne saurait agir à la légère ou commettre des actes inconvenants.
Aimer, c'est ne pas penser d'abord à soi, chercher son propre intérêt,

insister sur ses droits.
L'amour n'est pas irritable, il ne s'aigrit pas contre les autres.
Il n'est pas susceptible.
Quand on aime, on ne médite pas le mal et on ne le soupçonne pas chez les autres.
Si on subit des torts, on n'en garde pas rancune.
Découvrir une injustice, ou voir commettre le mal, ne fait pas plaisir à celui qui aime.
Il se place du côté de la vérité et se réjouit lorsqu'elle triomphe.
L'amour couvre tout: il souffre, endure et pardonne.
Il sait passer par-dessus les fautes d'autrui.
Aimer, c'est faire confiance à l'autre et attendre le meilleur de lui,
c'est espérer sans faiblir, sans jamais abandonner.
C'est savoir tout porter, tout surmonter.


(1 Corinthiens 13:4-7 PVV)

L'amour est patient,
II est plein de bonté, l'amour.
Il n'est pas envieux,
II ne cherche pas à se faire valoir,
II ne s'enfle pas d'orgueil.
Il ne fait rien d'inconvenant.
Il ne cherche pas son propre intérêt,
II ne s'aigrit pas contre les autres,
II ne trame pas le mal.
L'injustice l'attriste, la vérité le réjouit.
En toute occasion, il pardonne, il fait confiance, il espère, il persévère.


(1 Corinthiens 13:4-7 SEM)

jeudi, avril 19, 2007

Bergers adjoints...

Ceux qui ont déjà encadré des groupes d'enfants le savent: il faut avoir les yeux partout.

Le pire, c'est quand on les emmène se baigner. Là, ça devient un cauchemar, entre ceux qui jouent au sous-marin, ceux qui s'ébattent dans tous les sens, sautent et gigotent, impossible de les compter, il faudrait quinze paires d'yeux.

On a qu'une hâte, c'est de sortir le groupe en vitesse. Mieux vaut avoir les nerfs solides!



Quand on suit une formation de surveillant de baignade, on apprend quelque chose de fondamental: pour surveiller un groupe, il faut former des paires.Chaque enfant est responsable de surveiller un camarade, qui en retour le surveille aussi. Dès qu'il y en a un qui coule, se blesse, ou disparait sous l'eau, c'est sa "paire" qui donne l'alerte.

La baignade devient alors beaucoup plus sûre. Le surveillant reste bien sûre très attentif, mais les "paires" d'yeux sont démultipliées.



Saviez-vous que c'est aussi un principe biblique?

Voici ce que nous dit l'épître aux Hébreux : "Veillons les uns sur les autres, et encourageons-nous fortement à l'amour et aux bonnes oeuvres" (Hébreux 10/24).



La précieuse sécurité de veiller les uns sur les autres est une des fonctions fondamentales de l'église locale. Comprenez moi bien, il ne s'agit pas de s'espionner mutuellement pour faire des cancans, ou de nous mêler de ce qui ne nous regarde pas, mais, d'avoir ce regard attentif de mère poule pour ne pas que quelqu'un coule sans que personne ne l'ai vu.



Vous allez me dire : "le Pasteur est là pour ça". Peut-être, mais il n'a que deux yeux et deux oreilles, comme tout le monde. Plus l'assemblée est importante, plus le risque est grand que quelqu'un "boive le bouillon" dans l'indifférence générale.



Quand la parole de Dieu nous dit de veiller les uns sur les autres, elle nous appelle à être des "bergers adjoints", qui vont avoir l'oeil et le coeur aux aguets pour détecter un découragement, des larmes, une fatigue, une personne nouvelle, ou un loup rôdeur peut-être.



Souvent les personnes qui partent de l'église dégoutées, et qui reprochent un "manque d'amour dans l'église", ont en fait souffert: d'indifférence: "je suis entré, je suis sorti, et personne n'a fait attention à moi".



Pourtant, un sourire, une poignée de main, un petit mot d'encouragement, ça ne coûte pas cher, et c'est une grande richesse pour l'église.

Alors branchons tout nos radars et mettons nos coeurs aux aguets pour que personne ne ressorte de notre église comme d'un centre commercial, anonyme et froid.



J'ai trouvé cet article dans le pain quotidien. Je crois que ça peut nous aider à mettre en pratique cet aspect de veiller les uns sur les autres. C'est dont vrai que c'est plaisant d'être accueilli et considéré. Les gens apprécient lorsqu'ils viennent pour la première fois à l'église qu'on les salue, qu'on s'intéresse à eux. Moi j'essaie de me faire un devoir d'aller leur dire bonjour. Et s'il revienne et bien je leur adresse la parole par leur prénom et c'est certain qu'ils sont touchés de cela.

Vous allez peut-être dire que ce n'est pas donné à tous, que vous êtes gênées... je comprends cela , moi aussi ,mais j'essaie de me mettre à leur place, comment j'aimerais être reçue ?

Il faut se rappeler que le Seigneur les aime et qu'ils veut les toucher par notre amour aussi...

mardi, avril 17, 2007

Le plaisir ou la joie !?


Voici une petite réflexion que j'ai lu dans le pain quotidien qui m'a fait réfléchir et touché aussi...


Le monde offre des plaisirs passagers (Héb 11 : 25), mais le Seigneur Jésus nous offre une joie parfaite et durable(Jn 15 : 11 ).


Le plaisir dépend des circonstances, mais la joie, qui est intérieure, n'est pas troublée par ce qui nous entoure.

Le plaisir change constamment, mais la joie, elle, demeure.

Les plaisirs du monde engendrent souvent la dépression. La joie véritable, elle est fondée sur Jésus-Christ, qui est le même hier, aujourd'hui et éternellement. ( Héb. 13 : 8 ).


Pour continuer d'avoir du plaisir, nous devons courir d'un stimulus à un autre, car il nous échappe constamment.

La joie est tout le contraire, car c'est un don qu'on reçoit de Dieu.


Le plaisir repose sur l'égoïsme, mais la joie repose sur le don de soi. Plus on recherche la satisfaction personnelle, plus on se sent vide.


Si aujourd'hui un gramme de plaisir nous procure un instant de bonheur, c'est un kilo de sensations et de frissons qu'il faudra pour produire le même effet demain.

La joie, par contre, repose sur le don et le sacrifice de soi.


En apprenant à nous concentrer sur les besoins des autres, nous trouvons davantage de satisfaction en Dieu lui-même, qui comble nos moindres besoins.


C'est uniquement en recherchant les choses de Christ qu'on trouve la joie durable.

samedi, avril 07, 2007

histoire pour PÂQUES


Jérémie était né avec un corps tordu, un esprit lent et une maladie chronique et incurable dont il se mourait lentement. Malgré cela, ses parents avaient essayé de lui donner une vie aussi normale que possible et l'avaient envoyé à l'école primaire avec les autres enfants.


A l'âge de 12 ans, Jérémie n'était qu'en 2e année et semblait incapable d'apprendre. Son professeur était souvent exaspérée par lui. Il se tortillait sur son siège, bavait et poussait des grognements. A d'autres moments, il s'exprimait clairement et distinctement, comme si un rayon de lumière avait pénétré l'obscurité de son cerveau.


La plupart du temps cependant, Jérémie irritait son professeur. Un jour, elle appela ses parents et leur demanda de venir à l'école pour une consultation. Les parents de Jérémie étaient assis tranquillement dans la classe vide, écoutant le professeur leur dire :- Jérémie devrait vraiment être dans une école spéciale. Ce n'est pas juste pour lui d'être avec des enfants plus jeunes qui n'ont pas de difficulté d'apprentissage.

Que voulez-vous, il y a un écart de 5 ans entre son âge et celui des autres élèves !


La maman de Jérémie se mit à pleurer doucement, s'épongeant les yeux avec un papier mouchoir, tandis que son mari parlait.- Mademoiselle, il n'y a aucune école de ce genre à proximité.


Ce choc serait terrible pour Jérémie s'il fallait que nous le retirions de cette école.

Nous savons qu'il aime vraiment être ici.


Après le départ des parents de Jérémie, le professeur resta assise longtemps, regardant fixement la neige par la fenêtre. La froideur semblait s'infiltrer dans son âme. Elle voulait sympathiser avec les parents.


Après tout, leur seul enfant souffrait d'une maladie incurable. Mais ce n'était pas juste de le garder dans sa classe.

Elle enseignait à 18 autres jeunes, Jérémie était une cause de distraction.

En outre, il n'apprendrait jamais à lire et à écrire. Pourquoi perdre plus de temps à essayer ?


Comme elle réfléchissait à la situation, la culpabilité l'envahit. - Mon Dieu, je me plains alors que mes problèmes sont minimes en comparaison de ceux de cette pauvre famille, veuillez m'aider à être patiente avec Jérémie.

À compter de ce jour, elle fit de son mieux pour ne pas tenir compte des bruits faits par Jérémie et de ses regards absents.


Puis un jour, il boita jusqu'à son bureau trainant sa mauvaise jambe derrière lui. - Je vous aime, mademoiselle, s'exclama-t-il assez fort pour que toute la classe entende. Les autres élèves ricanèrent, et le visage du professeur devint écarlate. Elle bégaya :- M m ais c'est très gentil, Jérémie, retourne à ta place maintenant.


Le printemps arriva et les enfants se mirent à parler sur un ton animé de l'approche de Pâques.


Le professeur leur raconta l'histoire de Jésus, puis, pour mettre l'accent sur l'idée d'une vie nouvelle qui surgit, elle remit à chaque enfant un gros oeuf de plastique.- Maintenant, je veux que vous l'apportiez à la maison et que vous le rapportiez demain avec quelque chose à l'intérieur qui représente une nouvelle vie. Comprenez-vous ?- Oui, mademoiselle, répondirent les enfants avec enthousiasme (sauf Jérémie).

Il se contenta d'écouter attentivement ; ses yeux ne quittèrent jamais le visage de son professeur. Il ne fit aucun de ses bruits habituels. Avait-il compris ce qu'elle avait dit au sujet de la mort et de la résurrection de Jésus ? Comprenait-il la tâche demandée ?

Peut-être devrait-elle téléphoner à ses parents pour leur expliquer le projet.


Ce soir-là, l'évier de cuisine de Doris se boucha. Elle appela le concierge et attendit une heure pour qu'il vienne le déboucher. Après cela, il lui fallait encore faire l'épicerie, repasser un chemisier et préparer une épreuve de vocabulaire pour le lendemain. Elle oublia complètement de téléphoner aux parents de Jérémie.


Le lendemain matin, 19 enfants arrivèrent à l'école, riant et bavardant tout en plaçant leurs oeufs dans le grand panier d'osier que le professeur avait déposé sur son pupitre. Après avoir terminé la leçon de mathématique, ce fut le temps d'ouvrir les oeufs.


Dans le premier, le professeur trouva une fleur : - Oh oui, une fleur est certainement un signe de vie nouvelle. Lorsque les plantes percent à travers le sol, nous savons que le printemps est arrivé. Une petite fille de la première rangée agita son bras en disant :- C' est mon oeuf, c'est à moi !


Dans l'oeuf suivant, il y avait un papillon en plastique qui avait l'air vrai pour représenter la transformation vers une vie nouvelle.


Un autre contenait une roche couverte de mousse qui représentait la vie.


Puis le professeur ouvrit un autre oeuf. Elle eut le souffle coupé : l'oeuf était vide ! C'était sûrement Jérémie, elle avait oublié d'avertir ses parents, il n'avait pas compris. Comme elle ne voulait pas l'embarrasser devant les autres, elle le mit discrètement de côté et prit un autre oeuf.- Mademoiselle, vous ne parlez pas de mon oeuf ? demanda Jérémie.- Mais ton oeuf est vide ! répondit le professeur troublé.- Oui, mais la tombe de Jésus était vide, elle aussi !


Le souffle coupé, lorsqu'elle put parler de nouveau, elle demanda :- Sais-tu pourquoi le tombeau était vide ?- Oh oui, s'exclama Jérémie, Jésus a été tué et on l'a mis là-dedans. Puis son Père l'a ressuscité !


La cloche de la récréation se fit entendre. Pendant que les enfants se précipitaient avec animation vers la cour de l'école, le professeur se mit à pleurer. Le froid à l'intérieur d'elle avait complétement disparu.


Trois mois plus tard, Jérémie mourut. Les personnes qui allèrent présenter leurs condoléances au salon funéraire furent étonnés de voir 19 oeufs sur le dessus du cercueils, tous vides ...


Adaptation du texte de Ida Mae Kempel

jeudi, avril 05, 2007

p'tit fait cocasse

Comme vous savez je travaille au service de garde en milieu scolaire... à chaque midi nous donnons des choubidoux(papier avec leur nom pour un tirage du mois) à ceux qui le méritent et respectent bien les consignes... Ce midi eh bien je voulais en donner un à un jeune qui habituellement n'en mérite jamais dû à son mauvais comportement mais je ne pouvais pas car la boîte en question servait pour notre tirage de chocolat pour Pâques. Je raconte à une autre éducatrice que j'aurais aimé donné un choubidoux à ce jeune mais c'était impossible... ça reste-là!

Un peu plus tard on fait justement le tirage des chocolats et à ma grande surprise qui a gagné la surprise??... oui ! oui ! c'est le jeune en question. J'étais bouche-bée ! J'ai dit à l'éducatrice Wow! le Seigneur est bon pour lui, je l'avais à coeur et il l'a permis... elle a été très surprise elle-même. Évidemment j'en ai profité pour le dire à ce jeune aussi...

Petit fait cocasse qui je crois parlera aux coeurs de ses personnes... Dieu est présent et vivant dans tous les détails de nos vies... à lui soit la gloire !!

mercredi, avril 04, 2007

voilà une prêche que j'ai aimé, nous sommes des personnes de grandes valeur ! Amen !!

1Pi 2 :4-10,

Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu; et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ. Car il est dit dans l’Ecriture: Voici, je mets en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse; Et celui qui croit en elle ne sera point confus. L’honneur est donc pour vous, qui croyez. Mais, pour les incrédules, La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l’angle, (2-7) Et une pierre d’achoppement Et un rocher de scandale; (2-8) ils s’y heurtent pour n’avoir pas cru à la parole, et c’est à cela qu’ils sont destinés. Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière, 1 vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, et qui maintenant êtes le peuple de Dieu, vous qui n’aviez pas obtenu miséricorde, et qui maintenant avez obtenu miséricorde.


Il m’est arrivé de lire un article qui a retenu mon attention. Il s’intitulait : "Des trésors sous la poussière". On y lisait entre autre : "n’oubliez pas les coins cachés du sous-sol et du garage. Les bicyclettes des années 60 et 70, avec guidon surélèves, sont très recherchés. Ces dernières années, elles se négociaient à 700$ et plus."

Je me trouvais une semaine plus tard dans un magasin d’occasion comme celui de l’Armée du Salut et je vis cette bicyclette au fond à 10$. Je donnai un coup de coude à mon épouse en la lui montrant. "Dépêche-toi, va la chercher avant qu’un autre la prenne" me dit-elle. Comme si tout le monde dans le magasin était au courant de cet article. Mais non, personne ne semblait attiré par cet objet apparemment sans valeur.

On l’a acheté avec une certaine expression de joie en s’imaginant déjà plus riche de 700$, mais Dieu avait un autre projet pour cette bicyclette, elle allait servir à sa gloire. L’article en effet se terminait par cette phrase : "Un rebut peut se transformer en trésor".

Vous savez, si la personne qui avait la bicyclette avait su la valeur réelle qu’elle avait, elle ne l’aurait pas envoyé au débarras. Elle l’aurait plutôt astiquée pour en augmenter la valeur. C’est pareil pour nous, si nous savions la valeur que les personnes représentent pour Dieu, on leur porterait bien plus d’attention.

Par le texte qui suit, nous allons estimer la valeur du Christ, celle des Croyants .

1. Quelle est donc notre évaluation envers la personne du Christ ?

Le texte que nous venons de lire nous disait : " Approchez-vous de Lui (le Christ), pierre vivante, rejetté par les hommes, mais choisit et précieuse devant Dieu. " Pour Dieu, Jésus est l’être le plus précieux que la terre ait portée. La vision de Dieu sur le Christ, c’est qu’il est une personne d’une valeur inestimable. Malheureusement les hommes avaient une autre opinion. Apres l’avoir examiné, ils ont décidé de le mettre de côté et de l’éliminer en le clouant sur la croix. Ils l’ont sous-estimé car il était trop différent d’eux. La société n’aime pas ce qui n’est pas comme eux. Ils en ont fait un rebut, un être qu’on méprise et qu’on évite. Ils s’en sont débarrassés. Seul ceux qui croient en Lui l’ont apprécié.

Esaïe avait prophétisé cela : 53 :3-4

" Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable a celui dont on détourne le visage. Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Pourtant ce sont nos souffrances qu’il a portés, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé".

Et encore au v.12

" Dieu dit : c’est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands, il partagera le butin avec les puissants. Parce qu’il s’est livré lui-même à la mort et qu’il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu’il a porte les péchés de beaucoup d’hommes et qu’il a intercèdé pour les coupables. "

On pourrait comparer Jésus à la pierre la plus précieuse qu’on connaisse, le diamant. Le mot diamant signifie invincible, inébranlable. C’est la matière la plus dure de la terre.
Le plus beau, le plus pur et le plus étincelant des diamants est appelle le REGENT. Il a été nommé ainsi par le Régent de la couronne qui l’avait achèté en 1832, il pèse 136 carats.

Selon le dictionnaire, un Régent est une personne qui gouverne la monarchie pendant la minorité ou en l’absence du roi. C’était une personne choisit parmi les membres de la famille royale. Dans un certain sens, Jésus-Christ était le Régent de Dieu lorsqu’il était sur la terre. Membre de la famille de Dieu, il est son Fils, il est venu s’occuper des affaires du Royaume de Dieu sur la terre. Mais les hommes n’ont pas su discerner la pierre précieuse qu’il était, pas plus que sa mission.

Nous devons tous faire des évaluations au cours de notre vie. On évalue nos amours, notre vie spirituelle, nos biens terrestre, et tout et tout. Mais comment se fait-il que Jésus soit encore mal évalue par la majorité des gens même aujourd’hui ?

Croire en Jésus représente peu de valeur pour beaucoup, mais que répondront-ils un jour en présence du Roi des rois ? Que représente le Christ pour vous ce matin ?

Deux choix s’offrent à nous, l’apprécier selon la vision de Dieu, ou le rejeter selon la vision des hommes. C’est votre choix qui va déterminer si vous allez devenir un enfant de Dieu ou non. Rejeter ou recevoir fera la différence de la vie ou de la mort spirituelle.

2. Quelle est notre estimation envers la personne des croyants

Jean 1 : 11-14 :

11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont point reçue. 12 Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, 13 (1-12) lesquels sont nés, (1-13) non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. 14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. Selon ces versets, la lumière dont il est question est Jésus-Christ. L’accepter, le choisir, le recevoir, comporte des promesses qu’il a faite dans sa Parole.
On devient semblable à Lui à force de le contempler.

C’est ce que nous disait le texte du début 1 Pi 2 : 5 :

" Et vous-même comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des sacrifices spirituels, agréables à Dieu par Jésus-Christ.

"Cette Parole est des plus motivante pour les croyants, d’autant plus que le verset 7 nous dit : " l’honneur est donc pour vous qui croyez ". Il nous appelle une race élue, une nation sainte, un peuple acquis.

Quand on a acheté une chose c’est qu’on l’a acquise. Et c’est ce que nous révèle ces précieuses vérités. Un peuple acquis. Jésus a payé le prix élevé pour qu’on lui appartienne, Il a donné sa vie au prix de son sang parce qu’on avait de la valeur pour Lui. Il a fait de nous de petites pierres précieuses, on fait partie de sa collection personnelle.

Nous sommes des enfants de Dieu, des fils et filles du Roi. Des princes et des princesses. Il est impensables qu’une princesse se regarde dans un miroir et qu’elle se sous-estime en disant : " je ne suis rien, je n’ai pas d’avenir, je ne réussirai pas dans la vie, personne ne s’intéresse à moi et toute sortes de choses négatives comme cela. Au contraire elle porte une dignité, une fierté, une assurance pour la vie. Elle suscite l’admiration.

Nous devons nous regarder comme des petits Régents, des petits diamants qui laissent briller la lumière. Nous portons une part de la gloire de Dieu. Souvenez-vous, un Régent est aussi une personne de la famille de Dieu qui exerce la régence pendant l’absence du Roi. C’est le mandat des croyants d’être ambassadeur du Royaume pendant que Jésus est là-haut.

Vous êtes devenu quelqu’un de merveilleux par le Christ qui habite en vous et si vous pensez que vous ne valez rien ne le croyez pas, car la bible dit le contraire. Regardez-vous comme des pierres vivantes et choisis et précieuses pour Dieu. Jésus dirait-il de lui-même qu’il est un bon à rien?

Alors ne le dites pas non plus de vous-même ni des autres, car Jésus habite aussi en eux.

Mes amis cela est impliquant car je dois aussi considérer ceux qui m’entourent comme des enfants de Dieu également. Qu’est-ce que je vois quand je les regardent?
En psychologie on admet que ceux qui ont une pauvre estime d’eux-mêmes ont tendance à abaisser les autres tandis que ceux qui ont une bonne estime d’eux vont permettre à l’autre de s’épanouir.

Faisons donc attention à ceux qui nous entourent, et surtout ne les dévaluons plus car, la mission première des croyants est de briller comme des lumières dans ce monde. Il y aura de la clarté si nous avons beaucoup d’amour les uns envers les autres, comme Jésus nous le demande.

prêche de M. Robert Sage

mardi, avril 03, 2007

comment réagissez-vous face à l'adversité ?

Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle peut continuer.

Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît.



Sa mère l'amena à la cuisine.

Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir.



Dans le premier chaudron, elle place des carottes,

dans le deuxième, elle met des oeufs

et dans le troisième, elle met des grains de café moulus.

Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière.



Elle sort les carottes etles place dans un bol.

Elle sort les oeufs et les place dans un bol.

Puis elle verse le café dans une carafe.

Se tournant vers sa fille, elle dit, "Dis moi, que vois-tu?"

"Des carottes, des oeufs et du café," répondit sa fille.



La femme l'amena plus près et lui demanda de toucher les carottes.La fille leur toucha et nota qu'elles étaient molles et souples.



La mère lui demanda alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enleva la coquille d'un oeuf et observa qu'il était cuit dur.



Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.



La fille demanda alors, "Qu'est-ce que ça veut dire maman?"



Sa mère expliqua que chaque objet avait fait face à la même eau bouillante mais que chacun avait réagit différemment.



La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dansl'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible.



L’œuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur.



Les grains de café moulus ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.



"Lequel es-tu?" demanda la mère à sa fille.



"Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment répond-tu?

Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café?



Penses-y: Suis-je la carotte qui semble forte mais qui, dans la douleur et l'adversité devient molle et perd sa force?



Suis-je un oeuf qui commence avec un cœur malléable mais change avec les problèmes? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur? Est-ce que ma coquille ne change pas mais mon intérieur devient un cœur dur?



Où suis-je comme un grain de café? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme le grain de café, tu deviens meilleure et change la situation autour de toi lorsque les choses en sont à leur pire."

Comment faites-vous face à l'adversité? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café?