samedi, décembre 30, 2006
penser aux autres...
Aujourd'hui nous avons fait un beau projet en famille celui d'être altruiste et serviable...
Je veux transmettre cette valeur à mes enfants car c'est si important de ne pas négliger autrui.
C'est beaucoup plus facile de vivre pour soi-même en ne pensant qu'à soi. Le coeur humain est si égoïste.
Voilà pourquoi, nous avons popoter en famille.
Un bon potage, carotte, courgette, poireau et poivron ensuite des biscuits aux bananes.
Nous avons sélectionner les personnes¸âgées de l'église, hommes et femmes et nous sommes partis faire la distribution... Si vous aviez vu le sourire et la joie que nous leur avons apporter d'avoir pensé à eux... C'était notre paye!!
J'étais bien excitée de faire plaisir à mes frères et soeurs....
Il y a plus de plaisir à donner qu'à recevoir !!
jeudi, décembre 28, 2006
28 décembre
et oui c'est un jour spécial... pourquoi ?? Parce qu'il fait soleil..non non!
Mais plutôt parce qu'il y a 15 ans aujourd'hui mon époux et moi nous nous unissions devant Dieu et les hommes... Le temps passe si vite, il me semble que c'est loin et en même temps si proche.
Lors de mes voeux de mariage, j'avais cité le verset dans Ruth : où tu iras, j'irai, où tu demeureras, je demeurerai, ton peuple sera mon peuple, ton Dieu sera mon Dieu. Et bien je peux vous dire qu'on ne réalise pas toujours l'impact de nos voeux !
Je suis allé habité à Sept-Îles, ensuite à Fermont dans le grand-nord...comique non ! ce fut tout de même de très belles années... loin loin loin mais quand même heureuse.
Nos enfants sont maintenant dans l'adolescence, moi j'approche du 40, de la ménopause, des rides et des cheveux blancs mais ce sont des futilités lorsqu'on sait que l'on est aimée.
J'ai marié un homme extraordinaire, je suis contente de pouvoir vieillir auprès de lui, sachant qu'il me connaît avec mes défauts et mes qualités.
Merci Seigneur de nous garder en fidélité, en respect, en amour...
p'tite nouvelle...
Je suis vraiment fière et contente de ce que j'ai fait aujourd'hui... c'est rien d'extraordinaire mais quand même, j'avais le goût de le partager...
Notre famille , on est des "joueux" de jeux de société. Étant donné que nous sommes dans le temps des fêtes, j'ai pensé faire un jeux avec des dessins qui représentent toutes sortes de mots avec ange... mésange, étrange etc...
J'ai donc sorti des mots et mon fils avec un de ses amis (qui était à la maison) et moi-même nous avons fait les dessins en question. Nous en avons fait 25... c'est super !
Ma voisine qui vient toujours à notre tradition du temps des fêtes aime beaucoup ce genre de jeu alors nous lui avons donné une copie pour qu'elle le teste... (on combine pour garder le lien avec notre voisine, c'est bon !)
Ce fut un bon temps avec mon fils, on a construit quelquechose ensemble, c'est l'fun. Il m'a fait rire, il a demandé des copyright..ahah !
jeudi, décembre 21, 2006
Désespoir /suicide
Combien de fois nous entendons que des personnes se sont enlevés la vie à cette période-là... c'est tellement désolant car si ces gens prenait le temps de lire la Parole de Dieu qui est si réconfortante et si rassurante, ils trouveraient certainement des trésors pour leurs âmes fatigués.
Peut-être que c'est vous qui vivez ces émotions, ces sentiments-là et vous ne voulez pas en parler autour de vous de peur d'être jugés ou incompris... alors sachez que ces paroles ont été écrites pour vous. Appropriez-vous les, elles seront vous relever ! Que Dieu vous entoure par-devant et par-derrière et qu'il vous fasse voir la lumière au bout du tunnel...
Aussi sombre que puisse vous paraître l'avenir en cet instant, souvenez-vous que Dieu ne vous abandonnera jamais. C'est dans la Bible II Corinthiens 4.8-9 : « Nous sommes accablés de toutes sortes de souffrances, mais non écrasés ; inquiets, mais non désespérés ; persécutés, mais non abandonnés ; jetés à terre, mais non anéantis. »
Dieu vous estime très précieux. C'est dans la Bible Luc 12.6-7 : « Ne vend-on pas cinq passereaux pour deux sous ? Cependant, aucun d'eux n'est oublié devant Dieu. Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc point : vous valez plus que beaucoup de passereaux. »
Dieu se soucie de vous et pense à vous constamment. C'est dans la Bible Psaume 139.17-18 : « Que Tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables ! Que le nombre en est grand ! Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m'éveille, et je suis encore avec toi. »
Un avenir merveilleux vous a été promis. C'est dans la Bible Jérémie 29.11 : « Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance. »
Jésus viendra vous secourir quand vos fardeaux seront trop lourds à porter. C'est dans la Bible Psaume 55.22 : « Remets ton sort à l'Éternel, et Il te soutiendra, Il ne laissera jamais chanceler le juste. » Matthieu 11.28-30 dit : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. »
Vous n'êtes pas le seul à penser vouloir mourir. Des personnes de la Bible ont éprouvé le même sentiment. C'est dans la Bible Nombres 11.14-15 où Moïse dit : « Je ne puis pas, à moi seul, porter tout ce peuple, car il est trop pesant pour moi. Plutôt que de me traiter ainsi, tue-moi, je Te prie, si j'ai trouvé grâce à Tes yeux, et que je ne voie pas mon malheur. » Un événement de l'histoire d'Élie est rapporté dans I Rois 19.3-4 : « Élie, voyant cela, se leva et s'en alla, pour sauver sa vie. Il arriva à Beer-Schéba, qui appartient à Juda, et il y laissa son serviteur. Pour lui, il alla dans le désert où, après une journée de marche, il s'assit sous un genêt, et demanda la mort, en disant : "C'est assez ! Maintenant, Éternel, prends mon âme, car je ne suis pas meilleur que mes pères." »
Si vous sentez que la crainte s'empare de vous, Dieu viendra à votre secours. C'est dans la Bible Ésaïe 41.10 : « Ne crains rien, car je suis avec toi ; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante. » Josué 1.9 dit : « Ne t'ai-je pas donné cet ordre : Fortifie-toi et prends courage ? Ne t'effraie point et ne t'épouvante point, car l'Éternel, ton Dieu, est avec toi dans tout ce que tu entreprendras. »
Dieu ne vous abandonnera jamais, même si tout le monde le fait. C'est dans la Bible Psaume 9.10 : «Ceux qui connaissent Ton nom se confient en toi. Car Tu n'abandonnes pas ceux qui Te cherchent, ô Éternel ! »
Et le Psaume 46.1-3 « Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. C'est pourquoi nous sommes sans crainte quand la terre est bouleversée, et que les montagnes chancellent au coeur des mers, quand les flots de la mer mugissent, écument, se soulèvent jusqu'à faire trembler les montagnes. »
Dieu vous offre la paix du coeur et de l'esprit. C'est dans la Bible Jean 14.27 : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s'alarme point. »
Ésaïe 26.3 dit : « À celui qui est ferme dans ses sentiments Tu assures la paix, la paix, parce qu'il se confie en toi. » Et Jean 16.33 dit : « Je vous ai dit ces choses afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde, mais prenez courage, j'ai vaincu le monde. »
Avec l'aide de Dieu, gardez votre coeur et votre esprit focalisés sur des pensées positives. C'est dans la Bible Philippiens 4.8 : « Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées. »
mardi, décembre 19, 2006
20 choses pour encourager votre enfant
1- Aimez vos enfants inconditionnellement – quelle que soit leur conduite, qu’ils rangent leur chambre et fassent leurs devoirs, ou qu’ils ne le fassent pas. Votre amour doit dépasser ce genre de choses. Vos enfants le sentiront.
2 - Dites chaque jour à vos enfants que vous les aimez. Il suffit de deux mots : « Je t’aime ». Si c’est difficile pour vous, c’est que vous en avez vraiment besoin.
3 - Efforcez-vous de donner à vos enfants une image positive d’eux-mêmes. Croyez en votre enfant, croyez en ses capacités et en son potentiel. Dites-le lui explicitement : « Je crois en toi ». Comment savez-vous si vous avez réussi ? Quand votre enfant vous dit : « Je vois que tu crois en moi ».
4 - Votre conduite doit être exemplaire en ce qui concerne les qualités et les traits de caractère que vous voulez voir votre enfant acquérir. Racontez votre journée à vos enfants pour qu’ils sachent ce que vous faîtes et qu’ils tirent des leçons de votre conduite et de vos expériences.
5 - Déterminez quelles sont les qualités essentielles que vous voulez que votre enfant acquière. Lorsque vous décelez ces qualités dans sa conduite ou ses paroles, encouragez-le systématiquement par des compliments.
6 - Chaque enfant est différent et unique. Décelez cette spécificité et prenez-la en considération lorsqu’une difficulté survient. Ne faîtes pas entrer tous vos enfants dans le même moule. Une méthode de discipline qui convient parfaitement à un enfant, peut perturber l’autre.
7 - Faites vos remarques de manière positive en vous concentrant sur le résultat escompté. Dîtes : « En développant cette qualité (par exemple, la promptitude), tu réussiras mieux dans la vie. » Plutôt que de souligner le défaut.
8 - Demandez-vous constamment : « Quelle est la chose la plus sage à dire à mon enfant maintenant ? », en particulier quand celui-ci vient de faire une bêtise.
9 - Choisissez avec soin les lectures de vos enfants.
10 - Quand vous entendez une histoire qui contient une leçon importante pour votre enfant, racontez-la lui. Cherchez des histoires qui apportent un enseignement positif. Demandez à votre entourage quelles histoires ont eu une influence significative dans leur vie.
11 - Créer une atmosphère calme, aimante et libre de toute colère dans votre maison. Parlez toujours d’un ton calme et aimant. Montrez que vous êtes capable de conserver un état émotionnel et mental, concentré, focalisé et agile.
12 - Maîtriser l’art de la patience. La vie est une école qui nous apprend à façonner notre caractère. Vos enfants sont les partenaires qui vous aideront à devenir patient. Même quand des difficultés surgissent, conservez un ton calme.
13 - Si vous commettez une erreur à l’égard de vos enfants, excusez-vous. Ils vous respecteront bien plus que si vous niez votre erreur.
14 - Observez comment les autres parents se comportent avec leurs enfants. Prenez note de ce qui vous plaît et appliquez-le.
15 - Retenez également ce qui vous déplaît. Voyez si cela vous concerne et prenez la résolution de changer.
16 - Demandez autour de vous : « Qu’est-ce que vous avez apprécié en particulier chez vos parents ? »
17 - Exprimez votre gratitude chaque jour devant vos enfants. Demandez-leur régulièrement : « Pour quelle chose es-tu reconnaissant ? »
18 - Maîtrisez l’art d’évaluer les évènements de manière réaliste et positive. Demandez fréquemment à vos enfants : « Comment peut-on analyser cet incident de manière positive ? » ou « Quelle leçon pouvons-nous tirer de ce qui est arrivé ? »
19 - Quand vos enfants font des erreurs, aidez-les à en tirer une leçon.
20 - Demandez-vous chaque jour : « Que puis-je faire de plus pour être un meilleur parent ? »
samedi, décembre 16, 2006
15 clés utiles pour l'amitié
1. Faire le premier pas : Après tout, qu'est-ce que l'on risque ? Un coup de fil, une invitation à déjeuner, une proposition de sortie sont peut-être le début d'une nouvelle amitié.
2. Doser ses exigences ; On ne peut attendre de l'autre qu'il nous apporte tout ce dont nous avons besoin. Avec chacun, nous partageons des choses différentes. Des amis pour la conversation, pour l'art, les expositions, les courses ... Des amis à qui on confie des épisodes de sa vie et qui vibrent pour avoir connus les mêmes. Ceux avec qui on peut parler divorce... ou de la mort des parents... ".
3. Ne pas être dépendant : iI ou elle n'est pas disponible ? Ce n'est pas si grave. Nous pouvons aller seul en balade ou inviter la voisine qui, justement, en meurt d'envie.
4. Ne rien demander en échange : L'amitié rime mal avec comptabilité. Ce qui fait tout son prix, c'est précisément sa gratuité : "Je te donne parce que je t'aime." Ce qui ne veut pas dire qu'il faut en faire trop. Chacun a droit à son jardin secret.
5. Savoir écouter : Combien d'occasions ratées pour n'avoir pas su écouter au bon moment ? Les amis sont d'abord ceux qui savent se taire et être disponibles quand on en a besoin.
6. Respecter le secret : Une confidence, un détail de la vie privée.. .l'autre nous a fait confiance. Savoir garder le silence est la preuve que cette confiance est méritée.
7. Etre souple : Une invitation qui tombe à l'heure du rendez-vous chez te coiffeur, une sortie au moment d'un bon film ... pourquoi refuser ? On peut toujours s'arranger. A trop vouloir imposer ses propres désirs, on finit par décourager l'ami.
8. Être là en cas de coup dur : C'est la première chose que nous attendons de nos amis. Chacun trouve, selon son caractère, la façon d'être présent et de montrer son affection.
9. Prendre les gens comme ils sont : Nous avons tous nos défauts ; c'est aussi ce qui fait notre charme. Inutile de demander aux autres de changer... Les choses sont tellement plus simples quand on peut rester soi-même sans crainte d'être critiqué.
10. Accepter les différences : C'est ce qui fait tout l'intérêt d'une relation. On n'est pas d'accord sur tout, et alors ? L'autre a peut-être une façon de voir les choses ou de penser la vie qui peut enrichir notre propre jugement.
11. Ne pas juger : L'autre a fait une erreur ou s'est comporté d'une façon qui nous déplaît ? Inutile de le critiquer. Il vaut mieux essayer de comprendre. Ce qui n'empêche pas la franchise : "voilà ce que je pense, mais tu fais ce que tu veux".
12. Se donner du temps : A force de multiplier les sorties et les activités, on risque de perdre de vue l'essentiel. Parfois, il peut être plus agréable d'en faire un peu moins et d'organiser de vraies 'occasions de partage avec les gens que l'on aime.
13. Créer des moments conviviaux : Les repas entre amis, les sorties, les promenades, toutes les occasions sont bonnes pour vivre des situations chaleureuses et complices.
14. Partager ce que l'on aime : Un livre, un disque, un film, une balade à pied, la visite d'un musée.. L’amitié a besoin de ces "carburants" pour vivre et se développer. C'est aussi en faisant ensemble que l'on apprend à s'apprécier mutuellement.
15. Faire signe : Un petit bonjour, une carte postale, un cadeau... sont autant de façons
de dire : "Je pense à toi". Avec de petites attentions, on entretient l''amitié.
nouvelle de notre tradition "voisinale"
Ce fut encore une superbe soirée. Nous avons reçu 4 familles du voisinage.
Nous avions fait un café-dessert car cette année j'étais un peu fatiguée pour préparer pleins de bouffe. Ma tarte au sucre a fait fureur yé ! Merci Seigneur !
Il y avait vraiment un atmosphère de détente où les gens étaient contents de se retrouver.
L'église organise une soirée gospel avec le groupe Jireh en février dans la salle de spectacle de notre ville et nous leur en avons fait part, ils semblaient bien interessés à y venir, c'est une bonne nouvelle.
De plus, pendant la soirée, un couple nous a proposé qu'on aille manger ensemble dans un resto, une autre bonne occasion que Dieu nous offre.
J'avoue que cette année, cette tradition me pesait plus que les autres années car j'avais roulé pas mal les semaines avant mais en même temps je ne pouvais pas briser cette tradition que nous avions instaurés. C'est dans la faiblesse que Dieu se glorifie. Alors je crois que c'était encore attendu de la part des voisins et ce fut très apprécié encore une fois.
Que Dieu continue de bâtir des ponts et qui sait ce que Dieu fera avec tout cela.
vendredi, décembre 15, 2006
une belle histoire de la fidélité de Dieu
J’ai grandi dans un petit village au environ de la ville de Québec.
Il y a déjà cinquante ans que cet évènement a eu lieu.
Ceci ce passa dans la semaine de Noël. Chez moi il n’y avait aucune décoration de Noël, rien ne pouvait dire qu'il y avait une fête importante, qui arrivait bientôt.
Sauf, dans ma chambre, un petit Jésus en bois dans une crèche. J’avais demandé à maman si je pouvais la placer dans ma chambre. Maman me répondit: "Mais oui, met la où tu veux! "Il était sur une table au chevet de mon lit.Il était endommagé, mais je ne le voyais pas. Je ne savais pas pourquoi, je l'aimais tant, mais aujourd'hui je le sais.Comme je n'avais aucun ami, je l'ai pris comme mon amis, je lui racontais tout.
Un jour, j’entendis mes parents discutés au sujet de Noël.Noël disait mon père, c’est pour les riches, eux ont des présents à offrir à tous le monde.Mon père faisait allusion à nos voisins qui avaient une grosse ferme, il se nommait, Mr. Tremblay, cet homme nous aidait beaucoup.Il venait de vendre sa ferme, et déménageait dans un grande ville.
Je me suis dirigée vers ma chambre, tout triste, et je me mis à parler à mon ami, ce bébé dans la crèche.Je lui disais: "Toi aussi Jésus tu étais pauvre et tu l’es encore, regarde ta crèche toute brisée."Je sais que ton Père à toi, est riche, si tu lui demandais de nous envoyé des présents pour Noël, crois-tu qu’il en enverrait ?.
Le lendemain mon père rencontra Mr. Tremblay, qui lui demanda : "As-tu déjà lu l’histoire de la naissance de Jésus ? " mon père répondit: " non" alors il lui donna son cadeau de Noël.
Rendu à la maison, mon père s’empressa d’ouvrir son petit paquet, oh! Quelle déception, c’était seulement une Bible. Mon père était très déçu, il déposa son présent dans une armoire, et l’oublia.
Noël arriva, j’étais triste et j'avais une raison. Comme j'étais seul, j'ai monté dans ma chambre, regardant mon ami, je lui dit: "Tu n’as pas fait ma commission à ton Père !"
Dix années passèrent, et mon père décéda.
J’avais atteint l’âge de quinze ans, ma mère voulais que je poursuive mes études.
Nous n’avions pas d’argent, Noël approchait encore une autre année.
J'aidais ma mère à faire la peinture des armoires, quand, sur une étagère, j’ai trouvai la Bible de Mr. Tremblay. Je me suis souvenu de ce Noël là. Je méditais tout en feuilletant cette bible que j’avais en main.
Quand soudain tomba par terre un papier, il était inscrit dessus un numéro, et ce papier disait : "Mr.Vachon, j’ai déposé dans un compte de la banque votre cadeau de Noël. Joyeuses Fêtes."
J’ai resté un long moment silencieux,
je me demandais si je rêvais. J’ai sorti de ma torpeur, j’ai couru vers ma mère, et je lui ai montré ce bout de papier.
Elle ne le croyait pas, elle, non plus.
Nous, nous sommes habillés, descendus au village, nous avons été à la banque, et présenter ce numéro miracle, et bien oui! C’était bien vrai !
Mr. Tremblay avant de déménager avait été déposer une grosse somme d'argent pour mon père.
C'est donc que Jésus avait répondu à ma prière.
Jésus avait lui-même répondu à ma prière, ce Noël-là, c’est nous qui avons cru que ce livre n’avait rien de bon.
Mais en l’ouvrant, on découvre qu' il est plein de richesses pour chacun de nous.
Ajoutez au montant perçu, les intérêts de dix années.
À partir de ce jour, nous avons véçu sans se soucier du lendemain.
Noël ne sera jamais plus le même.
Ce n’est pas un simple cadeau que Dieu donne, mais un don du ciel, qui s’obtient par l’acceptation de ce présent " Jésus "
Pourquoi attendre dix ans pour ouvrir le trésor que Dieu à mis à votre porte?
Jean 10: verset 7 Jésus leur dit encore: Je suis la porte des brebis.
père noël versus Jésus
" [ ,..] On dit que le Père Noël vit au Pôle Nord. Jésus est partout. "
Le Père Noël remplit tes chaussettes de cadeaux.
Jésus comble tous tes besoins.
Le Père Noël s'introduit par la cheminée sans y être invité.
Jésus se tient à la porte de ton coeur et iI frappe. II entre dans ton coeur quand tu l'y invites.
II faut scruter l'horizon pour apercevoir le Père Noël.
Jésus est toujours proche de ceux qui l'aiment.
Le Père Noël t'autorise à s'asseoir sur ses genoux.
Jésus te donne du repos dans ses bras.
Le Père Noël ne connaît pas ton nom, il peut tout juste te demander : "Salut petit garçon ou petite fille, quel est ton nom?":
Jésus te connaît par ton nom avant même la naissance. Non seulement Il connaît ton nom, mais II connaît aussi ton adresse. II connaît ton histoire et ton avenir et II sait même combien de cheveux tu as sur la tête.
Le Père Noël a un gros ventre .
Jésus a un coeur plein d'amour.
Tout ce que le Père Noël peut t'offrir, c'est un encouragement en marmonnant joyeusement "Ho, ho, ho!':
Jésus t'offre la santé, l'aide et l'espoir.
Le Père Noël dit : "Tu ferais mieux de ne pas pleurer':
Jésus dit : " Repose-toi sur moi, pour tous tes soucis, car moi seul prends soin de toi".
Le Père Noël met des cadeaux sous le sapin.
Jésus s'est offert Lui-même pour toi en mourant sur le bois de la croix…
jeudi, décembre 14, 2006
la beauté d'une femme...
Voici ce qu'a écrit Audrey Hepburn, quand on lui a demandé
de révéler ses «trucs» pour être belle...
1. Pour avoir des lèvres attirantes, prononcez des paroles de bonté.
2. Pour avoir de beaux yeux, regardez ce que les gens ont de beau en eux.
3. Pour rester mince, partagez vos repas avec ceux qui ont faim.
4. Pour avoir de beaux cheveux, faites qu'un enfant y passe sa main chaque jour.
5. Pour avoir un beau maintien, marchez en sachant que vous n'êtes jamais seule,car ceux qui vous aiment et vous ont aiméevous accompagnent.
6. Vous le faites pour les choses, mais les gens en ont eux aussi besoin : réparez-les, bichonnez-les, redonnez-leur vie, sauvez-les; ne les jetez jamais.
7. Pensez-y : si un jour vous avez besoin d'une main secourable, vous en trouverez une à chaque bout de vos bras. En vieillissant vous vous rendrez compte que vous avez deux mains, l'une pour vous aider vous-même, l'autre pour aider ceux qui en ont besoin.
8. La beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, son visage ou sa façon d'arranger ses cheveux. La beauté d'une femme se voit dans ses yeux, car c'est la porte ouverte sur son coeur, la source de son amour.
9. La beauté d'une femme n'est pas dans son maquillage, mais dans la vraie beauté de son âme. C'est la tendresse qu'elle donne, l'amour, la passion qu'elle exprime.
10. La beauté d'une femme se développe avec les années.
Je terminerais avec deux versets de la parole
qui sont chers à mon coeur :
Proverbe 4 :23
Garde ton coeur plus que tout autre chose, car de lui viennent les sources de la vie.
1 Pierre 3 :3-4
N'ayez pas pour parure ce qui est extérieur : cheveux tressés, ornements d'or, manteaux élégants, mais la parure cachée du coeur, la parure personnelle inaltérable d'un esprit doux et tranquille; voilà qui est d'un grand prix devant Dieu.
histoire du cadeau parfait pour mon enfant
J'ai parcouru plusieurs kilomètres pour trouver
le cadeau parfait pour mon enfant.
Après deux longues soirées
de magasinage compulsifs,
j'ai pensé lui demander ce
qu'elle voulait.
Voici la liste de cadeaux
qu'elle m'a suggérée:
J'aimerais être Félix, notre petit chat,
pour moi aussi
être pris dans vos bras chaque fois
que vous revenez à la maison...
J'aimerais être un baladeur
pour me sentir parfois écouté
par vous deux, sans aucune distraction,
n'ayant que mes paroles au bout de vos oreilles
fredonnant l'écho de ma solitude...
J'aimerais être un journal
pour que vous preniez un peu de temps
à chaque jour pour me demander
de mes nouvelles...
J'aimerais être une télévision
pour ne jamais m'endormir le soir
sans avoir été au moins une fois
regardé avec intérêt....
J'aimerais être une équipe sportive
pour que vous puissiez crier de joie
après chacune de mes victoires
ou une star de cinéma
pour que vous puissiez comprendre
chacune de mes émotions...
A bien y penser,
je n'aimerais qu'une chose,
être un cadeau inestimable à vos yeux.
Ne m'achetez rien;
permettez-moi de sentir seulement que
je suis votre enfant....
Cette histoire m'a toujours mis la larme à l'oeil. C'est si touchant et si réaliste... Combien de fois hélas nous tombons parfois dans ces pièges-là de notre confort personnel.
Je travaille dans un milieu assez défavorisé à l'école et si vous saviez ce que j'entends de la bouche des enfants, c'est à te faire friser les cheveux. Les enfants ont si besoin d'être considérés et aimés à leur juste valeur.
Dans ce tourbillon du temps des fêtes rappellons-nous de mettre nos priorités à la bonne place !
samedi, décembre 09, 2006
d'autres réflexions sur l'amitié...
Conseils pour se faire des amis facilement :
De (C. H. Teear B.A.)
1- Ne croyez pas que les gens ne vous aiment pas. La grande majorité d’entre eux répondront à votre amitié.
2- N’attendez pas que les autres parlent d’abord. Vous devez faire des grands efforts pour les connaître.
3- Ne vous considérez pas comme une personne isolée qui s’ennuie, et ne vous imaginez pas que vous êtes différent des autres.
4- Ne vous inquiétez pas indûment de l’impression que vous créez, et ne vous laissez pas guider par l’idée de plaire à tout le monde.
5- Ne vous laissez pas aller à la mauvaise humeur ou à la dépression si les autres vous paraissent difficiles. N’essayez pas d’imposer vos opinions aux autres. N’oubliez jamais que les autres peuvent être inquiets ou en proie à la douleur et que vous pouvez leur paraître tout aussi difficile.
6- Ne soyez jamais discourtois et malveillant envers qui que ce soit. Traitez toujours les autres comme vous aimeriez être traité vous-même.
7- Ne négligez pas de chercher quelques occupations qui vous absorbe et vous fournisse des occasions d’amitié en vous aidant à supporter vos difficulté sans en être indûment déprimé.
8- Ne tentez jamais de monopoliser la conversation. N’oubliez pas que si vous donnez aux autres la chance de parler, non seulement rechercheront-ils votre compagnie mais ils seront davantage disposés à vous écouter.
9- Ne vous forcez pas trop et n’exigez pas trop de vous-même. N’oubliez pas qu’un grand effort physique et mental provoque de l’irritabilité, une irritabilité qui rend difficile la recherche de l’amitié.
10-Ne vous permettez pas de préjugés envers les autres à cause des quand dira-t-on. Ne jugez jamais les autres. Si vous en pouvez dire quelque chose de gentil à leur sujet, gardez le silence. Personne n’est parfait et cela s’applique à vous aussi.
Pensées sur l'amitié :
L’amitié est un rayon de soleil dans une nuit de solitude c’est de la neige qui fond fragilement dans le désert de mon cœur usé. ( Roseann Runte )
Ce qui distingue un ami; que l’on fasse le mal, il avertit; que l’on fasse le bien, il exhorte à la persévérance;que l’on soit en difficulté ou en danger, il assiste, soulage et délivre. Un tel homme est, vraiment, un ami véritable et distingué. (Fo-Pen-hing-Tsih-king)
Un ami, c’est quelqu’un qui a considéré avec soin nos défauts et nos qualités et qui nous a choisi; mieux encore, il nous a préféré aux autres. ( André Maurois)
Un ami, c’est quelqu’un qui vous connaît bien et qui vous aime quand même.
(Hervé Lauwick)
L’ amitié est une trace qui disparaît dans le sable si on ne la refait pas sans cesse. (proverbe du Cameroun)
Il est préférable d’empêcher l’ami de tomber que de l’aider à se relever.
( proverbe chinois)
Si un de vos amis a des ennuis, ne lui demandez pas si vous pouvez faire quelque chose. Réfléchissez à ce que vous pouvez faire et faites-le. ( Edgar Watson Howe)
L’amitié, ce n’est pas de tout pardonner, ce n’est pas d’accepter les gens comme ils sont mais voir ce qu’ils pourront devenir et de les aider. (André Laurendeau)
Si tu marches devant moi, tu me conduis. Si tu marches derrière moi, je te conduis. Marche à côté de moi, tu es mon ami. (Hans Habe)
L’amitié, c’est la faculté de continuer la phrase commencée quinze auparavant. L’amitié double les joies et réduit de moitié les peines. ( Francis Bacon)
Quand Adam se plaignit de la solitude, ce n’est pas une dizaine d’amis que Dieu créa pour lui, mais une seule femme !
L’homme sans ami, c’est la main gauche sans la main droite. ( Avicébron)
L’amitié est une plante qui doit résister aux sécheresses. ( Joseph Joubert)
Ce que pensent Charlie Brown et Linus sur l’amité :
Un ami, c’est quelqu’un qui accepte de jouer au tennis avec le soleil dans les yeux.
Un ami, c’est quelqu’un qui veut bien regarder la même émission que vous à la télé.
Un ami, c’est quelqu’un qui veut bien partager sa maison avec vous.
Un ami, c’est quelqu’un qui vous accepte tel que vous êtes.
Un ami, c’est quelqu’un qui n’est pas jaloux, si vous avez d’autres amis.
Un ami, c’est quelqu’un qui comprend pourquoi vous aimez les glaces à la fraise…sans fraise !
Un ami, c’est quelqu’un qui ne pense pas que c’est idiot de collectionner les disques de Tino Rossi.
Un ami, c’est quelqu’un qui veut bien faire la queue à votre place.
Un ami, c’est quelqu’un qui prend votre défense quand vous n’êtes pas là !
Un ami, c’est quelqu’un qui vous envoie une carte postale quand il est en vacances.
Un ami, c’est quelqu’un qui vous aime, même devant les autres.
Le cadeau
Une fois encore, je pense à Noël…
Le cadeau « ineffable » de Dieu pour nous,
Le plus grand exemple de don par grâce
Dans toute l’histoire de l’humanité.
Ne retenant rien,
Il nous aima tant qu’il envoya le meilleur des cadeaux.
Quand nous y réfléchissons,
Nous comprenons qu’il choisit le cadeau
Dont nous avions le plus besoin !
LE CADEAU DE NOËL SANS PRÉCÉDENT DE DIEU
Si notre plus grand besoin avait été l’information,
Dieu nous aurait envoyé un enseignant.
Si notre plus grand besoin avait été la technologie,
Dieu nous aurait envoyé un ingénieur.
Si notre plus grand besoin avait été l’argent ,
Dieu nous aurait envoyé un banquier.
Si notre plus grand besoin avait été le plaisir ,
Dieu nous aurait envoyé un comédien.
Mais notre plus grand besoin était le pardon ,
ALORS DIEU A ENVOYÉ UN SAUVEUR !
Le cadeau de Dieu prouve son amour :
Il s’est donné lui-même
Le cadeau de Dieu est inestimable :
Jésus est unique
Le cadeau de Dieu est incomparable :
Jésus a donné sa vie pour nous
Le cadeau de Dieu satisfait parfaitement
Il ne s’achète pas, il ne se mérite pas.
Il se reçoit !
vendredi, décembre 01, 2006
leçon difficile...
C'était la première fois en 21 ans de conduite que je me faisais arrêter. Je n'avais jamais eu de contravention ni de point d'immérite d'enlever ! J'étais vraiment bouleversée. Imaginez une contravention de 151 $$$. C'est terrible !!!
Je lui ai dit , j'ai fait mon stop... je vous ai même vu en m'arrêtant. Il était même en train de parler avec un homme âgé, lorsqu'il a décidé de m'arrêter.
J'étais insulté et je trouvais cela très injuste....
Ce qu'il m'a répondu c'est que je me suis pas totalement immobilisé. Pourtant sur le ticket c'est écrit ne s'est pas immobilisé à un arrêt.
J'avais donc le goût de revendiquer mes droits, de contester cette chose injuste...c'était légitime à mon avis !!
Mais en même temps je me disais qu'est-ce que tu veux Seigneur ? Certainement tu veux parler à mon coeur, me montrer des choses. Il veut certainement me montrer que je ne suis pas parfaite et que j'ai des choses à apprendre, la soumission, l'acceptation... Après avoir réfléchi à tout cela, j'ai lu le proverbe du jour, et paf !! le premier verset me sautait dans le visage...
dimanche, novembre 26, 2006
Quel est votre langage d'amour ?
Premier langage : Les Paroles Valorisantes
Les paroles valorisantes ou en d’autres mots les paroles qui valorisent, qui font du bien sont un des moyens de manifester l’amour que l’on éprouve pour son conjoint (mais aussi ses enfants et ses proches...) L’apôtre Jacques (ainsi que de nombreux Proverbes) nous exhorte à faire bon usage de notre langue car elle est un petit membre qui peut construire mais aussi détruire.
Elle a un pouvoir et nous devons la maîtriser. Prov 18.21, Prov 12.25, Jacques 3...
Les exemples sont nombreux et nous sommes tous capables d’en trouver pour notre conjoint, soyons attentives l’un à l’autre et voyons quelles sont les paroles qui lui font du bien. Voici quelque idées : Tu es superbe avec cette tenue ; Ton repas est délicieux ; Tu es un très bon bricoleur ; Tu es vraiment très attentionné(e) ; Je te remercie pour l’aide que tu m’apportes... Toutes paroles susceptibles de mettre en évidence notre appréciation de ce que fait l’autre, que ce soit des paroles d’encouragement ou des paroles aimables.
Deuxième langage : Les moments de qualité
Je reprends la définition de l’auteur Gary Chapman : « Par moments de qualité, je veux dire accorder à l’autre une attention sans partage. Ce n’est pas s’asseoir l’un à côté de l’autre pour regarder la télé ensemble. Car dans ce cas c’est le programme télé qui capte votre attention, pas le conjoint. Rester assis sur le divan, oui, mais la télé éteinte pour pouvoir se regarder et se parler en s’accordant mutuellement beaucoup d’attention. C’est peut-être aller au restaurant ou se balader juste à 2... » (4)
Les moments de qualité sont par définition des moments où l’on stoppe toute activité pour s’occuper de l’autre, être en sa présence de façon intense, ce ne sont pas forcément des moments qui doivent durer longtemps mais qui doivent être intense. Dans nos agendas « surbooké » où l’on a plus une minute à soi et encore moins pour son conjoint, ses enfants, il est bon de s’arrêter et de passer ne fût ce qu’une heure avec la personne qu’on aime afin de discuter, et partager nos sentiments.
3ème langage : Les cadeaux
Pas besoin de longues explications par rapport à ce langage. Les cadeaux offerts sont un merveilleux moyen de dire « je t’aime ».
La personne détient dans l'objet que vous lui avez offert le message de votre amour et chaque fois qu’elle verra son cadeau, pensera à votre attention.
Les cadeaux n’ont pas besoin d’être onéreux, nous savons tous qu’un enfant apprécie parfois plus un petit gadget (qui ne nous as coûté que quelque dollards) qu’un jouet plus onéreux. Les enfants n’hésitent d’ailleurs pas à nous montrer qu’ils nous aiment en nous offrant un bricolage fait de leur main ou un bouquet de fleurs cueillis dans les champs...
4 ème langage: Les services rendus
Les exemples encore une fois sont nombreux et pour reprendre ce que dit Gary Chapman (1997, pages 78-79) « J’entends par là tout ceux qui à votre connaissance feraient plaisir à votre conjoint. Vous vous efforcez de lui plaire en lui rendant service, votre façon de lui exprime votre amour consiste à faire certaines choses pour lui... Des services comme cuisiner, mettre la table, passer l’aspirateur, nettoyer, changer les couches du bébé, repeindre la chambre à coucher, entretenir la voiture... Par amour soyons serviteurs les uns des autres (Gal 5.13) ».
Rendre service ou être au service n’est pas chose aisée et Jésus est notre exemple parfait puisqu’il était constamment au service des autres. Les exemples bibliques de l’attitude de Jésus sont légion et notamment celui où il lave les pieds de ces disciples (Jean 13.3-17).
5ème langage : Le toucher
L’importance du toucher est reconnue depuis de nombreuses années, de nombreux psychologues ont étudiés les bienfaits du toucher dès le plus jeune âge. En effet les nourrissons ont besoin de se sentir contenu et donc aiment qu’on les prennent dans les bras, ils aiment sentir l’odeur de leur mère, la chaleur du corps... J’aime beaucoup l’exemple de Gary Chapman (page 93-94) par rapport à ce point, il cite le moment où Jésus accueillit les enfants, les embrassa et les bénit en leur imposant les mains (Marc 10.14-16).
Jésus connaissait ce langage d’amour pour les enfants notamment et n’a pas hésité à la manifester.
Bien sûr il n’y a pas que les enfants qui aiment être câlinés et embrassés...nous aussi adultes avons besoin de contacts physiques. Pour les couples, lorsque nous parlons de toucher physique, il ne s’agit pas seulement de relations sexuelles, ou de préliminaires aux relations intimes. En effet le toucher physique peut revêtir de nombreuses formes : se prendre la main (lorsqu’on se ballade ou à la maison quand on est prêt de son conjoint), se tenir par la taille, s’embrasser, caresser l’épaule de son conjoint en passant près de lui, lui masser la nuque lorsqu’il est crispé...
Attention le toucher physique pour celui qui y est sensible a un impact très important au niveau de l’expression des sentiments. Un enfant très sensible au toucher recevra plus négativement une gifle qu’un enfant plutôt sensible au cadeau. Il en va de même pour les adultes, une personne sensible au toucher physique se sentira comblée de bonheur et d’amour quand son conjoint l’embrassera alors qu’une autre sera comblée par un bouquet de fleurs.
Nous arrivons ainsi à notre conclusion et pour une dernière fois nous reprenons les paroles de l’auteur à la page 109 : « Si vous voulez maintenir plein le réservoir émotionnel de votre conjoint, il est de toute première importance que vous appreniez à parler son langage sentimental familier. Assurez-vous auparavant que vous connaissez bien le vôtre. »
Remarquons que nous pouvons avoir plusieurs langages d’amour mais la plupart du temps : il y en a un qui prédomine ou en d’autres mots, nous pouvons établir une hiérarchie dans nos langages d’amour.
Conclusion
Pour apprendre le langage d’amour de votre conjoint (ou enfant...) soyez attentif à ce qui lui procure une satisfaction importante et les moments où vous avez l’impression qu’il se sent aimé et vous découvrirez probablement que c’est son langage d’amour préféré. Lorsque vous vous interrogez pour savoir si votre partenaire se sent aimé, posez lui la question du niveau de son réservoir émotionnel comme nous l’a suggéré Chapman à la page 116. Etablissez une échelle de 0 à 10, 0 correspondant à un réservoir vide et 10 à un réservoir bien rempli. Si vous demandez à votre époux où se situe son réservoir et qu’il vous répond 5 par exemple vous pouvez réagir en conséquence et parler son langage d’amour afin que son réservoir remonte (en espérant jusque 10).
En guise de finale je vous renvoie aux passages de l’Epitre de Jean qui nous exhorte à nous aimer car l’amour vient de Dieu. 1 Jean 4 .7-8 :
« Bien-aimés, aimons nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. »
1 Gary Chapman (1997) : Les langages de l’amour-les actes qui disent je t’aime. Editions Farel (page 11) 2 Gary Chapman dans son livre utilise cette expression, qu’il reprend d’ailleurs du Dr Ross Campbell psychiatre pour enfants et adolescents, pour désigner le sentiment que l’on a d’être aimé et qui est comme un réservoir qui peut se remplir mais malheureusement aussi se vider (et alors le sentiment de ne pas être aimé) 3 Gary Chapman (1997) : Les langages de l’amour-les actes qui disent je t’aime. Editions Farel (page 17) 4 Gary Chapman (1997) Les langages de l’amour. pages 47-48
Source : Lueur
lundi, novembre 20, 2006
une autre tradition chez les Turcotte
Ça fait maintenant 6 ans que nous habitons à St-Hyacinthe.
Lorsque nous sommes arrivés dans cette ville nous avons su que les gens était snob et ne se parlait pas entre eux.
Nous avons donc voulu révolutionner ces ouï-dire ! (En passant, depuis ce jour les gens s'échangent des fleurs, se parlent, s'entraident)
Alors nous avons fait des invitations pour toute notre rue pour venir bruncher à la maison un samedi matin.
Et bien 4 familles ont répondus à l'appel. Ils étaient si impressionné que des nouveaux arrivants les invitent à rentrer dans leurs maisons... ça ne c'était jamais vu ! Tellement que des voisins nous ont dit qu'ils ont racontés cela à leur travail et ça faisait parler beaucoup, beaucoup.
Nous voulions connaître nos voisins et se faire connaître comme famille. Ils ont donc su que mon mari était pasteur... Nous avons mangé et nous nous sommes amusés à des jeux que nous avions organisés.
Depuis 6 ans, à chaque année, nous faisons des invitations et les voisins reviennent avec hâte et avec joie. Nous créons donc des ponts pour un jour pouvoir leur parler de notre merveilleux Sauveur. Ils sont rentrés dans notre maison et nous ont vu agir en tant que couple et parents. C'est un très bon témoignage. L'année dernière une nouvelle famille s'est ajouté...
Avec les années, nous avons variés nos soirées, une fois c'était un brunch, une autre fois un
café-dessert, une autre un dîner etc... Nous avons organisés des jeux, un quiz sur notre ville, nous avons lu un chant de Noël dans le célébrons Dieu, les enfants ont présenté une pièce musicale au piano, nous avons lu le texte de la canne de Noël, nous avons remis un parchemin avec un texte sur c'est cadeau...
Enfin il suffit d'être créatif et disponible. Et surtout arroser de prières et d'actions de grâces...
Je vous lance le défi de l'essayer, qui sait si ça ne changerait pas la vie de votre voisinage !
dimanche, novembre 19, 2006
la richesse se trouve dans le contentement...
A l’époque où les premiers diamants furent découverts en Afrique, un fermier fut attiré par la perspective de faire fortune. Une seule chose l’en empêchait. Il devait vendre sa ferme avant de pouvoir se lancer à la recherche des diamants qui feraient de lui un homme riche. Finalement il arriva à la vendre, et il fut libre. Libre de poursuivre son rêve.
Sa quête fut longue et pénible. Parcourant kilomètre sur kilomètre à travers déserts et plaines, jungles et passes montagneuses, le fermier chercha les diamants élusifs. Mais il ne put en trouver aucun.
Finalement, à court d’argent, malade et complètement déprimé, le fermier se suicida en se jetant dans les flots rugissants d’une rivière.
Chez le fermier, l’homme qui avait acheté la ferme en cultivait soigneusement le sol. Un jour, alors qu’il plantait une semence, il remarqua une pierre à l’aspect peu commun. Il l’emporta à la ferme et la plaça sur la cheminée.
Un visiteur vit un jour cette pierre inhabituelle au-dessus de la cheminée, l’examina, se tourna ensuite vers le nouveau propriétaire de la ferme, et lui dit « Vous avez trouvé l’un des plus gros diamants jamais découvert par l’homme. » Une recherche un peu plus poussée révéla que le sol de la ferme était littéralement recouvert de ces magnifiques pierres. La ferme vendue par son propriétaire d’origine se révéla être une des plus riches et plus productives mines de diamants au monde.
Il y a une centaine d’années, le Dr. Russell Herman Conwell voyagea à travers les Etats-Unis en racontant cette histoire. Une centaine d’années plus tard, nous avons encore besoin de l’entendre. En effet, tout comme ce fermier, trop peu d’entre nous prennent le temps de comprendre et d’apprécier ce que nous possédons déjà. Emportés par la déception des choses telles qu’elles sont, dans notre quête d’avancement, nous demeurons aveugles à la richesse de notre propre jardin. Et nous finissons par marcher à côté des richesses merveilleuses tous les jours.
Que Dieu ouvre les yeux de notre coeur afin de" focuser" à la bonne place.
Nous sommes si choyé d'être premièrement gracié de la condamnation qui pesait sur nous. de savoir que le Dieu de l'univers nous connaisse personnellement et qu'il nous aime comme la prunelle de ses yeux.
Nous sommes béni de vivre dans un pays où coule le lait et le miel. Il y a tellement d'abondances.
De plus, juste d'être capable de se coucher sans avoir peur qu'une bombe nous tombe sur la tête, d'avoir un pays paisible.
D'avoir un toit pour se loger, des vêtements pour se vêtir, de l'eau potable , la santé...
Wow ! nous sommes riches ! Alléluia !!!.
dimanche, novembre 12, 2006
Perdre ou gagner...
Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle. Jean 3:16
Perdre ou gagner ?
Dans ce monde on peut tout perdre :
- Son argent : une faillite, et voilà les plus belles économies qui s'envolent ...
- Sa réputation : il suffit d'être victime de calomnies ...
- Son travail : le chômage, parlons-en !
- Sa santé je peux être plein d'énergie ce matin ... et à l'hôpital ce soir.
- Ses amis : trouver des copains et des amis de rencontre, c'est facile, mais garder des vrais amis, voilà qui est autre chose.
- Ses amours : combien de familles disloquées par des séparations ou des divorces !
- Sa mémoire : ce n'est pas la peine d'être très âgé pour commencer à la perdre.
- Sa vie : chacun sait que la vie peut être interrompue à tout âge. Bien sûr, on préfère ne pas y penser, mais pourtant ...
- Son âme ! Un homme très prévoyant, qui croyait s'être mis à l'abri de toute mauvaise surprise, entendit un jour cette parole solennelle : "Insensé ! cette nuit, ton âme te sera redemandée" (Luc 12, 20). Insensé ! Sera-ce la seule épitaphe qui restera sur notre pierre tombale ? Insensé !
Pourtant l'Evangile nous dit qu'il y a quelque chose que l'on ne peut pas perdre, un cadeau que Dieu nous fait, et dont rien ni personne ne pourra jamais nous priver. Ce cadeau, c'est la vie éternelle, par la foi en son Fils, Jésus Christ. Ne voulez-vous pas l'accepter ?
samedi, novembre 11, 2006
vitamines spirituelles
DES VITAMINES SPIRITUELLES ( une belle illustration que j'ai eu connaissance et que je trouve intéressante )
ACCABLÉ, AGITÉ, ANXIEUX, APEURÉ ? Prends de la vitamine A
“Arrêtez et sachez que je suis Dieu” (Psaume 46:11)
“Approchez-vous de Dieu et il s’approchera de vous.” (Jacques 4:8)
“Affermissez vos coeurs car l’Avènement du Seigneur est proche.” (Jacques 5: 8)
BALLOTTÉ, BLESSÉ, BLOQUÉ, BLÂMÉ ? Prends de la vitamine B
“Béni soit l’homme qui se confie en l’Éternel et
dont l’Éternel est l’espérance.” (Jérémie 17: 7)
“Bénissez ceux qui vous maudissent,
faites du bien à ceux qui vous haïssent.” (Matthieu 5: 44)
CALOMNIÉ, CHAGRINÉ, CHARGÉ, CONFUS ? Prends de la vitamine C
“C’est dans le retour à Dieu et le repos que sera votre salut,
c’est dans le calme et la confiance que sera votre force.” (Ésaïe 30: 15)
“Celui qui habite sous l’abri du Très-Haut
repose à l’ombre du Tout-Puissant.” (Psaume 91:1)
“Chantez à l’Éternel, bénissez son nom..” (Psaume 96: 2)
DÉCOURAGÉ, DÉPRIMÉ, DÉBORDÉ ? Prends de la vitamine D
“Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis car il prend soin de vous.”
(1 Pierre 5: 7)
“Demeurez en moi comme moi en vous.” (Jean 15: 4)
EMBROUILLÉ, ÉCARTÉ, ÉGARÉ, ÉLOIGNÉ ? Prends de la vitamine E
“Éternel, fais-moi connaître tes chemins, enseigne-moi tes voies.”
(Psaume 25: 4)
“Écoute la voix de mes supplications, quand je crie vers toi.” (Psaume 28: 2)
FÂCHÉ, FAIBLE, FRAGILE, FRUSTRÉ ? Prends de la vitamine F
“Faites tout pour la gloire de Dieu” (1 Corinthiens 10: 31)
“Fortifie-toi et prends courage.” (Josué 1: 6)
GÉMISSANT, GÊNÉ, GROGNON ? Prends de la vitamine G
“Garde mon âme et délivre-moi ! “ (Psaume 25: 20)
“Garde ton coeur plus que tout autre chose
car de lui viennent les sources de la vie.” (Proverbe 4: 23)
HUMILIÉ, HONTEUX, HÉSITANT ? Prends de la vitamine H
“Humiliez-vous donc devant le Seigneur et il vous élèvera.“ (Jacques 4: 10)
“Heureux l’homme qui se confie en toi.” (Psaume 84: 13)
“Haïssez le mal, aimez le bien.” (Amos 5: 15)
INQUIET, IMPATIENT, INCOMPRIS ? Prends de la vitamine I
“Il restaure mon âme, il me conduit dans les sentiers de la justice,
à cause de son nom.” (Psaume 23: 3)
“Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente la vigueur
de celui qui est à bout de ressources.” (Ésaïe 40: 29)
JONGLEUR, JUGÉ, JOYEUX ? Prends de la vitamine J
“Je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point.” ( Hébreux 13: 5)
“Je puis tout par celui qui me fortifie.” (Philippiens 4: 13)
“Je célébrerai l’Éternel de tout mon coeur,
je redirai toutes tes merveilles.” (Psaume 9: 2)
K ?
LASSÉ, LIMITÉ ? Prends de la vitamine L
“Les bontés de l’Éternel ne sont pas épuisées,
ses compassions ne sont pas à leur terme.” (Lamentations 3: 23)
“La foi, c’est l’assurance des choses qu’on espère,
la démonstration de celles qu’on ne voit pas.” (Hébreux 11: 1)
MALADE, MALHEUREUX, MEURTRI ? Prends de la vitamine M
“Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse.”
(2 Corinthiens 12: 9)
“Mais ceux qui espèrent en l’Éternel renouvellent leurs forces.”
(Ésaïe 40: 31)
“Mon âme a soif du Dieu vivant.” (Psaume 42: 3)
NÉGLIGÉ, NERVEUX, NOSTALGIQUE ? Prends de la vitamine N
“N’abandonnez donc pas votre assurance première qui comporte
une grande récompense. Vous avez en effet besoin de persévérance, afin qu’après accompli la volonté de Dieu, vous obteniez
ce qui vous est promis. ” (Hébreux 10: 35, 36)
“Ne nous lassons pas de faire le bien ; car nous moissonnerons
au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas.” (Galates 6: 9)
OBSÉDÉ, OISIF, ORGUEILLEUX , OUBLIÉ ? Prends de la vitamine O
“Observez le droit et pratiquez la justice ; Car mon salut
est sur le point d’arriver et ma justice de se révéler.” (Ésaïe 56: 1)
“On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien; Et ce que l’Éternel demande de toi, c’est que tu pratiques le droit, que tu aimes la loyauté, et que tu marches humblement avec ton Dieu.” (Michée 6: 8)
“Oui le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie”.
(Psaume 23: 6)
PARALYSÉ, PARESSEUX, PERTURBÉ ? Prends de la vitamine P
“Persévérez dans la prière, veillez-y avec actions de grâces.” (Colossiens 4: 2)
“Persévérez dans l’amour fraternel.” (Hébreux 13: 1)
“Pour vous, frères, ne vous lassez pas de faire le bien.” (2Thess. 3: 13)
QUARANTAINE, QUESTIONNÉ, QUI-VIVE ? Prends de la vitamine Q
“Que votre coeur ne se trouble pas.
Croyez en Dieu, croyez aussi en moi.” (Jean 14: 1)
“Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi.” (Psaume 23: 4)
“Qui accusera les élus de Dieu ? Dieu est celui qui justifie !
(Romains 8: 33)
REFROIDI, RÉSIGNÉ, RÉVOLTÉ, ROUILLÉ ? Prends de la vitamine R
“Rejetons tout fardeau et le péché qui nous enveloppe si facilement,
et courons avec persévérance l’épreuve qui nous est proposée.” (Hébreux 12: 1b)
“Rendez toujours grâces pour tout à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ.” (Éphésiens 5: 20)
“Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur, je le répète réjouissez-vous.” (Philippiens 4: 4)
SÉDUIT, SEUL, SOUFFRANT, SUBMERGÉ ? Prends de la vitamine S
“Sonde-moi, ô Dieu et connais mes préoccupations ! Regarde si je suis sur une mauvaise voie, et conduis -moi sur la voie de l’éternité !
(Psaume 139: 23, 24)
“Sois sans crainte, car je suis avec toi; n’ouvre pas des yeux inquiets, car je suis ton Dieu; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite victorieuse.” (Ésaïe 41: 10)
“Soyez sobres. Veillez ! Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer; résistez-lui, fermes en la foi..”
(1 Pierre 5: 8, 9)
TENTÉ, TIÈDE, TROUBLÉ ? Prends de la vitamine T
“Tenez donc fermes: ayez à vos reins la vérité pour ceinture.”
(Éphésiens 6: 14)
“Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur,
de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée;
et ton prochain comme toi-même.” (Luc 10: 27)
USÉ, USURPÉ, UTOPIQUE ? Prends de la vitamine U
“Usez de patience envers tous.” (1 Thessaloniciens 5: 14)
“Un coeur calme est la vie du corps mais la jalousie est la carie des os.” (Proverbe 14: 30)
VIDÉ, VEXÉ, VULNÉRABLE ? Prends de la vitamine V
“Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés,
et je vous donnerai du repos.” (Matthieu 11: 28)
“Veillez donc avec soin sur votre conduite, non comme des fous,
mais comme des sages.” (Éphésiens 5: 15)
XÉNOPHILE? Prends de la vitamine X
“EXerce -toi à la piété...” (1 Timothée 4: 8)
YO-YO ? Prends de la vitamine Y
“Les Yeux de l’Éternel sont sur les justes, et ses oreilles sont attentives à leurs cris. (Psaume 34: 16)
ZÉRO, ZÉLÉ, ZOUAVE ? Prends de la vitamine Z
“Un peuple.. purifié par lui et Zélé pour les oeuvres bonnes.” (Tite 2: 14)
Le voilier...
oui oui je sais ce n'est pas un voilier hihi !
Certains chrétiens ressemblent au voilier...
Leur marche dépend du vent qui souffle. S'il les pousse tout doucement, tout va bien ! Ils lèvent l'ancre plein de courage. Mais tournent-ils pour devenir contraire, les voilà qui naviguent avec peine, n'avancent plus. Ils cherchent des "abris-humains" contre la difficulté.
Lorsque survient le vent orageux, une grosse épreuve,
ils ne tiennent plus et sont emportés à la dérive...
Celui qui a un moteur(une foi ferme et active) poursuit sa route par tous les temps.
Il avance, toujours ainsi vers le but, en dépit des orages de la vie.
Un bateau est en sécurité dans le port mais ce n'est pas pour cela qu'il a été construit...
vendredi, novembre 10, 2006
l'hospitalité...
J'ai beaucoup réfléchi sur ce sujet qui je trouve est très souvent négligé...hélas !
J'ai donc voulu faire une petite étude sur cela pour m'encourager et être un modèle avec la grâce de Dieu. Je sais que je ne suis pas encore rendu à ce stade-là à 100 % mais je veux aspirer à cela car je trouve cela tellement important.
Synonyme : hospitalité = accueil, bienvenue, réception
Définition : Action de recevoir et d’héberger quelqu’un chez soi,
par charité, libéralité, amitié.
L’hospitalité est une manière pratique de servir Dieu. Reportons–nous au temps où Jésus était sur terre, étranger, n’ayant pas un lieu où reposer sa tête. Marthe le reçut dans sa maison
(Luc 10 :38) La maison de Béthanie lui était entièrement ouverte. Il savait qu’il était toujours le bienvenu et il y revenait souvent. Même avant sa mort expiatoire, il savait qu’il pouvait se réfugier dans cette maison pour y retrouver un baume avant ses souffrances.
(Jn. 11 : 57 et Jn. 12 : 3 )
Aujourd’hui nous pouvons encore recevoir Jésus dans nos maisons un peu comme Marthe autrefois.
Mt. 10 : 40 « Celui qui vous reçoit, me reçoit. »
Mt. 25 : 40 « En tant que vous l’avez fait à l’un des plus petits de ceux-ci qui sont mes frères, vous me l’avez fait à moi. »
Nous devrions ouvrir nos maisons au Seigneur à ses intérêts et aux siens.
Exercer l’hospitalité est une vertu chrétienne à laquelle l’écriture nous exhorte constamment. L’hospitalité est une cordiale et généreuse réception de son prochain sous son toit. Nous appelons cela la gloire de la maison et le fleuron de la vie de famille. C’est un ornement bienséant de l’enseignement qui est de notre Dieu sauveur. (Tite 2 :10)
À l’époque des premiers chrétiens, l’hospitalité était un trait si évident de leurs vies, que même les païens les en admiraient. Cela devrait être le vêtement du christianisme, « vous appliquant à l’hospitalité »(Rom. 12 :13)
De même dans la liste des qualifications d’anciens, cette vertu est si importante qu’elle y apparaît. (Tite 1 :8 )
Nous devrions donc vivre la grâce de Dieu comme une partie vitale de façon pratique en exerçant l’hospitalité, non seulement envers ceux que nous connaissons et aimons mais envers tous.
Regardons maintenant quelques exemples scripturaires :
2 Sam. 6:10-11 Obed-Edom garda l’arche de l’Éternel, trois mois
dans sa maison, l’Éternel le bénit lui et toute sa famille.
Mc. 14 : 14 Le maître de la maison prêta une grande chambre garnie au Seigneur où la Pâque fut célébré et la Cène du Seigneur institué.
Ac. 2 :46, 5 :42 Les premiers chrétiens se rencontraient tous les jours dans leurs maisons pour se souvenir du Seigneur dans la fraction du pain, l’enseignement et l’annonce de J-C.
Ac. 12 :12 Plusieurs s’assemblèrent pour prier dans la maison de Marie.
Rm. 16 :5 , 1 Cor. 16 :19 La maison d’Aquilas et Prsicilla était un lieu de rencontre des chrétiens où se réunissait l’assemblée locale.
Philémon 2 Nymphas et Philémon ouvraient leurs maisons pour que leur assemblée puisse se rassembler.
Nous voyons donc que l’amour de Christ poussait chacun d’eux à mettre leur maison à la disposition du Seigneur et des siens. Et aussi à accepter de bon gré le dérangement et le travail supplémentaire qu’entraînaient de tels rassemblements.
Quelques prétextes pour se soustraire de l’hospitalité :
· La fatigue
· Le dérangement
· Les finances
· Les occupations
· Le travail
· L’orgueil
· La timidité
· Le manque de confiance en soi
· La paresse
· L’individualisme
· L’égoïsme
· Le mépris, la distinction de personne
· Le confort
· L’inexpérience
· Etc…….
Voyons l’exemple de la femme Sunamite :
En 2 Rois 4 :8-17 , nous voyons le prophète Élisée qui passa par là et la Sunamite le contraignit de le faire entrer pour manger le pain. Elle lui prépara même une petite chambre pour se loger lorsqu’il passerait. Elle avait une simplicité en soi, juste ce qui était nécessaire pour le repos, la communion et le rafraîchissement. Tout était bien modeste.
Elle avait appris qu’elle aille peu ou beaucoup elle devait partagé de bon gré avec autrui. Elle s’appliquait à mettre le principe de 1 Pi. 4 :9 en pratique « Étant hospitaliers les uns envers les autres, sans murmures. »
L’orgueil de la vie qui aime à étaler de belles choses devant les hôtes en voulant faire aussi bien que les autres alors qu’on a pas les moyens, n’est-il pas souvent la cause sous-jacente du manque d’hospitalité ?
L’homme regarde à l’apparence extérieure, et l’Éternel regarde au cœur (1 Sam. 16 :7 ) Alors comme pour la Sunamite, c’est la bonté et l’amour qui comptent dans l’hospitalité, le prophète Elisée fut par conséquent bien touché de l’accueil.
Maintenant regardons l’hospitalité dans le monde grec :
Chez les Grecs, l’hospitalité, c’est l’offre d’un lieu où on est à l’abri. C’est d’abord l’amour de l’étranger, l’accueil et les cadeaux étant les gestes nécessaires qui concrétisent ce sentiment.
L’hospitalité antique va de l’échange de nourriture jusqu’à l’aide militaire ou religieuse, en passant par les dons et l’hébergement.
Selon une légende, Zeus et Hermès parcouraient la Phrygie, dans mille maisons ils se présentèrent, demandant un endroit où se reposer, tous fermèrent à clef. Une seule les accueillit, petite, couverte de chaume et de roseaux de marécages, celle de Philémon et Baucis. Comblés d’attentions par le vieux couple, les deux voyageurs accordèrent à leurs hôtes leurs vœux de terminer leur vie ensemble.
Tant qu’à leurs voisins, ils furent punis de leurs impiétés, l’eau d’un lac les engloutit.
Depuis ce jour, refuser l’hospitalité est devenu une impiété. L’obligation d’accueil est imprégné dans leur vie. Ils vont donc s’oublier et tout faire pour que leurs invités soit comblés et ne manque de rien.
Selon tous ces nombreux passages et exemples des Écritures à ceux qui ont tenus leurs maisons à la disposition du Seigneur et de ses intérêts, nous encourager à lui ouvrir les nôtres.
Prov.3 :33 dit : « Il bénit l’habitation des justes. » Que cette bénédiction puisse se réaliser dans tout foyer chrétien afin que nous soyons une lumière céleste qui éclaire tous ceux qui sont dans la maison et que ceux qui y entrent la voient. Que nos maisons soient une source d’eau fraîche où les gens pourront venir s’abreuver. Jésus lui-même fut un modèle à suivre, lorsqu’il est parti, il a dit qu’il nous préparera une place, notre maison nous attends.
En attendant notre nouvelle demeure, laissons notre maison être un outil dans les mains du Seigneur. Que ce soit pour nos familles, notre assemblée, notre entourage, des étrangers, soyons ouvert et à l’écoute du St-Esprit laissons-nous surprendre de ce que Dieu fera à travers notre foyer !
dimanche, novembre 05, 2006
Jamais tout seul....
Par une belle journée d’été, nous nous préparions à partir pour nos vacances.
À cet époque-là, nous habitions dans le grand nord du Québec.
Dans cette partie de la province, les chemins ne sont pas très entretenus
et nous devions faire 16 heures de route pour nous rendre à Montréal.
Une grande partie de la route n’est pas asphaltée, cela use beaucoup les autos.
Nous étions donc en famille dans notre vieille voiture, chantant, jouant et parlant ensemble
quand tout à coup l’auto ne veut plus avancer…
Oh ! problème ! nous sommes à environ 4 heures d’une ville et peu de gens circule sur cette route. Nous étions en pleins bois avec les mouches noires et le silence.
À un moment donné, une auto arriva près de nous. Nous l’arrêtions en agitant des bras.
Nous lui racontons notre aventure et il nous dit, qu’aussitôt qu’il sera à Baie-Comeau,
il avertira une dépanneuse de venir à notre rescousse.
Le temps passa sans jamais voir une dépanneuse arrivée. Nous étions très las et les enfants de
plus en plus impatients. Nous avons donc prier afin que Dieu vienne à notre secours.
Tout d’un coup, une caravane passa près de nous et à notre grande surprise,
c’étaient des gens que nous connaissions. Il nous embarqua les enfants et moi et nous amena
jusqu’à un hôtel où j’attendu mon mari et la voiture.
Dans la soirée, très tard, mon mari apparu et me raconta tous les faits et combien cette
mésaventure nous coûtera. J’étais bien triste car nous débutions nos vacances et nous n’avions
pas beaucoup de sous. C’était comme une brique qui me tomba sur la tête.
Le lendemain, nous avions passé le temps dans un centre commercial pendant que la voiture se
faisait réparer. Pendant que je marchais, je remarquai un papier plié en quatre par terre à mes
pieds. Je l’ai ramassé et à ma grande surprise, je venais de trouver un billet de 50 $.
Quelle joie !
Et c’est pas fini ! Ensuite, nous avions revu la famille qui nous avait secouru sur le chemin et
nous remettait un montant d’argent qu’il avait à cœur de nous donner.
Nous étions bouche bée par la générosité des gens et de notre Dieu.
À travers cette circonstance désagréable de la vie, ce fut une belle leçon pour nous et les enfants
car nous avons vu et expérimenté comment Dieu ne nous abandonne jamais et qu’il pourvoit à tous nos besoins.
Est-ce que nous avons un Dieu vivant ?
Le jeune ne pouvait s'empêcher de se demander : "Dieu nous parle-t-il encore? ".
Il sortit alors avec quelques amis pour aller prendre un café et ils discutèrent du message. Plusieurs d'entre eux parlèrent des différentes façons que Dieu avait choisies pour les guider.
Il était environ dix heures du soir quand le jeune homme décida de rentrer chez lui. S'asseyant dans sa voiture, il commença à prier : "Seigneur... Si tu parles toujours aux gens, parle moi. J'écouterai. Je ferai de mon mieux pour obéir".
Étant alors sur la rue principale de sa ville, il eut la pensée la plus étrange : "Arrête-toi et achète un litre de lait". Il secoua la tête et dit : "Seigneur, est-ce toi?" Il n'obtint pas de réponse et continua sa route vers sa maison. Mais de nouveau, la même pensée : "Achète un litre de lait".
Le jeune homme pensa alors à Samuel et comment il n'avait pas reconnu la voix de Dieu, mais était couru voir Élie. "D'accord, Seigneur, au cas où ce serait toi, j'achèterai le lait". Cela ne paraissait pas être un test d'obéissance bien compliqué. Il pourrait toujours utiliser le lait. Il s'arrêta, acheta le lait et redémarra pour aller chez lui.
Alors qu'il dépassait la 7e Rue, il sentit de nouveau un appel pressant : "Tourne sur cette rue". C'est fou, pensa-t-il, et il continua tout droit. Mais il sentit de nouveau qu'il devait tourner.
Il fit alors demi-tour à l'intersection suivante et se dirigea vers la rue en question.
Mi-souriant, il disait : "D'accord, Seigneur, je le ferai".
Il dépassa plusieurs immeubles, quand soudain, il eut l'impression qu'il devait s'arrêter. Il se gara le long du trottoir et regarda autour de lui. Il était dans une zone semi-commerciale de la ville. Ce n'était pas la plus sûre, mais ce n'était pas non plus le pire des voisinages.
Les magasins étaient fermés et la plupart des maisons était sans lumière comme si les gens étaient déjà au lit.
De nouveau, il ressentit quelque chose : "Va donner le lait aux personnes dans la maison de l'autre coté de la rue". Le jeune homme regarda la maison. Elle était sombre et il semblait que les gens étaient absents ou bien qu'ils dormaient déjà.
Il commença à ouvrir sa portière, puis se rassit au fond de son siège de voiture. "Seigneur, c'est du délire. Ces gens dorment et si je les réveille, ils vont être furieux contre moi et j'aurai l'air stupide".
Mais il sentit de nouveau qu'il devait aller donner le lait. Il ouvrit finalement sa portière.
"D'accord Seigneur, si c'est toi, j'irai à leur porte et leur donnerai le lait. Si tu veux que j'aie l'air d'un fou, d'accord. Je veux être obéissant. J'imagine que cela comptera pour quelque chose... mais s'ils ne répondent pas tout de suite, je me sauve!".
Il traversa la rue et sonna à la porte. Il pouvait entendre du bruit à l'intérieur. La voix d'un homme cria, "Qui est-ce? Qu'est-ce que vous voulez?"
Alors la porte s'ouvrit avant que le jeune homme n'ait pu s'en aller. L'homme se tenait là debout en jeans et t-shirt. Il avait l'air d'être tout juste sorti du lit. Il avait un regard étrange sur son visage et ne semblait pas très heureux de voir un étranger se tenir sur son seuil.
"Que voulez-vous?". Le jeune homme brandit le litre de lait : "Voilà, je vous ai apporté ceci".
L'homme prit le lait et se précipita au fond du couloir parlant très fort en espagnol. Alors apparut une femme qui portait le lait vers la cuisine. L'homme la suivait portant un bébé. Le bébé pleurait. L'homme versait des larmes. Il commença à parler tout en pleurant : "Nous étions juste en train de prier. Nous avons eu de grosses factures ce mois-ci et nous avons manqué d'argent. Nous n'avions plus de lait pour notre bébé.
J'étais juste en train de prier et je demandais à Dieu de me montrer comment obtenir du lait". Son épouse dans la cuisine cria : "Je lui ai demandé d'envoyer un ange avec du lait.
Êtes-vous un ange?".Le jeune homme prit alors son porte-monnaie et retira tout l'argent qu'il avait sur lui et le mit dans la main de l'homme.
Il fit demi-tour et marcha vers sa voiture et les larmes coulaient sur son visage.
Il avait la preuve que Dieu exauçait encore les prières !
Transmis par Henrik Roycourt
jeudi, octobre 26, 2006
geste d'amour....
Jusqu’à ce que l’amour en franchisse le seuil.
Et alors, intuitivement,
L’amour répand à la ronde cette poussière d’étoiles
Qui transforme une maison à un foyer accueillant
Destiné à des gens très important :
Les membres à notre famille.
L’argent peut construire une maison charmante
Mais c’est l’amour qui l’a meuble et donne la sensation d’être chez soi.
Le devoir peut remplir correctement une boîte à lunch
Mais l’amour glissera un billet doux à l’intérieur.
L’argent procure le téléviseur
Mais l’amour contrôle son utilisation
En disant : « non » parfois en dépit des protestations.
Les sens des responsabilités
Envoie les enfants dormir à une heure raisonnable
Mais l’amour les borde et distribue bécots et caresses.
L’obligation prépare le dîner
Mais l’amour décore la table de fleurs et de chandelles.
Le devoir écrit beaucoup de lettres
Mais l’amour ajoute un dessin, une blague, un cœur dans l’enveloppe.
Le zèle garde une maison étincelante de propreté
Mais l’amour et la prière ont plus de chance
De garder une famille heureuse.
Le devoir se sentira vite offenser s’il n’est pas apprécié
Mais l’amour aura le sens de l’humour et travaillera par pur plaisir.
Le devoir verse un verre de lait
Mais l’amour ajoute un peu de chocolat.
L’amour c’est le chocolat du cœur.