dimanche, novembre 26, 2006

Quel est votre langage d'amour ?




Premier langage : Les Paroles Valorisantes

Les paroles valorisantes ou en d’autres mots les paroles qui valorisent, qui font du bien sont un des moyens de manifester l’amour que l’on éprouve pour son conjoint (mais aussi ses enfants et ses proches...) L’apôtre Jacques (ainsi que de nombreux Proverbes) nous exhorte à faire bon usage de notre langue car elle est un petit membre qui peut construire mais aussi détruire.
Elle a un pouvoir et nous devons la maîtriser. Prov 18.21, Prov 12.25, Jacques 3...
Les exemples sont nombreux et nous sommes tous capables d’en trouver pour notre conjoint, soyons attentives l’un à l’autre et voyons quelles sont les paroles qui lui font du bien. Voici quelque idées : Tu es superbe avec cette tenue ; Ton repas est délicieux ; Tu es un très bon bricoleur ; Tu es vraiment très attentionné(e) ; Je te remercie pour l’aide que tu m’apportes... Toutes paroles susceptibles de mettre en évidence notre appréciation de ce que fait l’autre, que ce soit des paroles d’encouragement ou des paroles aimables.

Deuxième langage : Les moments de qualité

Je reprends la définition de l’auteur Gary Chapman : « Par moments de qualité, je veux dire accorder à l’autre une attention sans partage. Ce n’est pas s’asseoir l’un à côté de l’autre pour regarder la télé ensemble. Car dans ce cas c’est le programme télé qui capte votre attention, pas le conjoint. Rester assis sur le divan, oui, mais la télé éteinte pour pouvoir se regarder et se parler en s’accordant mutuellement beaucoup d’attention. C’est peut-être aller au restaurant ou se balader juste à 2... » (4)
Les moments de qualité sont par définition des moments où l’on stoppe toute activité pour s’occuper de l’autre, être en sa présence de façon intense, ce ne sont pas forcément des moments qui doivent durer longtemps mais qui doivent être intense. Dans nos agendas « surbooké » où l’on a plus une minute à soi et encore moins pour son conjoint, ses enfants, il est bon de s’arrêter et de passer ne fût ce qu’une heure avec la personne qu’on aime afin de discuter, et partager nos sentiments.



3ème langage : Les cadeaux

Pas besoin de longues explications par rapport à ce langage. Les cadeaux offerts sont un merveilleux moyen de dire « je t’aime ».
La personne détient dans l'objet que vous lui avez offert le message de votre amour et chaque fois qu’elle verra son cadeau, pensera à votre attention.
Les cadeaux n’ont pas besoin d’être onéreux, nous savons tous qu’un enfant apprécie parfois plus un petit gadget (qui ne nous as coûté que quelque dollards) qu’un jouet plus onéreux. Les enfants n’hésitent d’ailleurs pas à nous montrer qu’ils nous aiment en nous offrant un bricolage fait de leur main ou un bouquet de fleurs cueillis dans les champs...

4 ème langage: Les services rendus

Les exemples encore une fois sont nombreux et pour reprendre ce que dit Gary Chapman (1997, pages 78-79) « J’entends par là tout ceux qui à votre connaissance feraient plaisir à votre conjoint. Vous vous efforcez de lui plaire en lui rendant service, votre façon de lui exprime votre amour consiste à faire certaines choses pour lui... Des services comme cuisiner, mettre la table, passer l’aspirateur, nettoyer, changer les couches du bébé, repeindre la chambre à coucher, entretenir la voiture... Par amour soyons serviteurs les uns des autres (Gal 5.13) ».

Rendre service ou être au service n’est pas chose aisée et Jésus est notre exemple parfait puisqu’il était constamment au service des autres. Les exemples bibliques de l’attitude de Jésus sont légion et notamment celui où il lave les pieds de ces disciples (Jean 13.3-17).


5ème langage : Le toucher



L’importance du toucher est reconnue depuis de nombreuses années, de nombreux psychologues ont étudiés les bienfaits du toucher dès le plus jeune âge. En effet les nourrissons ont besoin de se sentir contenu et donc aiment qu’on les prennent dans les bras, ils aiment sentir l’odeur de leur mère, la chaleur du corps... J’aime beaucoup l’exemple de Gary Chapman (page 93-94) par rapport à ce point, il cite le moment où Jésus accueillit les enfants, les embrassa et les bénit en leur imposant les mains (Marc 10.14-16).

Jésus connaissait ce langage d’amour pour les enfants notamment et n’a pas hésité à la manifester.
Bien sûr il n’y a pas que les enfants qui aiment être câlinés et embrassés...nous aussi adultes avons besoin de contacts physiques. Pour les couples, lorsque nous parlons de toucher physique, il ne s’agit pas seulement de relations sexuelles, ou de préliminaires aux relations intimes. En effet le toucher physique peut revêtir de nombreuses formes : se prendre la main (lorsqu’on se ballade ou à la maison quand on est prêt de son conjoint), se tenir par la taille, s’embrasser, caresser l’épaule de son conjoint en passant près de lui, lui masser la nuque lorsqu’il est crispé...


Attention le toucher physique pour celui qui y est sensible a un impact très important au niveau de l’expression des sentiments. Un enfant très sensible au toucher recevra plus négativement une gifle qu’un enfant plutôt sensible au cadeau. Il en va de même pour les adultes, une personne sensible au toucher physique se sentira comblée de bonheur et d’amour quand son conjoint l’embrassera alors qu’une autre sera comblée par un bouquet de fleurs.

Nous arrivons ainsi à notre conclusion et pour une dernière fois nous reprenons les paroles de l’auteur à la page 109 : « Si vous voulez maintenir plein le réservoir émotionnel de votre conjoint, il est de toute première importance que vous appreniez à parler son langage sentimental familier. Assurez-vous auparavant que vous connaissez bien le vôtre. »

Remarquons que nous pouvons avoir plusieurs langages d’amour mais la plupart du temps : il y en a un qui prédomine ou en d’autres mots, nous pouvons établir une hiérarchie dans nos langages d’amour.

Conclusion

Pour apprendre le langage d’amour de votre conjoint (ou enfant...) soyez attentif à ce qui lui procure une satisfaction importante et les moments où vous avez l’impression qu’il se sent aimé et vous découvrirez probablement que c’est son langage d’amour préféré. Lorsque vous vous interrogez pour savoir si votre partenaire se sent aimé, posez lui la question du niveau de son réservoir émotionnel comme nous l’a suggéré Chapman à la page 116. Etablissez une échelle de 0 à 10, 0 correspondant à un réservoir vide et 10 à un réservoir bien rempli. Si vous demandez à votre époux où se situe son réservoir et qu’il vous répond 5 par exemple vous pouvez réagir en conséquence et parler son langage d’amour afin que son réservoir remonte (en espérant jusque 10).
En guise de finale je vous renvoie aux passages de l’Epitre de Jean qui nous exhorte à nous aimer car l’amour vient de Dieu. 1 Jean 4 .7-8 :

« Bien-aimés, aimons nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour.
»

1 Gary Chapman (1997) : Les langages de l’amour-les actes qui disent je t’aime. Editions Farel (page 11) 2 Gary Chapman dans son livre utilise cette expression, qu’il reprend d’ailleurs du Dr Ross Campbell psychiatre pour enfants et adolescents, pour désigner le sentiment que l’on a d’être aimé et qui est comme un réservoir qui peut se remplir mais malheureusement aussi se vider (et alors le sentiment de ne pas être aimé) 3 Gary Chapman (1997) : Les langages de l’amour-les actes qui disent je t’aime. Editions Farel (page 17) 4 Gary Chapman (1997) Les langages de l’amour. pages 47-48
Source :
Lueur

lundi, novembre 20, 2006

une autre tradition chez les Turcotte


Ça fait maintenant 6 ans que nous habitons à St-Hyacinthe.
Lorsque nous sommes arrivés dans cette ville nous avons su que les gens était snob et ne se parlait pas entre eux.
Nous avons donc voulu révolutionner ces ouï-dire ! (En passant, depuis ce jour les gens s'échangent des fleurs, se parlent, s'entraident)

Alors nous avons fait des invitations pour toute notre rue pour venir bruncher à la maison un samedi matin.
Et bien 4 familles ont répondus à l'appel. Ils étaient si impressionné que des nouveaux arrivants les invitent à rentrer dans leurs maisons... ça ne c'était jamais vu ! Tellement que des voisins nous ont dit qu'ils ont racontés cela à leur travail et ça faisait parler beaucoup, beaucoup.
Nous voulions connaître nos voisins et se faire connaître comme famille. Ils ont donc su que mon mari était pasteur... Nous avons mangé et nous nous sommes amusés à des jeux que nous avions organisés.

Depuis 6 ans, à chaque année, nous faisons des invitations et les voisins reviennent avec hâte et avec joie. Nous créons donc des ponts pour un jour pouvoir leur parler de notre merveilleux Sauveur. Ils sont rentrés dans notre maison et nous ont vu agir en tant que couple et parents. C'est un très bon témoignage. L'année dernière une nouvelle famille s'est ajouté...

Avec les années, nous avons variés nos soirées, une fois c'était un brunch, une autre fois un
café-dessert, une autre un dîner etc... Nous avons organisés des jeux, un quiz sur notre ville, nous avons lu un chant de Noël dans le célébrons Dieu, les enfants ont présenté une pièce musicale au piano, nous avons lu le texte de la canne de Noël, nous avons remis un parchemin avec un texte sur c'est cadeau...

Enfin il suffit d'être créatif et disponible. Et surtout arroser de prières et d'actions de grâces...
Je vous lance le défi de l'essayer, qui sait si ça ne changerait pas la vie de votre voisinage !

dimanche, novembre 19, 2006

la richesse se trouve dans le contentement...



A l’époque où les premiers diamants furent découverts en Afrique, un fermier fut attiré par la perspective de faire fortune. Une seule chose l’en empêchait. Il devait vendre sa ferme avant de pouvoir se lancer à la recherche des diamants qui feraient de lui un homme riche. Finalement il arriva à la vendre, et il fut libre. Libre de poursuivre son rêve.

Sa quête fut longue et pénible. Parcourant kilomètre sur kilomètre à travers déserts et plaines, jungles et passes montagneuses, le fermier chercha les diamants élusifs. Mais il ne put en trouver aucun.
Finalement, à court d’argent, malade et complètement déprimé, le fermier se suicida en se jetant dans les flots rugissants d’une rivière.

Chez le fermier, l’homme qui avait acheté la ferme en cultivait soigneusement le sol. Un jour, alors qu’il plantait une semence, il remarqua une pierre à l’aspect peu commun. Il l’emporta à la ferme et la plaça sur la cheminée.

Un visiteur vit un jour cette pierre inhabituelle au-dessus de la cheminée, l’examina, se tourna ensuite vers le nouveau propriétaire de la ferme, et lui dit « Vous avez trouvé l’un des plus gros diamants jamais découvert par l’homme. » Une recherche un peu plus poussée révéla que le sol de la ferme était littéralement recouvert de ces magnifiques pierres. La ferme vendue par son propriétaire d’origine se révéla être une des plus riches et plus productives mines de diamants au monde.

Il y a une centaine d’années, le Dr. Russell Herman Conwell voyagea à travers les Etats-Unis en racontant cette histoire. Une centaine d’années plus tard, nous avons encore besoin de l’entendre. En effet, tout comme ce fermier, trop peu d’entre nous prennent le temps de comprendre et d’apprécier ce que nous possédons déjà. Emportés par la déception des choses telles qu’elles sont, dans notre quête d’avancement, nous demeurons aveugles à la richesse de notre propre jardin. Et nous finissons par marcher à côté des richesses merveilleuses tous les jours.

Que Dieu ouvre les yeux de notre coeur afin de" focuser" à la bonne place.
Nous sommes si choyé d'être premièrement gracié de la condamnation qui pesait sur nous. de savoir que le Dieu de l'univers nous connaisse personnellement et qu'il nous aime comme la prunelle de ses yeux.

Nous sommes béni de vivre dans un pays où coule le lait et le miel. Il y a tellement d'abondances.

De plus, juste d'être capable de se coucher sans avoir peur qu'une bombe nous tombe sur la tête, d'avoir un pays paisible.

D'avoir un toit pour se loger, des vêtements pour se vêtir, de l'eau potable , la santé...

Wow ! nous sommes riches ! Alléluia !!!.

dimanche, novembre 12, 2006

Perdre ou gagner...


Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. Jean 3:16

Perdre ou gagner ?

Dans ce monde on peut tout perdre :

- Son argent : une faillite, et voilà les plus belles économies qui s'envolent ...

- Sa réputation : il suffit d'être victime de calomnies ...

- Son travail : le chômage, parlons-en !

- Sa santé je peux être plein d'énergie ce matin ... et à l'hôpital ce soir.

- Ses amis : trouver des copains et des amis de rencontre, c'est facile, mais garder des vrais amis, voilà qui est autre chose.

- Ses amours : combien de familles disloquées par des séparations ou des divorces !

- Sa mémoire : ce n'est pas la peine d'être très âgé pour commencer à la perdre.

- Sa vie : chacun sait que la vie peut être interrompue à tout âge. Bien sûr, on préfère ne pas y penser, mais pourtant ...

- Son âme ! Un homme très prévoyant, qui croyait s'être mis à l'abri de toute mauvaise surprise, entendit un jour cette parole solennelle : "Insensé ! cette nuit, ton âme te sera redemandée" (Luc 12, 20). Insensé ! Sera-ce la seule épitaphe qui restera sur notre pierre tombale ? Insensé !

Pourtant l'Evangile nous dit qu'il y a quelque chose que l'on ne peut pas perdre, un cadeau que Dieu nous fait, et dont rien ni personne ne pourra jamais nous priver. Ce cadeau, c'est la vie éternelle, par la foi en son Fils, Jésus Christ. Ne voulez-vous pas l'accepter ?

samedi, novembre 11, 2006

vitamines spirituelles


DES VITAMINES SPIRITUELLES ( une belle illustration que j'ai eu connaissance et que je trouve intéressante )


ACCABLÉ, AGITÉ, ANXIEUX, APEURÉ ?
Prends de la vitamine A

“Arrêtez et sachez que je suis Dieu” (Psaume 46:11)

“Approchez-vous de Dieu et il s’approchera de vous.” (Jacques 4:8)

“Affermissez vos coeurs car l’Avènement du Seigneur est proche.” (Jacques 5: 8)


BALLOTTÉ, BLESSÉ, BLOQUÉ, BLÂMÉ ? Prends de la vitamine B

“Béni soit l’homme qui se confie en l’Éternel et
dont l’Éternel est l’espérance.” (Jérémie 17: 7)

“Bénissez ceux qui vous maudissent,
faites du bien à ceux qui vous haïssent.” (Matthieu 5: 44)


CALOMNIÉ, CHAGRINÉ, CHARGÉ, CONFUS ?
Prends de la vitamine C

“C’est dans le retour à Dieu et le repos que sera votre salut,
c’est dans le calme et la confiance que sera votre force.” (Ésaïe 30: 15)

“Celui qui habite sous l’abri du Très-Haut
repose à l’ombre du Tout-Puissant.” (Psaume 91:1)

“Chantez à l’Éternel, bénissez son nom..” (Psaume 96: 2)

DÉCOURAGÉ, DÉPRIMÉ, DÉBORDÉ ?
Prends de la vitamine D

“Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis car il prend soin de vous.”
(1 Pierre 5: 7)

“Demeurez en moi comme moi en vous.” (Jean 15: 4)


EMBROUILLÉ, ÉCARTÉ, ÉGARÉ, ÉLOIGNÉ ?
Prends de la vitamine E

“Éternel, fais-moi connaître tes chemins, enseigne-moi tes voies.”
(Psaume 25: 4)

“Écoute la voix de mes supplications, quand je crie vers toi.” (Psaume 28: 2)


FÂCHÉ, FAIBLE, FRAGILE, FRUSTRÉ ?
Prends de la vitamine F

“Faites tout pour la gloire de Dieu” (1 Corinthiens 10: 31)

“Fortifie-toi et prends courage.” (Josué 1: 6)


GÉMISSANT, GÊNÉ, GROGNON ?
Prends de la vitamine G

“Garde mon âme et délivre-moi ! “ (Psaume 25: 20)

“Garde ton coeur plus que tout autre chose
car de lui viennent les sources de la vie.” (Proverbe 4: 23)


HUMILIÉ, HONTEUX, HÉSITANT ?
Prends de la vitamine H

“Humiliez-vous donc devant le Seigneur et il vous élèvera.“ (Jacques 4: 10)

“Heureux l’homme qui se confie en toi.” (Psaume 84: 13)

“Haïssez le mal, aimez le bien.” (Amos 5: 15)


INQUIET, IMPATIENT, INCOMPRIS ?
Prends de la vitamine I

“Il restaure mon âme, il me conduit dans les sentiers de la justice,
à cause de son nom.” (Psaume 23: 3)

“Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente la vigueur
de celui qui est à bout de ressources.” (Ésaïe 40: 29)


JONGLEUR, JUGÉ, JOYEUX ?
Prends de la vitamine J

“Je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point.” ( Hébreux 13: 5)

“Je puis tout par celui qui me fortifie.” (Philippiens 4: 13)

“Je célébrerai l’Éternel de tout mon coeur,
je redirai toutes tes merveilles.” (Psaume 9: 2)


K ?


LASSÉ, LIMITÉ ?
Prends de la vitamine L

“Les bontés de l’Éternel ne sont pas épuisées,
ses compassions ne sont pas à leur terme.” (Lamentations 3: 23)

“La foi, c’est l’assurance des choses qu’on espère,
la démonstration de celles qu’on ne voit pas.” (Hébreux 11: 1)

MALADE, MALHEUREUX, MEURTRI ?
Prends de la vitamine M

“Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse.”
(2 Corinthiens 12: 9)

“Mais ceux qui espèrent en l’Éternel renouvellent leurs forces.”
(Ésaïe 40: 31)

“Mon âme a soif du Dieu vivant.” (Psaume 42: 3)

NÉGLIGÉ, NERVEUX, NOSTALGIQUE ?
Prends de la vitamine N

“N’abandonnez donc pas votre assurance première qui comporte
une grande récompense. Vous avez en effet besoin de persévérance, afin qu’après accompli la volonté de Dieu, vous obteniez
ce qui vous est promis. ” (Hébreux 10: 35, 36)

“Ne nous lassons pas de faire le bien ; car nous moissonnerons
au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas.” (Galates 6: 9)

OBSÉDÉ, OISIF, ORGUEILLEUX , OUBLIÉ ?
Prends de la vitamine O

“Observez le droit et pratiquez la justice ; Car mon salut
est sur le point d’arriver et ma justice de se révéler.” (Ésaïe 56: 1)

“On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien; Et ce que l’Éternel demande de toi, c’est que tu pratiques le droit, que tu aimes la loyauté, et que tu marches humblement avec ton Dieu.” (Michée 6: 8)

“Oui le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie”.
(Psaume 23: 6)

PARALYSÉ, PARESSEUX, PERTURBÉ ?
Prends de la vitamine P

“Persévérez dans la prière, veillez-y avec actions de grâces.” (Colossiens 4: 2)

“Persévérez dans l’amour fraternel.” (Hébreux 13: 1)

“Pour vous, frères, ne vous lassez pas de faire le bien.” (2Thess. 3: 13)

QUARANTAINE, QUESTIONNÉ, QUI-VIVE ?
Prends de la vitamine Q

“Que votre coeur ne se trouble pas.
Croyez en Dieu, croyez aussi en moi.” (Jean 14: 1)

“Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi.” (Psaume 23: 4)

“Qui accusera les élus de Dieu ? Dieu est celui qui justifie !
(Romains 8: 33)

REFROIDI, RÉSIGNÉ, RÉVOLTÉ, ROUILLÉ ?
Prends de la vitamine R

“Rejetons tout fardeau et le péché qui nous enveloppe si facilement,
et courons avec persévérance l’épreuve qui nous est proposée.” (Hébreux 12: 1b)

“Rendez toujours grâces pour tout à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.” (Éphésiens 5: 20)

“Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur, je le répète réjouissez-vous.” (Philippiens 4: 4)

SÉDUIT, SEUL, SOUFFRANT, SUBMERGÉ ?
Prends de la vitamine S

“Sonde-moi, ô Dieu et connais mes préoccupations ! Regarde si je suis sur une mauvaise voie, et conduis -moi sur la voie de l’éternité !
(Psaume 139: 23, 24)

“Sois sans crainte, car je suis avec toi; n’ouvre pas des yeux inquiets, car je suis ton Dieu; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite victorieuse.” (Ésaïe 41: 10)

“Soyez sobres. Veillez ! Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer; résistez-lui, fermes en la foi..”
(1 Pierre 5: 8, 9)

TENTÉ, TIÈDE, TROUBLÉ ?
Prends de la vitamine T

“Tenez donc fermes: ayez à vos reins la vérité pour ceinture.”
(Éphésiens 6: 14)

“Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur,
de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée;
et ton prochain comme toi-même.” (Luc 10: 27)

USÉ, USURPÉ, UTOPIQUE ?
Prends de la vitamine U

“Usez de patience envers tous.” (1 Thessaloniciens 5: 14)

“Un coeur calme est la vie du corps mais la jalousie est la carie des os.” (Proverbe 14: 30)

VIDÉ, VEXÉ, VULNÉRABLE ?
Prends de la vitamine V

“Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés,
et je vous donnerai du repos.” (Matthieu 11: 28)

“Veillez donc avec soin sur votre conduite, non comme des fous,
mais comme des sages.” (Éphésiens 5: 15)

XÉNOPHILE?
Prends de la vitamine X

“EXerce -toi à la piété...” (1 Timothée 4: 8)

YO-YO ?
Prends de la vitamine Y

“Les Yeux de l’Éternel sont sur les justes, et ses oreilles sont attentives à leurs cris. (Psaume 34: 16)

ZÉRO, ZÉLÉ, ZOUAVE ?
Prends de la vitamine Z

“Un peuple.. purifié par lui et Zélé pour les oeuvres bonnes.” (Tite 2: 14)

Le voilier...


oui oui je sais ce n'est pas un voilier hihi !









Certains chrétiens ressemblent au voilier...
Leur marche dépend du vent qui souffle. S'il les pousse tout doucement, tout va bien ! Ils lèvent l'ancre plein de courage. Mais tournent-ils pour devenir contraire, les voilà qui naviguent avec peine, n'avancent plus. Ils cherchent des "abris-humains" contre la difficulté.
Lorsque survient le vent orageux, une grosse épreuve,
ils ne tiennent plus et sont emportés à la dérive...
Celui qui a un moteur(une foi ferme et active) poursuit sa route par tous les temps.
Il avance, toujours ainsi vers le but, en dépit des orages de la vie.

Un bateau est en sécurité dans le port mais ce n'est pas pour cela qu'il a été construit...

vendredi, novembre 10, 2006

l'hospitalité...


J'ai beaucoup réfléchi sur ce sujet qui je trouve est très souvent négligé...hélas !
J'ai donc voulu faire une petite étude sur cela pour m'encourager et être un modèle avec la grâce de Dieu. Je sais que je ne suis pas encore rendu à ce stade-là à 100 % mais je veux aspirer à cela car je trouve cela tellement important.

Synonyme : hospitalité = accueil, bienvenue, réception

Définition : Action de recevoir et d’héberger quelqu’un chez soi,
par charité, libéralité, amitié.

L’hospitalité est une manière pratique de servir Dieu. Reportons–nous au temps où Jésus était sur terre, étranger, n’ayant pas un lieu où reposer sa tête. Marthe le reçut dans sa maison
(Luc 10 :38) La maison de Béthanie lui était entièrement ouverte. Il savait qu’il était toujours le bienvenu et il y revenait souvent. Même avant sa mort expiatoire, il savait qu’il pouvait se réfugier dans cette maison pour y retrouver un baume avant ses souffrances.
(Jn. 11 : 57 et Jn. 12 : 3 )
Aujourd’hui nous pouvons encore recevoir Jésus dans nos maisons un peu comme Marthe autrefois.

Mt. 10 : 40 « Celui qui vous reçoit, me reçoit. »

Mt. 25 : 40 « En tant que vous l’avez fait à l’un des plus petits de ceux-ci qui sont mes frères, vous me l’avez fait à moi. »
Nous devrions ouvrir nos maisons au Seigneur à ses intérêts et aux siens.

Exercer l’hospitalité est une vertu chrétienne à laquelle l’écriture nous exhorte constamment. L’hospitalité est une cordiale et généreuse réception de son prochain sous son toit. Nous appelons cela la gloire de la maison et le fleuron de la vie de famille. C’est un ornement bienséant de l’enseignement qui est de notre Dieu sauveur. (Tite 2 :10)
À l’époque des premiers chrétiens, l’hospitalité était un trait si évident de leurs vies, que même les païens les en admiraient. Cela devrait être le vêtement du christianisme, « vous appliquant à l’hospitalité »(Rom. 12 :13)
De même dans la liste des qualifications d’anciens, cette vertu est si importante qu’elle y apparaît. (Tite 1 :8 )
Nous devrions donc vivre la grâce de Dieu comme une partie vitale de façon pratique en exerçant l’hospitalité, non seulement envers ceux que nous connaissons et aimons mais envers tous.


Regardons maintenant quelques exemples scripturaires :


2 Sam. 6:10-11 Obed-Edom garda l’arche de l’Éternel, trois mois
dans sa maison, l’Éternel le bénit lui et toute sa famille.

Mc. 14 : 14 Le maître de la maison prêta une grande chambre garnie au Seigneur où la Pâque fut célébré et la Cène du Seigneur institué.

Ac. 2 :46, 5 :42 Les premiers chrétiens se rencontraient tous les jours dans leurs maisons pour se souvenir du Seigneur dans la fraction du pain, l’enseignement et l’annonce de J-C.

Ac. 12 :12 Plusieurs s’assemblèrent pour prier dans la maison de Marie.

Rm. 16 :5 , 1 Cor. 16 :19 La maison d’Aquilas et Prsicilla était un lieu de rencontre des chrétiens où se réunissait l’assemblée locale.

Philémon 2 Nymphas et Philémon ouvraient leurs maisons pour que leur assemblée puisse se rassembler.


Nous voyons donc que l’amour de Christ poussait chacun d’eux à mettre leur maison à la disposition du Seigneur et des siens. Et aussi à accepter de bon gré le dérangement et le travail supplémentaire qu’entraînaient de tels rassemblements.

Quelques prétextes pour se soustraire de l’hospitalité :

· La fatigue
· Le dérangement
· Les finances
· Les occupations
· Le travail
· L’orgueil
· La timidité
· Le manque de confiance en soi
· La paresse
· L’individualisme
· L’égoïsme
· Le mépris, la distinction de personne
· Le confort
· L’inexpérience
· Etc…….

Voyons l’exemple de la femme Sunamite :

En 2 Rois 4 :8-17 , nous voyons le prophète Élisée qui passa par là et la Sunamite le contraignit de le faire entrer pour manger le pain. Elle lui prépara même une petite chambre pour se loger lorsqu’il passerait. Elle avait une simplicité en soi, juste ce qui était nécessaire pour le repos, la communion et le rafraîchissement. Tout était bien modeste.
Elle avait appris qu’elle aille peu ou beaucoup elle devait partagé de bon gré avec autrui. Elle s’appliquait à mettre le principe de 1 Pi. 4 :9 en pratique « Étant hospitaliers les uns envers les autres, sans murmures. »
L’orgueil de la vie qui aime à étaler de belles choses devant les hôtes en voulant faire aussi bien que les autres alors qu’on a pas les moyens, n’est-il pas souvent la cause sous-jacente du manque d’hospitalité ?
L’homme regarde à l’apparence extérieure, et l’Éternel regarde au cœur (1 Sam. 16 :7 ) Alors comme pour la Sunamite, c’est la bonté et l’amour qui comptent dans l’hospitalité, le prophète Elisée fut par conséquent bien touché de l’accueil.

Maintenant regardons l’hospitalité dans le monde grec :

Chez les Grecs, l’hospitalité, c’est l’offre d’un lieu où on est à l’abri. C’est d’abord l’amour de l’étranger, l’accueil et les cadeaux étant les gestes nécessaires qui concrétisent ce sentiment.
L’hospitalité antique va de l’échange de nourriture jusqu’à l’aide militaire ou religieuse, en passant par les dons et l’hébergement.

Selon une légende, Zeus et Hermès parcouraient la Phrygie, dans mille maisons ils se présentèrent, demandant un endroit où se reposer, tous fermèrent à clef. Une seule les accueillit, petite, couverte de chaume et de roseaux de marécages, celle de Philémon et Baucis. Comblés d’attentions par le vieux couple, les deux voyageurs accordèrent à leurs hôtes leurs vœux de terminer leur vie ensemble.
Tant qu’à leurs voisins, ils furent punis de leurs impiétés, l’eau d’un lac les engloutit.

Depuis ce jour, refuser l’hospitalité est devenu une impiété. L’obligation d’accueil est imprégné dans leur vie. Ils vont donc s’oublier et tout faire pour que leurs invités soit comblés et ne manque de rien.

Selon tous ces nombreux passages et exemples des Écritures à ceux qui ont tenus leurs maisons à la disposition du Seigneur et de ses intérêts, nous encourager à lui ouvrir les nôtres.

Prov.3 :33 dit : « Il bénit l’habitation des justes. » Que cette bénédiction puisse se réaliser dans tout foyer chrétien afin que nous soyons une lumière céleste qui éclaire tous ceux qui sont dans la maison et que ceux qui y entrent la voient. Que nos maisons soient une source d’eau fraîche où les gens pourront venir s’abreuver. Jésus lui-même fut un modèle à suivre, lorsqu’il est parti, il a dit qu’il nous préparera une place, notre maison nous attends.

En attendant notre nouvelle demeure, laissons notre maison être un outil dans les mains du Seigneur. Que ce soit pour nos familles, notre assemblée, notre entourage, des étrangers, soyons ouvert et à l’écoute du St-Esprit laissons-nous surprendre de ce que Dieu fera à travers notre foyer !

dimanche, novembre 05, 2006

Jamais tout seul....

Je vous raconte une belle aventure que nous avons vécu en 1998 environ...

Par une belle journée d’été, nous nous préparions à partir pour nos vacances.
À cet époque-là, nous habitions dans le grand nord du Québec.
Dans cette partie de la province, les chemins ne sont pas très entretenus
et nous devions faire 16 heures de route pour nous rendre à Montréal.
Une grande partie de la route n’est pas asphaltée, cela use beaucoup les autos.

Nous étions donc en famille dans notre vieille voiture, chantant, jouant et parlant ensemble
quand tout à coup l’auto ne veut plus avancer…
Oh ! problème ! nous sommes à environ 4 heures d’une ville et peu de gens circule sur cette route. Nous étions en pleins bois avec les mouches noires et le silence.

À un moment donné, une auto arriva près de nous. Nous l’arrêtions en agitant des bras.
Nous lui racontons notre aventure et il nous dit, qu’aussitôt qu’il sera à Baie-Comeau,
il avertira une dépanneuse de venir à notre rescousse.

Le temps passa sans jamais voir une dépanneuse arrivée. Nous étions très las et les enfants de
plus en plus impatients. Nous avons donc prier afin que Dieu vienne à notre secours.
Tout d’un coup, une caravane passa près de nous et à notre grande surprise,
c’étaient des gens que nous connaissions. Il nous embarqua les enfants et moi et nous amena
jusqu’à un hôtel où j’attendu mon mari et la voiture.

Dans la soirée, très tard, mon mari apparu et me raconta tous les faits et combien cette
mésaventure nous coûtera. J’étais bien triste car nous débutions nos vacances et nous n’avions
pas beaucoup de sous. C’était comme une brique qui me tomba sur la tête.

Le lendemain, nous avions passé le temps dans un centre commercial pendant que la voiture se
faisait réparer. Pendant que je marchais, je remarquai un papier plié en quatre par terre à mes
pieds. Je l’ai ramassé et à ma grande surprise, je venais de trouver un billet de 50 $.
Quelle joie !
Et c’est pas fini ! Ensuite, nous avions revu la famille qui nous avait secouru sur le chemin et
nous remettait un montant d’argent qu’il avait à cœur de nous donner.
Nous étions bouche bée par la générosité des gens et de notre Dieu.

À travers cette circonstance désagréable de la vie, ce fut une belle leçon pour nous et les enfants
car nous avons vu et expérimenté comment Dieu ne nous abandonne jamais et qu’il pourvoit à tous nos besoins.

Est-ce que nous avons un Dieu vivant ?

Un jeune homme avait participé, dans la soirée, à une session sur la bible. L'enseignement portait sur l'importance d'écouter Dieu et d'obéir à la voix du Seigneur.
Le jeune ne pouvait s'empêcher de se demander : "Dieu nous parle-t-il encore? ".
Il sortit alors avec quelques amis pour aller prendre un café et ils discutèrent du message. Plusieurs d'entre eux parlèrent des différentes façons que Dieu avait choisies pour les guider.

Il était environ dix heures du soir quand le jeune homme décida de rentrer chez lui. S'asseyant dans sa voiture, il commença à prier : "Seigneur... Si tu parles toujours aux gens, parle moi. J'écouterai. Je ferai de mon mieux pour obéir".
Étant alors sur la rue principale de sa ville, il eut la pensée la plus étrange : "Arrête-toi et achète un litre de lait". Il secoua la tête et dit : "Seigneur, est-ce toi?" Il n'obtint pas de réponse et continua sa route vers sa maison. Mais de nouveau, la même pensée : "Achète un litre de lait".

Le jeune homme pensa alors à Samuel et comment il n'avait pas reconnu la voix de Dieu, mais était couru voir Élie. "D'accord, Seigneur, au cas où ce serait toi, j'achèterai le lait". Cela ne paraissait pas être un test d'obéissance bien compliqué. Il pourrait toujours utiliser le lait. Il s'arrêta, acheta le lait et redémarra pour aller chez lui.
Alors qu'il dépassait la 7e Rue, il sentit de nouveau un appel pressant : "Tourne sur cette rue". C'est fou, pensa-t-il, et il continua tout droit. Mais il sentit de nouveau qu'il devait tourner.
Il fit alors demi-tour à l'intersection suivante et se dirigea vers la rue en question.
Mi-souriant, il disait : "D'accord, Seigneur, je le ferai".

Il dépassa plusieurs immeubles, quand soudain, il eut l'impression qu'il devait s'arrêter. Il se gara le long du trottoir et regarda autour de lui. Il était dans une zone semi-commerciale de la ville. Ce n'était pas la plus sûre, mais ce n'était pas non plus le pire des voisinages.
Les magasins étaient fermés et la plupart des maisons était sans lumière comme si les gens étaient déjà au lit.

De nouveau, il ressentit quelque chose : "Va donner le lait aux personnes dans la maison de l'autre coté de la rue". Le jeune homme regarda la maison. Elle était sombre et il semblait que les gens étaient absents ou bien qu'ils dormaient déjà.
Il commença à ouvrir sa portière, puis se rassit au fond de son siège de voiture. "Seigneur, c'est du délire. Ces gens dorment et si je les réveille, ils vont être furieux contre moi et j'aurai l'air stupide".
Mais il sentit de nouveau qu'il devait aller donner le lait. Il ouvrit finalement sa portière.

"D'accord Seigneur, si c'est toi, j'irai à leur porte et leur donnerai le lait. Si tu veux que j'aie l'air d'un fou, d'accord. Je veux être obéissant. J'imagine que cela comptera pour quelque chose... mais s'ils ne répondent pas tout de suite, je me sauve!".
Il traversa la rue et sonna à la porte. Il pouvait entendre du bruit à l'intérieur. La voix d'un homme cria, "Qui est-ce? Qu'est-ce que vous voulez?"
Alors la porte s'ouvrit avant que le jeune homme n'ait pu s'en aller. L'homme se tenait là debout en jeans et t-shirt. Il avait l'air d'être tout juste sorti du lit. Il avait un regard étrange sur son visage et ne semblait pas très heureux de voir un étranger se tenir sur son seuil.
"Que voulez-vous?". Le jeune homme brandit le litre de lait : "Voilà, je vous ai apporté ceci".

L'homme prit le lait et se précipita au fond du couloir parlant très fort en espagnol. Alors apparut une femme qui portait le lait vers la cuisine. L'homme la suivait portant un bébé. Le bébé pleurait. L'homme versait des larmes. Il commença à parler tout en pleurant : "Nous étions juste en train de prier. Nous avons eu de grosses factures ce mois-ci et nous avons manqué d'argent. Nous n'avions plus de lait pour notre bébé.

J'étais juste en train de prier et je demandais à Dieu de me montrer comment obtenir du lait". Son épouse dans la cuisine cria : "Je lui ai demandé d'envoyer un ange avec du lait.
Êtes-vous un ange?".Le jeune homme prit alors son porte-monnaie et retira tout l'argent qu'il avait sur lui et le mit dans la main de l'homme.
Il fit demi-tour et marcha vers sa voiture et les larmes coulaient sur son visage.
Il avait la preuve que Dieu exauçait encore les prières !

Transmis par
Henrik Roycourt