mercredi, juin 18, 2008

la joie malgré la pauvreté

Celui donc la vie est centrée sur les valeurs spirituelles plutôt que sur les biens matériels est mieux équipé que les autres pour supporter les adversités de la vie et même pour en tirer profit. En fait, il peut se réjouir même au milieu des difficultés.

Dans son livre 450 Stories for life(450 histoires pour la vie), Gust Anderson parle d'une église qu'il avait visitée dans une région agricole de l'est de l'Alberta où il y avait eu huit ans de sécheresse.

Les fermiers étaient grandement endettés et leur situation financière semblait désespérée.
Malgré leur pauvreté, un grand nombre d'entre eux continuaient cependant à se réunir pour adorer et louer Dieu ensemble.

Anderson fut particulièrement impressionné par le témoignage d'un de ces fermiers. Portant son pantalon bleu de travail et un vieux manteau, les plus beaux vêtements qu'il avait, l'homme se leva et cita Habakuk 3, 17,18. Dans sa bouche, les paroles suivantes étaient chargées de sens:
«Car le figuier ne fleurira, la vigne ne produira rien, le fruit de l'olivier manquera, les champs ne donneront pas de nourriture; les brebis disparaîtront du pâturage, et il n'y aura plus de boeufs dans les étables. Toutefois, je veux me réjouir en l'Éternel, je veux me réjouir dans le Dieu de mon salut.»

Ce chrétien avait trouvé le secret de la vraie joie!
Il n'est pas mal de prendre plaisir aux choses que nous pouvons acheter avec de l'argent, mais notre bonheur ne devrait pas dépendre d'elles.
Si notre contentement dépend de nos biens matériels, nous serons accablés quand nous les perdrons.
Mais si c'est dans le Seigneur que nous trouvons notre joie, rien ne pourra la perturber, pas même les difficultés financières.
Ceux qui connaissent le Seigneur et qui mettent leur confiance en lui peuvent se réjouir... même dans la pauvreté!

Le bonheur dépend des événements;
la joie dépend de Jésus!

1 commentaire:

Martha a dit...

Amen!