Ouf ! je reviens vous dire un petit mot après mon opération... Je peux vous dire que j'étais très naïve, je ne savais pas que c'était une si grosse opération..
Ça fait déjà presque 2 semaines que j'ai été opéré et pourtant je ne vois pas une grosse différence, je suis encore faible et fragile. L'opération a été bien sauf qu'avec l'anesthésie rachidienne, elle a touché un nerf qui me cause de terrible migraine, de plus mon hémoglobine est basse donc je dois prendre du fer. Les médicaments ne faisaient pas effet, j'ai donc dû retourner voir le doc qui m'a prescrit de la morphine !! Une vraie droguée ! Non mais sérieux, je capote de prendre autant de médicaments, j'essaie toujours de réduire mais c'est pas mieux je souffre trop alors je n'ai pas le choix de continuer. Je dois dormir beaucoup pour reprendre des forces, moi qui n'est pas très dormeuse !!
C'est sûr que je vis des moments de découragements car habituellement on est pas si longtemps malade et empoté.. Mais le verset qui m'encourage beaucoup c'est dans le livre aux Corinthiens qui dit : Ma grâce te suffit. Car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse...
dimanche, septembre 30, 2007
lundi, septembre 17, 2007
C'est le jour J...
voilà demain je passe au bistouri ! J'ai dû prendre un breuvage avant l'opération... assez dégeulasse...beurk !! J'aime tellement pas les médicaments...enfin !
J'ai confiance que tout se déroulera bien par la grâce de Dieu seule.
Vous m'excuserai donc de moins alimenter le blog pour quelques temps mais j'aurai très hâte de revenir à mon clavier pour mettre ce que Dieu a mis sur mon coeur...
Alors à bientôt,
J'ai confiance que tout se déroulera bien par la grâce de Dieu seule.
Vous m'excuserai donc de moins alimenter le blog pour quelques temps mais j'aurai très hâte de revenir à mon clavier pour mettre ce que Dieu a mis sur mon coeur...
Alors à bientôt,
samedi, septembre 15, 2007
La force d'une vision !
Voilà un texte qui m'a fait réfléchir car j'ai déjeuner cette semaine avec une soeur et à un moment donné elle me demandait si j'avais un rêve ?
À vrai dire je ne savais pas trop quoi répondre ?
Qu'est-ce qui me passionne ? Qu'est-ce que je veux atteindre ? Quelle vision que j'ai de l'avenir ? Qu'est-ce que je veux faire pour mon Dieu, ma famille, mon église , mon entourage ? Ce sont toutes des bonnes questions , non !?
Il faut je crois regarder plus loin que notre nombril, fixer nos regards sur notre Dieu et être attentive à ce qu'il attends de nous.
J'espère que ça vous fera réfléchir aussi...
Selon un célèbre auteur : « Ceux qui ont une vision claire avec des buts et des plans imposent leur volonté aux autres, alors que ceux qui n’en ont pas dépendent de la volonté des autres, ce sont eux qui dictent nos actions.»
Ceci devrait être la véritable vision spirituelle de chaque leader : voir les besoins et les réponses à donner au peuple.
On a demandé un jour à Helen Keller ce qu’il y avait de pire que de naître aveugle. Elle a répondu : « Voir et ne pas avoir de vision. »
Si vous demandez à des gens qui ont du succès ce qui les a réellement aidés à se rendre là où ils sont dans la vie, ils parleront : d’un but à atteindre, d’une mission à accomplir, d’un rêve, d’une vision. La qualité d’une personne dépend de sa vision ou de son absence de vision.
Les gens qui ont du succès sont motivés par un rêve qui les dépasse. Ce rêve est hors de leur portée mais ils croient que s’ils travaillent assez fort, un jour, ils le tiendront dans leurs mains.
Abraham était un homme qui avait un grand rêve. Ce rêve, c’est Dieu lui-même qui lui avait donné : Dieu allait faire de lui une bénédiction pour toutes les familles de la terre.
Genèse 12: 2-3.
Les gens qui n’ont pas de succès ne sont motivés que par le présent et ils ne pensent pas à l’avenir. L’homme terrestre est quelqu’un qui manque de profondeur parce qu’il manque de vision. Seuls ceux qui ont des rêves et des visions peuvent mener une vie créative et productive.
L’histoire de la vision de Néhémie en est un exemple. Néhémie avait les yeux spirituels de la foi pour voir les besoins et les réponses à donner au peuple de Dieu à Jérusalem. Néhémie savait que les Juifs ne pouvaient pas servir le Seigneur sans que leur ville, la muraille et leur temple soient rebâtis.
Nous devons nous demander : avons-nous un rêve et une vision pour demain ? Avons-nous un rêve pour notre église ? Jésus ne pense pas « petit » : notre Dieu est Grand et il nous invite à penser Grand, à voir Grand.
Si nous nous fixons un objectif valable, adapté à nos capacités et que nous y consacrons tous nos efforts, en priant Dieu et en méditant sa parole, le Seigneur fera de grands miracles en notre faveur et nous permettra d’atteindre la vision que Dieu met sur notre coeur…
Pasteur Daniel GIULIANA.
À vrai dire je ne savais pas trop quoi répondre ?
Qu'est-ce qui me passionne ? Qu'est-ce que je veux atteindre ? Quelle vision que j'ai de l'avenir ? Qu'est-ce que je veux faire pour mon Dieu, ma famille, mon église , mon entourage ? Ce sont toutes des bonnes questions , non !?
Il faut je crois regarder plus loin que notre nombril, fixer nos regards sur notre Dieu et être attentive à ce qu'il attends de nous.
J'espère que ça vous fera réfléchir aussi...
Selon un célèbre auteur : « Ceux qui ont une vision claire avec des buts et des plans imposent leur volonté aux autres, alors que ceux qui n’en ont pas dépendent de la volonté des autres, ce sont eux qui dictent nos actions.»
Ceci devrait être la véritable vision spirituelle de chaque leader : voir les besoins et les réponses à donner au peuple.
On a demandé un jour à Helen Keller ce qu’il y avait de pire que de naître aveugle. Elle a répondu : « Voir et ne pas avoir de vision. »
Si vous demandez à des gens qui ont du succès ce qui les a réellement aidés à se rendre là où ils sont dans la vie, ils parleront : d’un but à atteindre, d’une mission à accomplir, d’un rêve, d’une vision. La qualité d’une personne dépend de sa vision ou de son absence de vision.
Les gens qui ont du succès sont motivés par un rêve qui les dépasse. Ce rêve est hors de leur portée mais ils croient que s’ils travaillent assez fort, un jour, ils le tiendront dans leurs mains.
Abraham était un homme qui avait un grand rêve. Ce rêve, c’est Dieu lui-même qui lui avait donné : Dieu allait faire de lui une bénédiction pour toutes les familles de la terre.
Genèse 12: 2-3.
Les gens qui n’ont pas de succès ne sont motivés que par le présent et ils ne pensent pas à l’avenir. L’homme terrestre est quelqu’un qui manque de profondeur parce qu’il manque de vision. Seuls ceux qui ont des rêves et des visions peuvent mener une vie créative et productive.
L’histoire de la vision de Néhémie en est un exemple. Néhémie avait les yeux spirituels de la foi pour voir les besoins et les réponses à donner au peuple de Dieu à Jérusalem. Néhémie savait que les Juifs ne pouvaient pas servir le Seigneur sans que leur ville, la muraille et leur temple soient rebâtis.
Nous devons nous demander : avons-nous un rêve et une vision pour demain ? Avons-nous un rêve pour notre église ? Jésus ne pense pas « petit » : notre Dieu est Grand et il nous invite à penser Grand, à voir Grand.
Si nous nous fixons un objectif valable, adapté à nos capacités et que nous y consacrons tous nos efforts, en priant Dieu et en méditant sa parole, le Seigneur fera de grands miracles en notre faveur et nous permettra d’atteindre la vision que Dieu met sur notre coeur…
Pasteur Daniel GIULIANA.
En finir avec nos complexes...
voici un article que j'ai trouvé très intéressant car QUI n'a pas de complexes ?? QUI n'est pas paralysé par nos mauvaises pensées ?? Dieu veut le renouvellement de notre intelligence pas vrai ? Romain 12.
Alors bonne lecture...
Je ne peux pas ! » Cette simple petite phrase peut nous paralyser et nous empêcher d’agir. A cause d’une particularité physique ou d’un manque d’assurance, nous rêvons parfois d’être une petite souris. En bref, nous sommes COMPLEXEES !
Pour aimer les autres, il faut commencer par soi.
Notre société privilégie l’apparence et le culte de la performance. Nous devons toujours être la meilleure. Le seul problème, c’est qu’à notre avis, nous ne sommes jamais à notre avantage : « Je suis nulle, je n’y arriverai pas. », « Moi, faire ça je n’en suis pas capable, d’autres vont le faire à ma place, elles sont beaucoup plus douées. » ; « Je ne vaux rien, c’est vrai les autres, on les salue, mais moi je suis invisible. » ; « Oh là là, ce matin, je suis trop moche, et mes hanches sont de plus en plus grosses ! » STOP !
Combien de fois nous ont-ils pourri l’existence ? Soyons honnêtes, beaucoup trop souvent ce genre de raisonnement est venu assombrir nos esprits. Notre miroir nous renvoie une image déplaisante de nous-mêmes, et patatras nous sommes de mauvaises humeurs !
Notre entourage aura beau nous dire que nous sommes jolies, nous ne les écouterons même pas. Nos complexes nous gâchent l’existence et ils faussent nos relations avec notre entourage. Plus nous nous dévalorisons, plus nous nous apitoyons sur nous-mêmes. C’est un cercle sans fin ! Ce pessimisme est plutôt un manque d’assurance, qu’une vision objective de nous-mêmes. Nous nous trouvons insignifiantes, lorsque nos amis voient en nous une femme pétillante. Nos proches sont obligés de faire attention à ce qu’ils disent craignant de nous affecter. En fait, nous avons une image déformée de nous-mêmes. Par exemple, certaines se focalisent sur une particularité physique : « Mon nez est trop gros ! » Et elles ne voient pas leurs beaux yeux verts. D’autres n’ont pas confiances en elles : « Je ne peux pas parler en public ! » Et pourtant avec leurs proches, elles sont capables de tenir de longs discours argumentés.
Nous nous voyons avec nos préjugés. Raison pour laquelle nos proches ont une vision qui diffère de la nôtre. Nos complexes sont fondés sur des idées fausses que nous érigeons en vérités. Et ces idées fausses nous empêchent de nous épanouir, mais aussi de nous aimer.
D’où viennent, en fait, nos complexes ?
Les psychanalystes définissent les complexes comme: « un ensemble des sentiments et des représentations partiellement ou totalement inconscients, pourvu d’une puissance affective qui organise la personnalité de chacun. »
Les complexes se constituent à partir des relations que nous entretenions avec les autres dans notre enfance. Par exemple, une enfant qui entend continuellement des propos négatifs, se sentira ridiculisée : « Tu n’es bonne à rien, qu’est ce qu’on va bien pouvoir faire de toi ? Etc.. » De même, un sobriquet comme « la grosse » est humiliant. L’enfant enregistre chacune de ces expressions négatives qui la fragilisent. Cette petite fille se replie sur elle-même et bien souvent, comme elle se sent mal-aimée, elle choisit le chemin de la rébellion. Arrivée à l’âge adulte, elle manquera de confiance en elle.
Nos complexes se nourrissent de pensées négatives. Nous possédons toutes une histoire différente. Cependant, nos complexes se développent de la même manière. Ils se nourrissent de pensées négatives que nous entretenons depuis trop longtemps.
De plus, nos complexes ont pour origine de profondes blessures intérieures. Peut-être même que vous n’en avez jamais parlé à personne faisant tout pour oublier, mais avez-vous réellement oublié ?
Il serait opportun d’en parler avec un(e) ami(e) dans lequel vous avez toute confiance. Le simple fait d’entendre de sa bouche que vous êtes une personne exceptionnelle et surtout de le croire, vous fera un bien immense. Par ailleurs, si nous arrêtions une bonne fois pour toutes de nous comparer aux autres. Nous sommes uniques, et nous avons toutes reçu des talents particuliers.
Mettons nos qualités en valeur, au lieu de nous focaliser sur cette imperfection qui nous obsède. Apprenons à nous aimer, autrement nous n’aimerons jamais réellement les autres. Car nous ne pouvons pas donner, ce que nous n’avons pas.
Pour aimer les autres, il faut commencer par soi : Une morale philosophique très connue en occident dit ceci : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse. » Cette morale est fondée sur une interdiction et sur la peur du mal. La bible communique autre-chose: « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Mathieu 19-19. Dans cet enseignement, nous voyons l’amour du bien. Comme nous désirons notre bonheur, nous désirons le bonheur d’autrui. Comme nous nous aimons, nous aimons autrui. Mais si nous ne nous aimons pas, à cause de nos complexes, nous ne pouvons pas aimer les autres. L’altérité est impossible, si nous ne sommes pas réconciliées avec nous-mêmes. Voyez-vous combien nos complexes peuvent entraver nos actions, mais aussi notre amour pour les autres.
Vous pouvez en finir avec vos complexes ! La première chose importante à faire, c’est de changer votre façon de penser. Au lieu de vous critiquer, faites un éloge de vos qualités. Non, ce n’est pas une attitude orgueilleuse. Au contraire, c’est une nouvelle façon de vous voir positivement et d’apprendre à vous aimer. Un autre proverbe occidental dit ceci : « Charité bien ordonnée commence par soi-même. » Si vous dépendez du regard des autres vous continuerez à avoir des hauts et des bas, car il y aura toujours des gens qui prononceront des paroles blessantes. L’essentiel, c’est que vous ayez une bonne image de vous-même.
Magdaléna Morisset
Alors bonne lecture...
Je ne peux pas ! » Cette simple petite phrase peut nous paralyser et nous empêcher d’agir. A cause d’une particularité physique ou d’un manque d’assurance, nous rêvons parfois d’être une petite souris. En bref, nous sommes COMPLEXEES !
Pour aimer les autres, il faut commencer par soi.
Notre société privilégie l’apparence et le culte de la performance. Nous devons toujours être la meilleure. Le seul problème, c’est qu’à notre avis, nous ne sommes jamais à notre avantage : « Je suis nulle, je n’y arriverai pas. », « Moi, faire ça je n’en suis pas capable, d’autres vont le faire à ma place, elles sont beaucoup plus douées. » ; « Je ne vaux rien, c’est vrai les autres, on les salue, mais moi je suis invisible. » ; « Oh là là, ce matin, je suis trop moche, et mes hanches sont de plus en plus grosses ! » STOP !
Combien de fois nous ont-ils pourri l’existence ? Soyons honnêtes, beaucoup trop souvent ce genre de raisonnement est venu assombrir nos esprits. Notre miroir nous renvoie une image déplaisante de nous-mêmes, et patatras nous sommes de mauvaises humeurs !
Notre entourage aura beau nous dire que nous sommes jolies, nous ne les écouterons même pas. Nos complexes nous gâchent l’existence et ils faussent nos relations avec notre entourage. Plus nous nous dévalorisons, plus nous nous apitoyons sur nous-mêmes. C’est un cercle sans fin ! Ce pessimisme est plutôt un manque d’assurance, qu’une vision objective de nous-mêmes. Nous nous trouvons insignifiantes, lorsque nos amis voient en nous une femme pétillante. Nos proches sont obligés de faire attention à ce qu’ils disent craignant de nous affecter. En fait, nous avons une image déformée de nous-mêmes. Par exemple, certaines se focalisent sur une particularité physique : « Mon nez est trop gros ! » Et elles ne voient pas leurs beaux yeux verts. D’autres n’ont pas confiances en elles : « Je ne peux pas parler en public ! » Et pourtant avec leurs proches, elles sont capables de tenir de longs discours argumentés.
Nous nous voyons avec nos préjugés. Raison pour laquelle nos proches ont une vision qui diffère de la nôtre. Nos complexes sont fondés sur des idées fausses que nous érigeons en vérités. Et ces idées fausses nous empêchent de nous épanouir, mais aussi de nous aimer.
D’où viennent, en fait, nos complexes ?
Les psychanalystes définissent les complexes comme: « un ensemble des sentiments et des représentations partiellement ou totalement inconscients, pourvu d’une puissance affective qui organise la personnalité de chacun. »
Les complexes se constituent à partir des relations que nous entretenions avec les autres dans notre enfance. Par exemple, une enfant qui entend continuellement des propos négatifs, se sentira ridiculisée : « Tu n’es bonne à rien, qu’est ce qu’on va bien pouvoir faire de toi ? Etc.. » De même, un sobriquet comme « la grosse » est humiliant. L’enfant enregistre chacune de ces expressions négatives qui la fragilisent. Cette petite fille se replie sur elle-même et bien souvent, comme elle se sent mal-aimée, elle choisit le chemin de la rébellion. Arrivée à l’âge adulte, elle manquera de confiance en elle.
Nos complexes se nourrissent de pensées négatives. Nous possédons toutes une histoire différente. Cependant, nos complexes se développent de la même manière. Ils se nourrissent de pensées négatives que nous entretenons depuis trop longtemps.
De plus, nos complexes ont pour origine de profondes blessures intérieures. Peut-être même que vous n’en avez jamais parlé à personne faisant tout pour oublier, mais avez-vous réellement oublié ?
Il serait opportun d’en parler avec un(e) ami(e) dans lequel vous avez toute confiance. Le simple fait d’entendre de sa bouche que vous êtes une personne exceptionnelle et surtout de le croire, vous fera un bien immense. Par ailleurs, si nous arrêtions une bonne fois pour toutes de nous comparer aux autres. Nous sommes uniques, et nous avons toutes reçu des talents particuliers.
Mettons nos qualités en valeur, au lieu de nous focaliser sur cette imperfection qui nous obsède. Apprenons à nous aimer, autrement nous n’aimerons jamais réellement les autres. Car nous ne pouvons pas donner, ce que nous n’avons pas.
Pour aimer les autres, il faut commencer par soi : Une morale philosophique très connue en occident dit ceci : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse. » Cette morale est fondée sur une interdiction et sur la peur du mal. La bible communique autre-chose: « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Mathieu 19-19. Dans cet enseignement, nous voyons l’amour du bien. Comme nous désirons notre bonheur, nous désirons le bonheur d’autrui. Comme nous nous aimons, nous aimons autrui. Mais si nous ne nous aimons pas, à cause de nos complexes, nous ne pouvons pas aimer les autres. L’altérité est impossible, si nous ne sommes pas réconciliées avec nous-mêmes. Voyez-vous combien nos complexes peuvent entraver nos actions, mais aussi notre amour pour les autres.
Vous pouvez en finir avec vos complexes ! La première chose importante à faire, c’est de changer votre façon de penser. Au lieu de vous critiquer, faites un éloge de vos qualités. Non, ce n’est pas une attitude orgueilleuse. Au contraire, c’est une nouvelle façon de vous voir positivement et d’apprendre à vous aimer. Un autre proverbe occidental dit ceci : « Charité bien ordonnée commence par soi-même. » Si vous dépendez du regard des autres vous continuerez à avoir des hauts et des bas, car il y aura toujours des gens qui prononceront des paroles blessantes. L’essentiel, c’est que vous ayez une bonne image de vous-même.
Magdaléna Morisset
je suis monoparentale...
Non, non pas pour de vrai mais un peu quand même...
Mon mari est parti pour une conférence à Washington pour 1 semaine, je suis donc seule avec les enfants. C'est arrivé souvent que mon mari a dû partir pour plusieurs jours pour des réunions ou autres. Quand j'étais à Fermont et que les enfants étaient beaucoup plus jeunes, il devait quitter pour ses cours Sembeq et comme c'est loin et bien c'était souvent pour 2 semaines. Je suis donc une habituée...
Mais les sentiments que je vis à ce moment sont spéciaux. Ils vous est déjà arrivé d'être dans une foule et de vous sentir quand même seule, moi ça m'arrive souvent ! Mais là ce que je vis c'est que je pense beaucoup aux mamans qui sont seule avec leurs enfants. Elles ont tellement de responsabilités, de choses à penser, pas d'adulte avec qui parler, partager. elle doit prendre leurs décisions seule etc...
Je suis tellement remplie de compassion pour elle car je mets un peu dans leur peau quand je dois assumer toutes ces choses étant donné que mon mari est absent et je peux comprendre leur douleur, leur fardeau parfois, leur sentiment de ne pas être à la hauteur, leur solitude et ça me donne un fardeau plus grand pour prier pour elles...
Un verset que je trouve rassurant c'est : Et voici je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde... merci Seigneur car même si on se pense seule et bien ce n'est pas tout à fait la réalité car notre bien-aimé protecteur et ami est avec nous !
Mon mari est parti pour une conférence à Washington pour 1 semaine, je suis donc seule avec les enfants. C'est arrivé souvent que mon mari a dû partir pour plusieurs jours pour des réunions ou autres. Quand j'étais à Fermont et que les enfants étaient beaucoup plus jeunes, il devait quitter pour ses cours Sembeq et comme c'est loin et bien c'était souvent pour 2 semaines. Je suis donc une habituée...
Mais les sentiments que je vis à ce moment sont spéciaux. Ils vous est déjà arrivé d'être dans une foule et de vous sentir quand même seule, moi ça m'arrive souvent ! Mais là ce que je vis c'est que je pense beaucoup aux mamans qui sont seule avec leurs enfants. Elles ont tellement de responsabilités, de choses à penser, pas d'adulte avec qui parler, partager. elle doit prendre leurs décisions seule etc...
Je suis tellement remplie de compassion pour elle car je mets un peu dans leur peau quand je dois assumer toutes ces choses étant donné que mon mari est absent et je peux comprendre leur douleur, leur fardeau parfois, leur sentiment de ne pas être à la hauteur, leur solitude et ça me donne un fardeau plus grand pour prier pour elles...
Un verset que je trouve rassurant c'est : Et voici je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde... merci Seigneur car même si on se pense seule et bien ce n'est pas tout à fait la réalité car notre bien-aimé protecteur et ami est avec nous !
vendredi, septembre 14, 2007
150 e article !
Wow !! déjà 150 articles...
je n'aurais jamais cru me rendre jusque-là.
C'est vraiment un moment de fête pour moi
car habituellement je commence quelquechose
et j'ai de la misère à persévérer.
Je remercie donc le Seigneur pour cette joie qu'il m'accorde.
Et c'est aussi en partie à cause de chacun de vous
mes fidèles lectrices.. merci à chacunes !!
Évangile ou religion ?
Il y a plusieurs religions mais un seul Évangile.
Il y a une énorme différence entre religion et Évangile.
La religion est l'oeuvre de l'homme,
l'Évangile est don de Dieu.
La religion, c'est ce que l'homme fait pour Dieu.
L'Évangile, c'est ce que Dieu a fait pour l'homme.
La religion, c'est l'homme en quête de Dieu,
l'Évangile, c'est Dieu cherchant l'homme.
La religion consiste pour l'homme à grimper l'échelle de sa propre justice
avec l'espoir de rencontrer Dieu au dernier barreau.
Mais l'Évangile consiste pour Dieu à descendre l'échelle,
par l'incarnation de Jésus-Christ,
pour nous rencontrer, nous pécheurs,au barreau le plus bas.
La religion est bonne volonté,
l'Évangile est Bonne Nouvelle.
La religion est bons conseils,
l'Évangile est glorieuse proclamation.
La religion laisse l'homme tel qu'il est.
L'Évangile prend l'homme tel qu'il est mais en fait ce qu'il doit être.
La religion réforme l'extérieur,
l'Évangile transforme l'intérieur.
La religion blanchit en surface,
l'Évangile blanchit à fond.
Il y a beaucoup de religions mais un seul Dieu.
Votre foi est-elle une religion ou un salut?
Auteur J.T. Seamands
Paru dans le Journal Maranatha
Est-ce que Dieu est créateur ?
Je vous partage ce texte que je trouve intéressant car ces temps-ci mon fils revient toujours de l'école, un peu exaspéré par son professeur de religion. Celle-ci affirme ne pas croire en Dieu et encore moins à la Bible. Elle leur fait faire des travaux qui démontre si Dieu existe ??
Samuel lui a apporté un traité qui parle de la question mais elle est tellement sceptique hélas ! Il trouve qu'elle essaie vraiment de le faire changer d'idée sur sa foi c'est pas possible ! Je loue le Seigneur que depuis sa tendre enfance il apprend les principes de la Parole de Dieu et qu'il est maintenant capable de réfuter l'erreur. C'est si important de mettre une fondation solide dans le coeur de nos enfants. Continuons de prier que Dieu protège nos enfants de ces gens qui essaie de troubler nos jeunes...
Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question :
- Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ?
Un étudiant a bravement répondu :
- Oui, Il l'a fait !
Le professeur a dit :
- Dieu a-t-il vraiment tout créé ?
- Oui, Monsieur, a répliqué l'étudiant.
Le professeur a répondu :
- Si Dieu a tout créé, Il a donc aussi créé le mal puisque le mal existe et, selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais.
L'étudiant est resté silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même et il se vantait aux étudiants qu'il avait prouvé encore une fois que la foi était un mythe.
Un autre étudiant a levé sa main et a dit :
- Puis-je vous poser une question Professeur ?
-Bien sûr, a répondu le professeur.
L'étudiant a répliqué :
- Professeur, le froid existe-t-il ?
- Quelle question !! Bien sûr qu'il existe. N'avez-vous jamais eu froid ? a répliqué le professeur.
Le jeune homme a répondu :
- En fait, Monsieur, le froid n'existe pas. Selon une loi physique, ce que nous considérons comme le froid est en réalité l'absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l'énergie. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l'énergie. Le zéro Absolu (-460°F) est l'absence totale de chaleur ; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température. Le froid n'existe donc pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur.
L'étudiant a continué :
- Professeur, l'obscurité existe-t-elle ?
Le professeur a répondu :
- Bien sûr qu'elle existe !
L'étudiant a répondu :
- Vous avez encore tort, Monsieur, l'obscurité n'existe pas non plus. L'obscurité est en réalité l'absence de lumière. Nous pouvons étudier la lumière mais pas l'obscurité. En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité. Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer. Comment pouvez-vous définir l'espace qu'occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente. N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé par l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de lumière.
Finalement, le jeune homme a demandé au professeur :
- Monsieur, le mal existe-t-il ?
Maintenant incertain, le professeur a répondu :
- Bien sûr, comme je l'ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour dans les exemples de l'inhumanité de l'homme envers l'homme, dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d'autre que du mal !
L'étudiant a répondu :
- Le mal n'existe pas Monsieur, ou du moins il n'existe pas de lui-même. Le mal est simplement l'absence de Dieu en soi. Il est comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour décrire l'absence de Dieu en soi. Dieu n'a pas créé le mal. Le mal n'est pas comme la foi, ou l'amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur. Le mal est le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'amour de Dieu dans son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n'y a aucune chaleur ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune lumière.
Le professeur s'est assis !
Le nom de l'élève fut dévoilé ALBERT EINSTEIN
Comme quoi on peut être l'homme le plus intelligent du siècle et comprendre que Dieu est indispensable à l'homme, ainsi que la lumière l'est pour la Terre.
Samuel lui a apporté un traité qui parle de la question mais elle est tellement sceptique hélas ! Il trouve qu'elle essaie vraiment de le faire changer d'idée sur sa foi c'est pas possible ! Je loue le Seigneur que depuis sa tendre enfance il apprend les principes de la Parole de Dieu et qu'il est maintenant capable de réfuter l'erreur. C'est si important de mettre une fondation solide dans le coeur de nos enfants. Continuons de prier que Dieu protège nos enfants de ces gens qui essaie de troubler nos jeunes...
Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question :
- Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ?
Un étudiant a bravement répondu :
- Oui, Il l'a fait !
Le professeur a dit :
- Dieu a-t-il vraiment tout créé ?
- Oui, Monsieur, a répliqué l'étudiant.
Le professeur a répondu :
- Si Dieu a tout créé, Il a donc aussi créé le mal puisque le mal existe et, selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais.
L'étudiant est resté silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même et il se vantait aux étudiants qu'il avait prouvé encore une fois que la foi était un mythe.
Un autre étudiant a levé sa main et a dit :
- Puis-je vous poser une question Professeur ?
-Bien sûr, a répondu le professeur.
L'étudiant a répliqué :
- Professeur, le froid existe-t-il ?
- Quelle question !! Bien sûr qu'il existe. N'avez-vous jamais eu froid ? a répliqué le professeur.
Le jeune homme a répondu :
- En fait, Monsieur, le froid n'existe pas. Selon une loi physique, ce que nous considérons comme le froid est en réalité l'absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l'énergie. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l'énergie. Le zéro Absolu (-460°F) est l'absence totale de chaleur ; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température. Le froid n'existe donc pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur.
L'étudiant a continué :
- Professeur, l'obscurité existe-t-elle ?
Le professeur a répondu :
- Bien sûr qu'elle existe !
L'étudiant a répondu :
- Vous avez encore tort, Monsieur, l'obscurité n'existe pas non plus. L'obscurité est en réalité l'absence de lumière. Nous pouvons étudier la lumière mais pas l'obscurité. En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité. Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer. Comment pouvez-vous définir l'espace qu'occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente. N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé par l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de lumière.
Finalement, le jeune homme a demandé au professeur :
- Monsieur, le mal existe-t-il ?
Maintenant incertain, le professeur a répondu :
- Bien sûr, comme je l'ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour dans les exemples de l'inhumanité de l'homme envers l'homme, dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d'autre que du mal !
L'étudiant a répondu :
- Le mal n'existe pas Monsieur, ou du moins il n'existe pas de lui-même. Le mal est simplement l'absence de Dieu en soi. Il est comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour décrire l'absence de Dieu en soi. Dieu n'a pas créé le mal. Le mal n'est pas comme la foi, ou l'amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur. Le mal est le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'amour de Dieu dans son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n'y a aucune chaleur ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune lumière.
Le professeur s'est assis !
Le nom de l'élève fut dévoilé ALBERT EINSTEIN
Comme quoi on peut être l'homme le plus intelligent du siècle et comprendre que Dieu est indispensable à l'homme, ainsi que la lumière l'est pour la Terre.
jeudi, septembre 13, 2007
Le petit radeau
Voilà une petite histoire que j'ai aimé car comme vous le savez, notre symbole amoureux de mon mari et moi c'est le cygne !! Alors quand j'ai lu cette histoire j'ai eu le goût de vous la partager..
Dans une certaine région d'un pays où les cygnes vivent en liberté, on raconte qu'un couple de ces palmipèdes avait l'habitude de faire son nid sur le bord d'une rivière près d'une usine.
Chaque fois, à la montée des eaux, le nid était emporté avec les petits. Mais chaque fois il était refait, et toujours à la même place.
Un jour, deux jeunes employés de l'usine eurent à cœur de tenter une expérience afin d'éviter aux cygnes de pareilles mésaventures.
Ils se mirent à construire un petit radeau de bois qu'ils attachèrent solidement par un fil de fer à la clôture de l'usine et le posèrent à l'endroit exact où les bêtes construisaient leur nid.
Surpris par l'étrange appareil et après bien des hésitations, les deux oiseaux se décidèrent à reconstruire leur nid sur le radeau.
« Arrivèrent les fortes pluies »
Les eaux de la rivière grossirent et le niveau s'éleva, ainsi que le nid dessus, qui ne fut pas emporté par le courant, étant solidement attaché à la clôture de l'usine.
Ainsi, le couple de cygnes et leur progéniture furent sauvés.
Cette histoire nous rappelle un autre récit, celui de Noé qui, pour sauver sa famille, construisit sur l'ordre de Dieu, une arche aux dimensions précisées par le Seigneur, et toute la famille fut préservée, de même que les animaux qui s'y trouvaient.
Mais Dieu avertit le monde d'un autre déluge, bien plus terrible encore que toutes les précédentes calamités connues: son jugement sur la race humaine, sur tous les pécheurs! Mais dans sa souveraine bonté, il a bâti son arche destinée à sauver les pécheurs repentants qui viendront à Lui.
Cette arche, c'est Jésus-Christ, son Fils unique qu'il a envoyé pour le salut de quiconque croit.
Jésus a dit: « Venez à moi vous tous » et »Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi »...
Amis qui lisez ces lignes, décidez-vous très vite à venir à Jésus avant qu'il ne soit trop tard et que la porte du salut soit fermée définitivement.
A la porte d'un cœur Jésus frappe ce soir.
Il est déjà si tard, au-dehors tout est noir.
Si tendre et si pressant est l'appel de sa voix.
« Serait-ce la dernière fois ? »
Dans une certaine région d'un pays où les cygnes vivent en liberté, on raconte qu'un couple de ces palmipèdes avait l'habitude de faire son nid sur le bord d'une rivière près d'une usine.
Chaque fois, à la montée des eaux, le nid était emporté avec les petits. Mais chaque fois il était refait, et toujours à la même place.
Un jour, deux jeunes employés de l'usine eurent à cœur de tenter une expérience afin d'éviter aux cygnes de pareilles mésaventures.
Ils se mirent à construire un petit radeau de bois qu'ils attachèrent solidement par un fil de fer à la clôture de l'usine et le posèrent à l'endroit exact où les bêtes construisaient leur nid.
Surpris par l'étrange appareil et après bien des hésitations, les deux oiseaux se décidèrent à reconstruire leur nid sur le radeau.
« Arrivèrent les fortes pluies »
Les eaux de la rivière grossirent et le niveau s'éleva, ainsi que le nid dessus, qui ne fut pas emporté par le courant, étant solidement attaché à la clôture de l'usine.
Ainsi, le couple de cygnes et leur progéniture furent sauvés.
Cette histoire nous rappelle un autre récit, celui de Noé qui, pour sauver sa famille, construisit sur l'ordre de Dieu, une arche aux dimensions précisées par le Seigneur, et toute la famille fut préservée, de même que les animaux qui s'y trouvaient.
Mais Dieu avertit le monde d'un autre déluge, bien plus terrible encore que toutes les précédentes calamités connues: son jugement sur la race humaine, sur tous les pécheurs! Mais dans sa souveraine bonté, il a bâti son arche destinée à sauver les pécheurs repentants qui viendront à Lui.
Cette arche, c'est Jésus-Christ, son Fils unique qu'il a envoyé pour le salut de quiconque croit.
Jésus a dit: « Venez à moi vous tous » et »Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi »...
Amis qui lisez ces lignes, décidez-vous très vite à venir à Jésus avant qu'il ne soit trop tard et que la porte du salut soit fermée définitivement.
A la porte d'un cœur Jésus frappe ce soir.
Il est déjà si tard, au-dehors tout est noir.
Si tendre et si pressant est l'appel de sa voix.
« Serait-ce la dernière fois ? »
lundi, septembre 10, 2007
Du changement !!!
Vous allez peut-être être surprise avec le blog.. c'est que je viens d'apprendre de nouvelles fonctions pour le mettre plus accessible et plus fonctionnel.
Je suis super contente car il me semble que les choses seront plus claires si vous désirez lire un article plus qu'un autre.
Alors soyez patientes, j'y vais à petit pas de bébé... lentement mais sûrement !!
Je suis super contente car il me semble que les choses seront plus claires si vous désirez lire un article plus qu'un autre.
Alors soyez patientes, j'y vais à petit pas de bébé... lentement mais sûrement !!
la bible, quel livre merveilleux !
«LA BIBLE DU MARIN »
Il y a quelques années mourait un vieux matelot anglais qui laissait en héritage une Bible.
Celle-ci acquis une grande valeur aux yeux de la famille du marin, à cause des quelques mots bien simples, mais particulièrement éloquents, qu'il avait tracé de sa main sur la première page du saint Livre.
Voici cette inscription :
« Cette Bible m'a été donnée par M. Raikes, à Hereford, en 1791. Elle a été ma compagne fidèle pendant 53 ans, dont 41 passés sur mer.
Pendant ces longues années, j'ai assisté à 45 batailles navales, j'ai reçu des blessures, j'ai fait trois fois naufrage ; une fois notre bateau brûla, deux autres navires où je me trouvais furent complètement détruits, quinze fois j'eus des fièvres de diverses sortes, et toujours, la Bible fut mon soutien et ma consolation ! tout ceci je le certifie exact, et je l'écris de ma propre main.»
Voilà en vérité une Bible souvent employée !
Et quelle longue histoire est contenue dans les quelques lignes écrites sur cette page blanche! On croit entendre en les lisant le souffle de la tempête, le grondement des vagues, les craquements du vaisseau naufragé, le cliquetis du combat, les cris de douleur des blessés, les soupirs des malades terrassés par la fièvre, et au milieu de toutes ces angoisses, de tous ces dangers, s'élève la voix : « Cette Bible fut ma consolation. »
N'est-ce pas un livre merveilleux que celui-là ? Et y en aurait-il un seul qui pourrait le remplacer ? Non, certainement pas !
« Le ciel et la terre passeront, mais la parole de Dieu ne passera pas. »
Cher lecteur, méditez aussi ce passage : « Bienheureux ceux qui entendent la parole de Dieu et qui la gardent! »
Et rappelons-nous que, posséder la Bible ne suffit pas ; il faut la lire régulièrement avec attention, en cherchant le secours du Saint Esprit pour la comprendre.
auteur inconnu
Il y a quelques années mourait un vieux matelot anglais qui laissait en héritage une Bible.
Celle-ci acquis une grande valeur aux yeux de la famille du marin, à cause des quelques mots bien simples, mais particulièrement éloquents, qu'il avait tracé de sa main sur la première page du saint Livre.
Voici cette inscription :
« Cette Bible m'a été donnée par M. Raikes, à Hereford, en 1791. Elle a été ma compagne fidèle pendant 53 ans, dont 41 passés sur mer.
Pendant ces longues années, j'ai assisté à 45 batailles navales, j'ai reçu des blessures, j'ai fait trois fois naufrage ; une fois notre bateau brûla, deux autres navires où je me trouvais furent complètement détruits, quinze fois j'eus des fièvres de diverses sortes, et toujours, la Bible fut mon soutien et ma consolation ! tout ceci je le certifie exact, et je l'écris de ma propre main.»
Voilà en vérité une Bible souvent employée !
Et quelle longue histoire est contenue dans les quelques lignes écrites sur cette page blanche! On croit entendre en les lisant le souffle de la tempête, le grondement des vagues, les craquements du vaisseau naufragé, le cliquetis du combat, les cris de douleur des blessés, les soupirs des malades terrassés par la fièvre, et au milieu de toutes ces angoisses, de tous ces dangers, s'élève la voix : « Cette Bible fut ma consolation. »
N'est-ce pas un livre merveilleux que celui-là ? Et y en aurait-il un seul qui pourrait le remplacer ? Non, certainement pas !
« Le ciel et la terre passeront, mais la parole de Dieu ne passera pas. »
Cher lecteur, méditez aussi ce passage : « Bienheureux ceux qui entendent la parole de Dieu et qui la gardent! »
Et rappelons-nous que, posséder la Bible ne suffit pas ; il faut la lire régulièrement avec attention, en cherchant le secours du Saint Esprit pour la comprendre.
auteur inconnu
vendredi, septembre 07, 2007
c'est le temps des pommes
La vendeuse de pommes: Voilà une belle illustration qu'une soeur m'a permis de prendre...
Il y a quelques années, un groupe de vendeurs se rendit à une convention régionale de ventes à Chicago. Ils avaient promis à leurs femmes qu’ils seraient de retour à la maison pour le dîner de vendredi soir.
Au moment du retour, ils durent se dépêcher pour prendre le vol prévu. Ils se précipitèrent dans l’aéroport munis de leurs billets et de leurs porte-documents et, dans la bousculade, un des hommes heurta par inadvertance un étal sur lequel étaient disposées des pommes.
Il y a quelques années, un groupe de vendeurs se rendit à une convention régionale de ventes à Chicago. Ils avaient promis à leurs femmes qu’ils seraient de retour à la maison pour le dîner de vendredi soir.
Au moment du retour, ils durent se dépêcher pour prendre le vol prévu. Ils se précipitèrent dans l’aéroport munis de leurs billets et de leurs porte-documents et, dans la bousculade, un des hommes heurta par inadvertance un étal sur lequel étaient disposées des pommes.
Celles-ci volèrent dans tous les sens. Sans s’arrêter ou même regarder derrière, ils se sont tous arrangés pour arriver à l’avion à temps pour ne pas louper l’embarquement.
Tous, sauf un !!! Il interrompit sa course, s’arrêta un moment, respira profondément, jaugea ses sentiments et eut un élan de compassion pour la jeune fille dont l’étal de pommes venait d’être renversé.
Tous, sauf un !!! Il interrompit sa course, s’arrêta un moment, respira profondément, jaugea ses sentiments et eut un élan de compassion pour la jeune fille dont l’étal de pommes venait d’être renversé.
Il dit à ses collègues de partir sans lui, les salua de la main et demanda à l’un d’entre eux d’appeler sa femme en arrivant pour la prévenir qu’il prendrait un vol plus tard. Puis il retourna au terminal où les pommes avaient été disséminées.
Il ne le regretta pas.
La jeune vendeuse de 16 ans était complètement aveugle ! Elle pleurait doucement ; de frustration, les larmes roulaient sur ses joues et en même temps, elle tâtonnait, impuissante, pour récupérer sa marchandise éparpillée pendant que la foule tourbillonnait autour d’elle ; personne pour s’arrêter, et personne pour se soucier de sa situation.
L’homme s’agenouilla sur le sol avec elle, rassembla les pommes, les remit sur la table et l’aida à réarranger son étal. Ce faisant, il remarqua qu’une partie des pommes s’étaient abîmées.
Celles-ci, il les mit de côté dans un panier.
Quand il eut fini, il ouvrit son porte-documents et dit à la jeune fille : « Voilà, prenez ces 40 $ pour les dégâts qu’on a fait. Vous allez bien ? »
Elle opina à travers ses larmes. Il continua : « J’espère que nous n’avons pas trop gâché votre journée. »
Alors que le vendeur s’éloignait, la jeune aveugle, perplexe, l’interpella : « Monsieur... » Il s’arrêta, se retourna et regarda dans ses yeux aveugles. Elle continua : « Etes-vous Jésus ? »
Il s’arrêta net, songeur. Puis il se dirigea lentement vers la salle d’embarquement pour prendre son avion avec cette question qui brûlait dans son âme : « Etes-vous Jésus ? »
Est-ce que des gens se trompent à votre sujet en vous prenant pour Jésus ? C’est notre destinée, n’est-ce pas ? Ressembler tellement à Jésus que les gens ne peuvent pas faire la différence parce que nous vivons dans un monde qui est aveugle à Son amour, à Sa vie et à Sa grâce.
Si nous prétendons Le connaître, nous devrions vivre, marcher et agir comme Il le ferait.
Le connaître, c’est plus que de pouvoir citer la Bible et d’aller à l’église.
En fait, c’est vivre Sa vie … au fur et à mesure que la vie se déroule, jour après jour, alors que nous croisons sur notre chemin des petites vendeuses de pommes !
lundi, septembre 03, 2007
La rentrée scolaire
Voilà déjà le retour à l'école.
Pour beaucoup c'est le temps de souffler et pour d'autres c'est le temps de stresser car leurs enfants ne seront plus sous leur chapeau.
Je peux peut-être vous partager un peu notre rituel du début des classes. Depuis qu'ils sont à l'école, dans l'été nous prenons toujours du temps pour prier mon mari et moi pour nos enfants.
Que Dieu prépare les classes dans lesquelles ils seront, les profs qui les enseigneront et les amis qu'ils fréquenteront. Nous prions que Dieu leur donne ce qu'ils ont besoins et qu'ils les protègent de toutes mauvaises influences. Nous prions que Dieu prépare leur coeur à bien s'appliquer dans leurs travaux et études.
Ensuite, nous prenons les quelques jours avant la rentrée pour lire en famille, le début du proverbe 1.
Nous en rediscutons ensemble et nous cherchons comment ils peuvent appliquer cela cette année. Les autres années nous avons beaucoup parlé du conformisme avec eux afin qu'ils soient éveillé à ne pas se laisser entraîner par toutes sortes de mauvaises voies.
Quand ils étaient plus jeunes à chaque fois qu'ils quittaient la maison, nous leur disions :
J'espère que ces quelques idées vous aiderons dans votre rentrée scolaire !!
Pour beaucoup c'est le temps de souffler et pour d'autres c'est le temps de stresser car leurs enfants ne seront plus sous leur chapeau.
Je peux peut-être vous partager un peu notre rituel du début des classes. Depuis qu'ils sont à l'école, dans l'été nous prenons toujours du temps pour prier mon mari et moi pour nos enfants.
Que Dieu prépare les classes dans lesquelles ils seront, les profs qui les enseigneront et les amis qu'ils fréquenteront. Nous prions que Dieu leur donne ce qu'ils ont besoins et qu'ils les protègent de toutes mauvaises influences. Nous prions que Dieu prépare leur coeur à bien s'appliquer dans leurs travaux et études.
Ensuite, nous prenons les quelques jours avant la rentrée pour lire en famille, le début du proverbe 1.
Nous en rediscutons ensemble et nous cherchons comment ils peuvent appliquer cela cette année. Les autres années nous avons beaucoup parlé du conformisme avec eux afin qu'ils soient éveillé à ne pas se laisser entraîner par toutes sortes de mauvaises voies.
Quand ils étaient plus jeunes à chaque fois qu'ils quittaient la maison, nous leur disions :
- " Faites le bien et eux il répétaient et non le mal."
J'espère que ces quelques idées vous aiderons dans votre rentrée scolaire !!
prière à cinq doigts
* * * PRIÈRES À CINQ DOIGTS * * *
Priez les uns pour les autres. Jacques 5:16
Priez les uns pour les autres. Jacques 5:16
La prière est une conversation avec Dieu et non avec formule. Mais parfois, nous pouvons avoir besoin d'une "méthode" pour vivifier notre temps de prière. Nous pouvons prier à l'aide des psaumes ou d'autres passages bibliques (comme la prière du Seigneur), ou de la méthode en quatre points (adoration, confession, actions de grâces, supplication).
Dernièrement, j'ai découvert la "prière à cinq doigts", qui peut servir de guide quand on prie pour les autres :
- Lorsque vous joignez les mains, c'est le pouce qui est le plus près de vous. Alors, commencez à prier pour ceux qui sont les plus proches de vous : vos bien-aimés (Ph 1:3-5).
- L'index sert à montrer quelque chose. Priez pour ceux qui enseignent : les enseignants de la Bible et les prédicateurs, et ceux qui enseignent aux enfants (1 Th 5:25)
- Le doigt suivant est le plus grand. Il vous rappelle de prier pour vos autorités : les dirigeants nationaux et locaux, ainsi que votre supérieur au travail (1 Ti 2:1, 2)
- Le quatrième doigt est habituellement le plus faible. Priez pour ceux qui ont des difficultés ou qui souffrent (Ja 5:13-1)
- Puis, vient votre petit doigt, qui vous rappelle votre petitesse par rapport à la grandeur de Dieu. Demandez à Dieu de pourvoir à vos besoins (Ph 4:16, 19)
Quelle que soit la méthode qu vous utilisez, parlez à votre Père, car il désire entendre votre cœur.
CE QUI IMPORTE LORSQUE NOUS PRIONS, CE NE SONT PAS NOS PAROLES, MAIS L'ÉTAT DE NOTRE COEUR
Texte : bible-ouverte
S'abonner à :
Messages (Atom)