jeudi, septembre 13, 2007

Le petit radeau

Voilà une petite histoire que j'ai aimé car comme vous le savez, notre symbole amoureux de mon mari et moi c'est le cygne !! Alors quand j'ai lu cette histoire j'ai eu le goût de vous la partager..


Dans une certaine région d'un pays où les cygnes vivent en liberté, on raconte qu'un couple de ces palmipèdes avait l'habitude de faire son nid sur le bord d'une rivière près d'une usine.
Chaque fois, à la montée des eaux, le nid était emporté avec les petits. Mais chaque fois il était refait, et toujours à la même place.

Un jour, deux jeunes employés de l'usine eurent­ à cœur de tenter une expérience afin d'éviter aux cygnes de pareilles mésaventures.

Ils se mirent à construire un petit radeau de bois qu'ils attachèrent solidement par un fil de fer à la clôture de l'usine et le posèrent à l'endroit exact où les bêtes construisaient leur nid.

Surpris par l'étrange appareil et après bien des hésitations, les deux oiseaux se décidèrent à reconstruire leur nid sur le radeau.

« Arrivèrent les fortes pluies »

Les eaux de la rivière grossirent et le niveau s'éleva, ainsi que le nid dessus, qui ne fut pas emporté par le courant, étant solidement attaché à la clôture de l'usine.
Ainsi, le couple de cygnes et leur progéniture furent sauvés.

Cette histoire nous rappelle un autre récit, celui de Noé qui, pour sauver sa famille, construisit sur l'ordre de Dieu, une arche aux dimensions précisées par le Seigneur, et toute la famille fut préservée, de même que les animaux qui s'y trouvaient.

Mais Dieu avertit le monde d'un autre déluge, bien plus terrible encore que toutes les précédentes calamités connues: son jugement sur la race humaine, sur tous les pécheurs! Mais dans sa souveraine bonté, il a bâti son arche destinée à sauver les pécheurs repen­tants qui viendront à Lui.

Cette arche, c'est Jésus-Christ, son Fils unique qu'il a envoyé pour le salut de quiconque croit.
Jésus a dit: « Venez à moi vous tous » et »Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi »...
Amis qui lisez ces lignes, décidez-vous très vite à venir à Jésus avant qu'il ne soit trop tard et que la porte du salut soit fermée définitivement.

A la porte d'un cœur Jésus frappe ce soir.
Il est déjà si tard, au-dehors tout est noir.
Si tendre et si pressant est l'appel de sa voix.
« Serait-ce la dernière fois ? »

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